2e Concours nouvelles-Participations

Imaginez une suite de texte à partir de cette phrase "Une petite silhouette émergea d'un recoin sombre..."

Postez ici vos participations.

Sarkeek

Wow l'enthousiasme ^^:

Une petite silhouette émergea d'un recoin sombre.

Griseek maître assassin du clan Eshin, se frayait un chemin parmi les ruelles de Berimburg, exploitant les moindres parcelles d’ombres, longeant les murs des maisons bordant les faubourgs. Cette marche nocturne dura quelques minutes, enfin le skaven s’autorisa une pause, scrutant attentivement les ténèbres environnantes à la recherche de sa victime.

Soudain un bruit de pas fit frémir les moustaches de l’assassin, il est en avance pensa-t-il, il se plaqua prudemment contre le mur, se fondant avec habilité dans le décor. Ils étaient trois, le maréchal et son escorte, ils marchaient d’un pas serein sans se douter de la menace qui pesait sur eux. Un éclair scintille dans la main de l’assassin, le moment était venu. Une étoile de jet vint se ficher dans la gorge du malheureux soldat, qui porta la main à sa gorge, tentant désespérément d’ôter l’arme mortel. Ses efforts furent vains et il s’écroula à terre en émettant un gargouillement infâme. Alarmé son comparse dégaine son épée et tente d’abattre l’homme rat en fendant l’air de son arme, trop lent, malhabile, sa lame vient au contact de la gorge de l’infortuné, un geyser de sang ne tarde pas à jaillir de son gosier, souillant lamentablement le chemin.

Il se retourna vers sa cible principale désormais sans protection, la peur se lisait sur son visage, il tenta vainement de s’échapper mais on n’échappe pas à son destin, il s’affala sur la route une lame suintant d’un liquide vert s’échappant de son torse. Utilisant ses dernières forces il tenta de ramper vers le fleuve, pitoyable pensa le skaven. Sa victime succomba bien vite de ses blessures et l’assassin pu récupérer son arme.

Sa mission dorénavant accomplit il s’évanouit dans la nuit sans laisser de traces, comme en il en avait l’habitude.


« Non !! »
Le Maréchal Enlauk Möl s’était réveillé en sursaut, son visage ruisselait de sueur et son cœur battait à toute allure. Son épouse inquiète le questionna :
« Tu vas bien ?!? »
« Oui…Oui un simple cauchemar. » Répondit le maréchal tentant de la rassurer.

Son épouse à demi rassuré s’allonga et tenta de retrouver le sommeil. Enlauk était encore chamboulé par cet atroce cauchemar, un rêve rien de plus se dit le maréchal, rien de plus…

Non loin de là un assassin se préparait, la nuit de demain promettait d'être longue.


Si c'est la taille qui peux vous rebuter sachez que c'est une page maximum ! Vous pouvez faire moins (bon une vingtaines de lignes au moins)

Voici ma participation dans l'optique de défendre mon titre.


Une petite silhouette émergea d'un recoin sombre. La faible lueur des torches de la milice ne put permettre d’apercevoir le danger. Un poignard fut brandi et le sang coula. Un hurlement retentit et les trois humains se retournèrent pour voir leur compagnon agoniser sous leurs yeux ; mais le meurtrier avait déjà disparu. Soudain un sifflement se fit entendre et les trois survivants reçurent chacun un shuriken qui se planta dans leur gorge. Le silence retomba… personne dans la ville ne pouvait avoir eu vent de l’assassinat en cette nuit sombre; tous dormaient paisiblement sans se douter de la terrible menace qui planait sur leur vie.
L’assassin se faufila dans les ruelles sombres et se dirigea vers le réservoir d’eau potable de la ville, tenant fermement une petite fiole de poison entre ses pattes. Il trouva la haute tour et fit sauter la serrure d’un habile coup de griffe, il se glissait silencieusement dans l’entrebâillure de la porte quand une voix l’apostropha.
-Holà compagnon, que comptez-vous faire en ce lieu ?
Mais pour toute réponse un poignard siffla et grâce à un réflexe inouï l’homme parvint à l’éviter de justesse. Il grogna quand la pointe lui égratigna la joue. Il dégaina deux longs poignards et enfonça brutalement la porte. Mais il ne put qu’entrevoir un coin de tissu disparaître dans le colimaçon de l’escalier. Il bondit à sa poursuite et monta les marches quatre à quatre. Mais à son grand désarroi quand il arriva au sommet du château d’eau il n’y avait nul signe de vie. Mais hélas pour lui une forme sombre jaillit d’un coin et il fut éclaboussé par son propre de sang. D’un brusque revers d’épaule il envoya l’assassin à terre et lui porta une estocade de sa lame. Mais la célérité avec l’assassin se releva fit qu’il ne frappa que la pierre et son poignard se brisa en deux. A moitié assommé par le choc et la blessure il tituba et manqua de s’effondra. L’assassin porta un coup, puis un autre, encore en autre… L’homme ne put hurler sa douleur car avant qu’il ne puisse ouvrir sa bouche une troisième lame maniée par la queue de la créature lui fit une profonde entaille dans le cou. Un jet d’air masqua son cri à la mort et sous un ultime coup qui cette fois lui perfora les reins il s’effondra lourdement sur le sol.
L’assassin sortit prestement de la tour non sans avoir pris le soin de verser le terrible poison dans l’énorme cuve et verrouilla soigneusement la porte derrière lui.
Ainsi tout Burgsteller tomba mystérieusement sous le coup d’une effroyable épidémie. Personne ne se douta que l’ombre qui sortit de la ville sous le couvert de sombres ténèbres puisse être le seul responsable de la mort de milliers d’hommes. Le maître assassin avait une fois de plus accompli son funeste travail sans la moindre faute et bientôt l’humanité entière tomberait sous la menace de l’ombre venue de la nuit.



Likish

Chouette les deux textes ^^ Je me lance aussi

Une petite silhouette emergea d'un recoin sombre. Le reste de l'armée c'était enfin placés, et c'était maintenant a lui de jouer. Cacher par la nuit, et les arbres, l'assassin se préparait.
Devant lui une immense armée d'os, tous animé par la force de... lui las bas! Une espece de momie horrible qui semblait tenir toute l'armée ennemie en son pouvoir.
Il apercut les trois assassins, ses assistants membres de la triade, charger le régiment de cette foutu momie.

** Bientot, elle ne sera plus la... et nous aurons gagner... encore une victoire des skavens! Le maitre sera content... très content... et il me donnera peut etre le droit de le rejoindre... plustot que de rester ici a aller chercher des objets inutiles. Pas la moindre trace de malepierre a ramenner pour échanger avec ls autres clans... tss tss... **

Le reste de l'armée se mouvait silencieusement dans la nuit. les coureurs nocturnes allerent se cacher dans la foret, bientot rejoint par les coureurs nocturnes.
Les jezzails, ces saletés acheté un prix fou par l'assassin, se revelerent incapable de tiré... Il se doutait bien qu'il pretexterait un manque de visibilité, et qu'il serait bien plus apte a combattre de jour... C'était tous des imbéciles... Pourquoi faire confiance aux autre clans alors que ses propres troupes aurait surement été plus efficace...
Soudain, un plouf retentit dans son dos. Il se retourna rapidement pour voird'ou cela provenait, et compris, lorsqu'il ne vit plus son frere assassin a ses cotés, mais lui aussi face a la momie chose toutes sales. Elles n'avaient aucune chance! gniark gniark gniark!
Les assassin frapperent tous la sale momie chose puantes! L'assassin s'attendait a la voir s'effondrer, mais au lieu de cela, se fut les squellettes du régiment qui tomberent! Mais que faisait ses incapables?! Il ne tapait pas le bon! Pas le bon!
Bientot une fumée blanche recouvrait le lieu ou le combat avait eu lieu, et on put voir 4 assassins détaler a toutes jambes de la zone des combats, le visage marqués par la peur.
Une pluie de fleche s'abatit alors sur les coureurs d'égouts, la lune les avaient trahis! Malgré le fait que ceux ci soit bien caché, les fleches semblait comme diriger par une force anormal.
Les yeux écarquillé, l'assassin commenca a réaliser que meme si la vigueurs des squelettes étaient moindre, leurs puissance magique étaient de loin superieur a la leurs.
Alors qu'il s'apprétait a operer a un replis stratégique très bien calculer, il se sentit décoller du sol, comme si son corps partait. Il ne connassait que trop bien cette sensation... Qui était l'imbécile qui l'avait fais partir! lequel des deux?! Trop tard, déja l'assassin se retrouva face a la momie toute moche qui pue! Retrouvant rapidement ses reflexes, l'assassin dégaina sa longue lame suitante de poison, un sourrire féroce naquit sur ses levres, et il se jetta sur la momie, sa seul chance de survivre...Il mis un premier coups a celle ci, et fut horifié lorsqu'il s'apercu de la disparition d'un squellette, alors que c'était la momie qui aurait du mourrir!
Le skavens affolé enchainé donc les autres attaques, et fut heureux lorsqu'il vit la momie tomber en poussiere. Visiblement, il avait tout de meme réussir a l'avoir! Normal... il était le plus fort.
L'armée de squelettes commenca a tomber en poussiere, mais ceux présent devant lui n'était que trop réel, et alors qu'il esquivait quelques coups mal placés, tout en allumant ses fumigenes, il commenca sa course folle. Loin! Loin des squellettes et autres abomination en tout genre. Vivant!

Soudain, il fut hapé sous le sol. Un immense scorpion jaillit quelques instant plus tard de cette cachette, tenant dans sa pince le corps sans vie de l'assassin.
Squik regardait au loin la scene, très interressé. Cet imbéciles était mort, il ne restait maintenant plus que lui... ces imbéciles de mages... et les 3 la... qui avait fuit... Il faudrait bientot que du sang skavens coule... pour le bien de la race bien entendu...

Texte écrit comme ça vient, ici même, pour participer:


Une petite silhouette emergea d'un recoin sombre.

L'assassin spécial des ronges-morts, Norqueek, se déplacait silencieusement dans la ville.

Deux présences à sa gauche, deux couteaux de lancé.

Ces pathétiques créatures...
Tsss. Déjà mortes.

Il court, court et saute, arrive au coin d'une charpente gigantesque.

Une autre de ces choses attend.
Elle l'a entendue, et prépart son arme.

La lame luit dans l'obscurité, mais pourtant devant, personne.
Où est l'infiltrateur?

Un couteau ressort entre les côtes de la chose, qui regarde sa poitrine, étonnée.

Voilà qui est fait...
S'édant de sa queue, l'assassin bondit sure une platte-forme.

Déjà plus de gardes, c'est décevant...

Un coup l'envoie s'écraser contre un mur.

La victime se défend?
Parfait. Elle porte une armure, un bouclier et une lame terrible qui fauche les pilliers alors que l'assassin roule et bondit.

Jusqu'à ce que le toit s'éffondre sur sa victime, et que le skaven meurt éttouffé.

Quand le premier cris des gardes fuse, l'homme castor est déjà loin, chez son maître, au plus profond de sa forteresse forestière où règnent ses frères...


Le Rat, j'espère que ça vous a plu et étonné. ^^

Ah ! T'y croyais plus à ma participation, hein Sarkeek ?

Une petite silhouette emergea d'un recoin sombre... Elle se déplaçait silencieusement avec une agilité qu'aucun homme ne pouvait ne serait-ce imaginer d'imiter. Elle se trouvait dans une salle qui avait été construite avec du marbre blanc, mais depuis bien lontemps, une épaisse crasse noire avait recouvert toutes traces de beautés. Les murs avaient parfois des trous où sortaient des dizaines de rats qui allaient directement rejoindre une autre créature, celle-ci semblable à la première. Elle se trouvait devant un monticule de parchemins et de grimoires, et avait une longue robe verte, une fourrure grise et des cornes sortaient de sa tête. La première créature se rapprocha d'elle, en faisant fuir des rats, et enleva sa capuche. Il avait une fourrure noire, et des yeux rouges plus perçants que ceux de n'importe qu'elle être de la nuit. C'étaient donc un Assassin et un Prophète Gris...
-Prophète Gris Niarqueek, je suis-suis de retour !
Celui-ci se retourna, et prit un rat qui alla se blotir entre son cou et son épaule.
-Ah ! As-tu ce que-que je t'avais demandé ? Sa vois trahissait son impatience.
L'Assassin sortit une petite bourse et la tendit vers l'être à la fourrure grise. Il s'en saisit avec force, manquant de donner un coup à l'autre skaven. Niarqueel en sortit une pierre d'une lueur verdâtre, et la donna à son interlocuteur.
-Ta paye ! Quoi-quoi d'autres ? dit-il en lui jetant la pierre, et en mettant la bourse dans l'une de ses poches.
Le skaven se jeta sur son bien, et la caressa avant de la mettre lui aussi dans une de ses poches.
-J'ai-j'ai appris que Sniarfeek revient à-à Liskitfik...
-Sniarfeek ? Tu es sûr-sûr ?
-Certain !
Niarqueek craignait le Seigneur du Clan Liskit. Bien qu'il n'était pas souvent dans la citadelle du Clan, il était sur Skarogne, ce qui n'était pas mieux. Le Seigneur de Guerre passait ses journées à s'entrainer, et à aider son maître, Lord Paskrit. Niarqueek aurait tant voulu pouvoir comploter en paix !
-Tu peux-peux partir ! lui lança le Prophète Gris.
La silhouette se dirigea donc vers la sortie. Au moment où il s'appreta à quitter la pièce, Niarqueek chuchota :
-Fal knarf tar lik... Ishna !
Des dizaines d'éclairs verts frappèrent l'Assassin, qui s'effondra aussi tôt. Niarqueek alla chercher le paiement de son ancien serviteur, et remit la pierre dans sa bourse...
-A moi-moi...
Puis en revenant vers ses grimoires :
-Que-que Sniarfeek vienne ! Je l'attends !

(Extrait de Le Commandant Suprême et le deserteur... (III)

Plus de participations, les votes seront plus sérés ! Mais j'ai une deuxième place à défendre, voir une première place à gagner

Une petite silhouette émergea d'un recoin sombre... Elle se cacha derrière la porte du temple où se trouvait sa cible, tout en prenant bien soin de ne pas toucher ses murs, qui semblaient vivants et prêts à l'aspirer. L'assassin Prat le fourbe jeta un coup d'oeil à l'intérieur de l'immense temple de Tzeentch. Il apercut sa cible, une sorte de chose-homme à tête d'oiseau, changeant continuellement de couleur. Si Prat n'avait pas révé, il avait vu un bras sortir de l'être et s'agiter quelques secondes, avant de retourner se fondre avec le corps du chaotique. Celle-ci se trouvait en face d'une chose-démon majeur, d'après les dires de ses maitres. C'était encore plus impréssionant que ce qu'il avait imaginé. La créature majestueuse ressemblait à un aigle géant humanoïde armé d'un grand sceptre et assis sur un immense trone en mutation constante. Sa cible s'inclina devant son maitre, et murmura des louanges dans une étrange langue. Le démon approcha sa tête de son serviteur et lui demanda :
"Es-tu venu m'annoncer ta victoire contre les hommes-rats ?
- Oui, maître."
Prat se dit que le démon était joueur et chanceux. Il ne put s'empecher de penser à la terrible défaite qu'avaient eu ses maitres face à ce champion de Tzeentch.
"Et qu'ils te poursuivent depuis lors pour te tuer ? continua le duc du changement.
- Oui, maître."
A ce moment, Prat tressaillit. Comment ces deux chaotiques pouvaient-ils savoir que les skavens le chassait depuis leur défaite ?
"Encore un coup de chance, se dit Prat."
Le démon continua :
"A ta sortie, quelque chose se passera. Quoi qu'il arrive, j'aurais un nouvel adepte demain."
La chose jeta un coup d'oeil vif dans la direction de Prat, qui faillit rire, tellement la perspective que les deux choses l'ai repéré était stupide.
Le démon se concentra à nouveau sur son serviteur et lui ordonna :
"A présent sors, et affronte ton destin.
- Comme vous voudrez, maître."
C'était maintenant à Prat d'agir. Il se cacha à nouveau dans un coin du temple, et laissa le sorcier sortir tranquillement. La lueur qui émanait de sa future victime lui permit de la localiser facilement et il n'eut qu'à lui planter sa lame dans le dos pour qu'elle s'éfondre. Prat récupéra sa lame, presque triste de n'avoir eu aucune résistance, et commenca à s'éloigner de ce village corrompu. Derrière lui, le corps du sorcier émit un bruit étrange. Lorsque Prat se retourna, un vent de magie à l'état pur se dirigeait vers lui. Il voulut hurler, et le vent s'engouffra dans sa bouche. Prat se dirigea alors vers le temple, inconciament. Une fois devant le duc du changement, ce qu'il restait encore de Prat se divisa en deux corps. L'un était le sorcier de Tzeentch, qui s'inclina à nouveau devant son maitre, le deuxième était une chose qui était autrefois un skaven, et qui s'était maintenant transformé en une abomination démoniaque. L'horreur cracha une boule multicolore. Le duc du changement rit et dit :
"Pauvres hommes-rats ! Ils ne savent vraiment pas à quoi ils s'attaquent..."