Textes des Nîistrîk

C' est dans ce topic que les missions seront assignées, et c' est donc ici que vos textes de réponse sont attendus.

Pour les questions, problèmes, méditations et envies d' un jus de raisin (ou de pomme, chacun son truc), c' est pas là. Le topic "Groupe d' infiltration n°2: Les Nîistrîk" est fait pour ça. Toute envie de jus de lichee sera fortement réprimée. On mange les lichees entiers, et avec la coque pour les mauvais élèves.

Voici la présentation de la mission générale, le pourquoi de votre affectation. C' est ici que sont détaillés tous les paramètres à prendre en compte. Donc, vous êtes obligés de lire...

Salzburg...

-Petite ville du Sud de l'Empire, c'est un point de passage essentiel pour les marchands. C'est pour cela qu'une solide garnison de mercenaires est placée ici...

-Un immense complexe souterrain est tapi sous les ruines du château Von Salz. Apparemment ce sont d' anciennes catacombes. En tous cas, c' est humide, moisi, froid et très certainement bourré de pièges.

-La forteresse de Von Salz, placée sur un pic vertigineux, est en cours de reconstruction. Des ouvriers choses-hommes, mais aussi choses-naines, vaquent à des tâches insignifiantes et ne font pas trop attention au reste, vu que pour la plupart la journée se résume en trois actes: boulot, cuite à la bière naine, dodo. Une fois le château reconstruit, il sera quasi-impossible de se faufiler dans ses souterrains, et on a pas les moyens de se payer Snikch. Donc c' est maintenant ou jamais, et la seconde hypothèse n' est pas tolérée.

-Vos clans respectifs se sont alliés, et vous ont envoyés, plutôt qu' un autre de leurs gugus, rejoindre une équipe constituées par quatre autres skavens. Vous ne les connaissez pas, mais ils ont tous l' air d' être aussi compétents dans leurs domaines que vous dans le vôtre. Ils sont bizarres, peut-être plus que vous ne l' êtes vous-même, mais votre survie dépend de leurs capacités à exécuté les ordres ainsi que ceux qui vous poursuivent, donc on ne chipote pas.

-Vos supérieurs ont eu vent de rumeurs selon lesquelles les catacombes abriteraient des artefacts puissants. Et bien entendus, les chiens galeux qui ont vendus leurs infos à vos maître respectifs les ont aussi vendues à d' autres seigneurs. Cinq autres seigneurs, en fait. Et ces blaireaux n' ont rien trouvé de mieux que de constituer à leur tour une alliance et d' envoyer leurs cinq gugus bien de chez eux récupérer le trésor. Mais on a la priorité, les mecs, pour la bonne raison que ceux d' en face c' est pas nous, et que nous allons récupérer ce trésor, rentrer en un seul morceau au bercail et profiter pleinement de l' avancement, de la bouffe et des droits de reproduction accordés aux Vainqueurs. Un point, c' est tout.

-Il se trouve que la foutue bourgade où vous ont envoyé vos foutus supérieur est construite juste au-dessus des tanières du clan Poltor. Un clan resté neutre grâce à un compromis d' accords signés, de coups dans le dos portés et de mâchoires pour l' exemple brisées. Ce ne serais pas un drame si, bien entendu, les guerriers de ce clan ne patrouillaient pas dans l' ombre des maisons de cette ville. Mais ils le font, les saligauds. Vous avec cependant un avantage : un peu d' or ou un bout de fromage (parfois les deux) et un raton neutre que l' on ne connait ni d' Ève ni d' Adam devient un allié quasi-indéfectible. Tant qu' il est sûr d' y gagner quoi qu' il arrive, c' est un skaven, tout de même.

-Comme dans toute bourgade de chose-homme, il y a les fervents croyants de Sigmar... Et les autres. Les mutants. Les monstres. Les maniaques. Les zoophiles. Les fous. Les débauchés. Les assoiffés de pouvoir bien décidés à devenir puissants, quitte à vouer leurs âmes aux dieux du chaos. Aucun n' hésitera à vous capturer afin d' offrir à leur divinité un sacrifice "exotique". Or, être la victime d' un sacrifice effectué en l' honneur de Slannesh, c 'est peut-être à la mode, mais ce n' est pas forcement du goût de tous. Et puis il y a ceux qui sont là pour chasser tout ce petit monde de déviants. Des cinglés fanatiques pour qui fracasser le museau d' un homme-rat et le tête d' un démon, c 'est du pareil au même.

-Vous êtes seuls, avec une poignée de soldats peu loyaux prêtés par votre clan pour certains. Vous avez une mission à remplir, et une semaine de joie ainsi qu' un quart d' heure d' extase pour les plus endurants vous attendent à la maison. Alors allez-y. Et puis de toute façon, c' est pas comme si vous aviez le choix, hein?

EDIT du Corrupteur:

"Où en sont nos infiltrés-infiltrés?"
"Ils sont partis-partis, messeigneurs."
Nîistrîk, le skaven chargé du bon déroulement des opérations d' infiltration de Salzburg, attendais que les cinq dictent la suite des opérations.
"Bien."
Les cinq seigneurs se levèrent de leurs chaises et se dirigèrent vers la sortie, le chef des opérations sur les talons. Apparemment, aucune suite n' avais été prévue.
"D' après vous, ils vont réussir a ramener quelque chose-chose?"
L' un des seigneurs s' esclaffa.
"Avec le bras-cassé que j' ai envoyé? Impossible-impossible!"
Un autre seigneur se mit à rire à son tour.
"J' allais répondre la même chose..."
"On mange quoi?"
Nîistrîk secoua la tête. C' était pire, bien pire que tout ce à quoi il s' était attendus lorsque ces cinq chefs lui avaient proposé de devenir le "décisionnaire supérieur et qualifié dépositaire de toutes les troupes d' infiltration de Salzburg". Il avait d' abord pensé que les troupes n' étaient pas qualifiées. Ensuite, il s' était demandé si le nombre exact de ces troupe était suffisant pour en avoir en rechange, au cas où. Après, il avait eu un doute sur l' existence du trésor. Maintenant, il était convaincu que dans les cinq prochaines minutes, un skaven à l' air lamentable et penaud allait faire irruption dans sa tanière de commandement et lui avouer que les quatre autres étaient morts, que le château n' était pas en reconstruction, que les catacombes n' existaient pas et que le seul trésor de ce village était un tonneau de bière naine de douze litres. En fait, il doutait même de l' existence de la bourgade.
"Et merde."
Le chef des opérations quitta à son tour le poste de commande, laissant seuls les instruments de réception des appels par parle-loin, les rat-dars et tout ce fatras mécanique qui désormais ne servirais à rien.




Missions:


(joueur : Alexy999)

Alexy Kadaboum

Tu viens d' entrer dans Salzburg grâce aux souterrains du clan Poltor. Plus précisément, tu viens d' entrer dans la cave d' une maisonnette de marchands. Des marchands de vin. Et cette cave est splendide. Ton équipe technique à décidé de rester dans les souterrains du clan Poltor, mais tu les soupçonne d' avoir une grosse envie de se bourrer le museau au vin bon marché. Tu pestes un coup, revisse un boulon de ton armure et déclenche la "phase thermique" de tes lunettes multi-vision. Deux points chauds se baladent au dessus de ta tête pendant un moment, et par chance montent au second étage au bout d' une demi-heure, sans avoir entendu que ton équipe technique vidait leur cave. Tu montes les marches qui donnent au rez-de-chaussée. Ton boulot : donner aux autres membres de l' équipe d' infiltration une plus grande liberté d' action en distrayant les gardes. Et rien ne semble plus facile, puisqu'il te suffirait de te mettre à courir partout comme un dératé.
Mais faire péter un truc, un gros bâtiment, genre la caserne, ce serais tout de même moins dangereux, et surtout plus cool. Et puis, puisque tu es là, un tour du côté des catacombes s' impose, non?



(joueur : Polo73)

Schreulk

La foutue douane du clan Poltor. Ils ont osés te prendre tes créations. Soit-disant "pour les protéger". Mon oeil. Depuis quand un rat-ogre a-t-il besoin qu' on le protège, hein? Mais c' est peut-être pas plus mal. Grouaa n' aurait pas pu passer inaperçu dans ces ruelles étroites. Et tu es justement dans une ruelle de ce type, parce que ce genre de ruelle c' est la norme, à Salzburg. Tu n' as pas une minute à perdre : les clés des souterrains sont dans la caserne, à quelques rues de la bouche d' égout dont tu vient de t' extirper. Tu les remettra à ce mec bizarre, toujours entouré de sa cape. Il t' attendras devant le chantier du château. Tu dois faire vite. Parce que cette bourgade grouille littéralement de choses-hommes. Et aussi parce que le technomage fou avec son armure énorme répétait qu' il allait tout faire péter. Or tu as le pressentiment que la caserne est comprise dans ce "tout"... Ensuite direction le château. On ne fait pas se déplacer Schreulk le grand pour que dalle.


(joueur : Rhonono)

Haskiskikk le fétide

Ton nécessaire à potion bien serré contre ton corps, tu progresse à pas vif dans la rue principale. La tête baissée, le museau dans ton col, avec cette énorme capuche, et la queue cachée dans les plis de ta toge, on jurerais une chose-homme. Ta mission : déverser un maximum de tes potions spéciales dans la citerne qui alimente toute la ville en eau potable. Tu l' auras compris, c' est afin de couvrir la fuite de l' équipe que tu as été envoyé ici. Une seule fiole se diluerais rapidement dans toute cette flotte, c' est pourquoi tu en trimbale douze, toutes cachées dans des endroits incongrus. Il y en a même une qui te chatouille. Seul problème : la citerne est à l' autre bout de la ville. Prie pour ne pas être démasqué... Et si tout ce passe bien, un tour du côté des catacombes serais peut-être intéressant. Voir fructueux.



(joueur : Pelage Noir)

Pelage Noir

Tu es grand, costaud, et ça tombe bien. En fait, c' est même pour ça qu' on t' as choisi pour ce boulot : mener une mini armée dans les rues de Salzburg, à l' opposé du château. Tu as tout ce qu' il faut. Sauf des guerriers. Et malheureusement ça ne pousse pas sur les arbres, tu dois donc convaincre une dizaine de ces abrutis du clan Poltor d' attaquer la ville pour une raison X ou Y. Et des raisons X ou Y, tu en as plein tes poches. Deux cent cinquante, pour être précis. En or massif. Grâce au ramdam généré par l' apparition de tes futurs guerriers, conjugué à la diversion du technomage cinglé, le château sera quasi-libre. Et tu as bien l' intention d' y faire un tour. Pour l' équipe. Ou pas...

(Joueur : Karnad)

Karnad l'hémifourrure

T' es le seul qui soit plus ou moins discret. Tes petits pouvoir peuvent te créer deux trois diversions. Alors tu sait ce que tu doit faire: te faufiler dans les souterrains du château. Et tout piquer. Surtout ce qui brille. Et ce qui est magique. En fait, tout ce qui pourra être revendu un peu plus de dix pièces d' or. Malheureusement, tu doit attendre que Schreulk te ramène la clé, et le point de rendez-vous, c' est les portes du chantier du château.. Et encore plus malheureusement, voila trois gardes qui s' amènent devant toi. Tu te retourne. Trois autres gardes arrivent de l' autre côté aussi. Pas moyen de s' échapper par une ruelle. Quel manque de bol, quand même. Tu regarde vers le haut, et c' est le flash : le chantier, c 'est par les toits que tu vas y arriver...

Jetant un dernier coup d'œil aux gardes qui arrivaient, Karnad commença à escalader rapidement le mur qui lui faisait face. Le mauvais état de la façade lui permit de se hisser assez rapidement à environ quatre mètres du sol. Il entendit alors les gardes se mettre à parler entre eux, et ne pu s'empêcher de tourner la tête pour regarder. Malheureusement pour lui, sa patte gauche se trouvait sur une pierre sur le point de se détacher, ce qu'elle fit... Se retenant de justesse au mur, il se mit à grimper à toute vitesse, poussé par l'instinct de survie. Il atteignit le toit à l'instant même où la pierre touchait le sol. Malheureusement, l'un des gardes avait aussitôt relever la tête et jurait avoir vu quelque chose. Il essayait d'ailleurs de convaincre ses compagnons. Afin de ne pas prendre de risques Karnad vomit un rat, qu'il envoya tomber d'une pichenette. Il attendit une bonne demi-heure avant de se relever, afin de s'assurer que son stratagème avait bien fonctionné. Puis, le contrecoup de l'effort qu'il venait de fournir s'abattit sur lui. Il prit un crousti-rat au chocolat pour se redonner des forces avant de se mettre en route vers le chantier.

Pelage Noir calculer soigneusement son coup. Il devait trouver un moyen pour que ces pitoyables guerriers du Clan Poltor pointent leurs museau quelques secondes avant l'explosion du technomage fou. Il aller falloir plus que sa présence pour convaincre des lâches pareils. Son sabre rouillé bringuebalant dans un bruit métallique contre son armure de Vermine de Choc résonnait dans les souterrains qui servaient de repère à ce clan faible. Il devait ce situer juste en dessous de la ville des choses-hommes. Il arriva finalement devant ce qui ressemblait à l'entrée du repaire du Clan Poltor. Deux sentinelles ce levèrent subitement, les jambes tremblante devant le physique imposant de Pelage Noir.
''Qui vas-là ?
- Personne, personne. Je suis un bon ami-ami !
- Tu es du clan ? Je ne t'ai jamais vus-vus !
- Je t'en pose des questions !? Tu peux aussi bien être un espion que moi !
- C'est vrai ?
- Non c'est faux !''
Ces skavens sont finalement trop facile à manipuler. Voilà que maintenant les deux sentinelles manquaient de ce battre pour abattre l'autre. Pelage Noir en profita pour frapper comme il fallait et mettre à exécution son plan.
''Arrêtez de vous battre-battre ! Et écoutez moi plutôt.''
Rien à faire. Les voilà déjà entrain de s'arracher la moustache et la peau. Pelage Noir ne réfléchis pas plus et abattu silencieusement son sabre sur leur tête. Puis là, devant les deux corps maintenant sans vie, il prend une voix paniqué et hurle à plein poumon.
''Sortez tous ! On attaque le Clan !''
Presque aussitôt, les autres sentinelles, une douzaine tout au plus, jaillissent des portes les armes au poing.
''Je l'ai vus ! Un autre ! Il est partis sur la surface ! Suivez moi ! On vas le rattraper et ce le préparer pour dîner-dîner !''
Et Pelage Noir s'élançât suivis de près par les guerriers des clans. Son plan marchait mieux que prévus.

pom!polom!pompom ...!!!

Le techno-mage cinglé (et bourré) continuait d'entasser des tonneau de poudre de la réserve de la caserne, il n'avait pas eu de mal à la trouver car la cave était celle de l'auberge situé en face où les soldats passaient leur temps libre, mais ce soir elle était déserte, sans doute la musique que l'on entendait au loin était celui d'une grande fête et donc que les débits de boissons humain avaient fermés pour que leur propriétaire se rendent sur place.

Il avait laissé ses imbéciles de sous-fifres dans la cave à la merci d'un état d’ébriété sans précédent, puis une fois son travail achevé, il déroula un câble métallique derrière lui tout en retournant à la cave, il repassât dans le hall et dans une pièce voisine il entendit les chants bizarres d'homme ne faction n'ayant pu rejoindre la fête et l'organisant sur place, 2 ou 3 sans plus. Une fois à la cave il prévînt ses rats.

-" Les rats !!! (fît il d'une drôle de vois car il avait lui même goûté à plusieurs bonnes bouteilles) En face il y a une taverne encore meilleure où il serve une de ces bière ... Allez on y va mais vous faites gaffes aux choses-ivrognes, elle voudront sûrement pas vous en donner ..."

Les skaven furent enthousiasmés et se précipitèrent hors de la cave, l'escarmouche qui suivit fût courte et trop médiocre pour la décrire, mais comme kadaboom l'avait prévu le cor d'alarme résonna. Il en avait profité pour relié le câble à une petit minuteur, les humains en armures n’allaient pas tardé à arriver, il mit le compte à rebours sur 2minutes et 10secondes (130secondes) et partit dans l’escalier, il dépassât le rez-de-chaussé et monta encore, il arriva à une fenêtre et monta sur le toit.

Malgré le danger que représentait la proximité de 5 tonnes de poudre noire et le risque d'être aperçus il n'aurait voulu manqué cela pour toute la malepierre du monde. Il attrapa un rat qui s'était approché de lui (étonné par son grand cousin bipède) et le mâchonna en regardant les premiers gardes arrivés.

Oh que oui, il n'aurait voulu manquer ça pour rien au (sous-)monde

Haskiskikk progressait lentement dans les rues de Salzburg maugréant contre son supérieur le maitre corrupteur Rhinerkol, pourquoi l’avait on choisi pour cette mission qui aurait été plus dans les cordes d’un adepte du clan Eshin. Quelqu’un allait devoir payer, il avait du souffrir l’inconfort d’un voyage dans ses terres des hommes, avait faillit finir dévoré par une chimère des montagnes qui avait décimé son escorte, seul sa promptitude à fuir en laissant ses incompétente sur place l’avait sauvé. Enfin il était arrivé et voila qu’il se retrouvait au milieu de cette ville humaine pouilleuse pour empoisonner un peu d’eau. Est-ce la une tache pour le plus grand génie que le clan Moulder n’ai jamais produit ?
Bon pour le moment tout se passait bien mais plus Haskiskikk restait a la surface plus il avait l’impression de réduire son espérance de vie, donc retrouvant les instincts de sa race il se mit en quête d’une entrée dans le réseau de tunnels qui, lui avait on assuré, parcourait tout le sous sol de la ville.
« Il me faudrait un guide ! ». Essayant de se rappeler ses discussions sur le monde des hommes il se souvient d’un fait que lui avait narré son condisciple Masslitch peut de temps avant qu’il ne meurt sous la dague d’un de ses apprentis trop ambitieux : « Rien n’a plus d’attrait pour l’homme que se métal inutile qu’est l’or ». Fouillant sa bourse Haskiskikk trouva quelques cercles du métal jaune qui lui avaient été fournit en même temps que ses ordres de missions. Il déboucha une fiole contenant un liquide rouge à l’odeur acre qu’il identifia immédiatement comme la mort-qui-se-touche, un poison contact des plus virulent. Il y trempa les pièces avant de les reprendre dans sa main gantée de cuire.
Avisant quelque jeune humain en haillons dont le principal souci d’après les brides de conversation qu’il avait entendu semblait être de savoir si une certaine Ludivine le faisait ou pas, il décida qu'ils ferraient bien l'affaire. Se promettant d’en apprendre plus sur les pouvoir de cette Ludivine et s’assurant d’être dissimulé dans l’ombre, il les interpela d’une voix chevrotante : « mes bon amis, je suis Albert l’alchimiste et j’ai besoin de votre aide pour trouver l’entrée des catacombes où m’ t on assuré je trouverais les champignons soleil essentiel la concoction de la potion de pureté. Une pièce d’or pour chacun d’entre vous si vous m’y conduisez ! ». Il secoua sa main pour faire tinter les pièces et à ce son le visage des mendiants s’éclaira et leur mains avides et sale se tendirent vers la forme sombre qui s’était adressée à eux. Haskiskikk déposa une pièce dans chacune des mains prenant bien soin d’appuyer le métal plus que nécessaire sur la paume des quémandeurs. Aussitôt l’un d’eux se leva et s’adressa a lui avec moult courbettes « suivez moi, seigneur je connais une entrée discrète a quelque pas d’ici ».

(Joueur : Karnad)
Le skaven bicolore sauta de toits en toits, la bouche pleine. Heureusement que ces choses-hommes construisaient leurs maisons aussi rapprochées les unes des autres. Parce que faire un saut de deux mètre ça allait, mais plus c'était une tentative de suicide. Et son instinct, que le Rat-Cornu le bénisse, lui dictait que les tentatives de suicide c' était mal. Il chercha dans sa besace un choco-rat, sa friandise préférée, et se le fourra dans la bouche. En proie à l' extase gourmande, il ne remarqua pas qu' il passait sur le toit d' un maison de pauvre. Ça aurait pu être sans conséquence si la charpente avait tenu. Mais sans trop savoir comment, le skaven passa en moins d' une seconde des toits de Salzburg à la chambre à couché de Nanny MacPhee, puis à la salle de bains de Nanny MacPhee, et enfin à la cave de Nanny MacPhee. Pendant ce temps là, une explosion se produisit dans la ville. Mais à vrai dire l' homme-rat n' en avais rien à foutre. Il s' était retrouvé sur le dos, à s' étrangler avec son choco-rat. C' était cependant le moindre de ses soucis. Car la vieille mégère arrivait...

(Joueur : Pelage Noir)
La vermine de choc du clan Scorbut jubilait : plus que quelques mètres et c' était la surface! Ensuite, il n' aurait plus qu'a abandonner ces crétins à leur sort, et hop! Cette tâche est terminée! Et direction le trésor!
"Arrêtez!! Là-bas c' est la surface-surface!!"
"Et merde!"
"Tant pis..."
Pelage noir blêmis. Comment ça, "tant pis"???
Les guerriers firent demi-tour et se dirigèrent vers leur habitacle, désormais à peine intéressés par la mort des deux autres gardes. Le skaven musculeux se retint de justesse de montrer à ces crétins par a(brutis serviles)+b(arbarisme outrageux)=c(oup de poing dans la gueule des récalcitrants) qu' il fallait aller en haut.
Soudain, une explosion retentit à la surface. L' espèce de cinglé venait de mettre en œuvre sa diversion. Il fallait agir, et vite.

(Joueur : Alexy999)
Plus que quelques secondes... Et boum!!
Un sourire de cinglé (son préféré) pendu aux babines, le technomage essuya le sang qui dégoulinait sur son menton. La caserne vola en éclat et des bouts éparses de linteau, de brique et de chair humaine et skaven se répandirent dans la rue, tuant quelques choses-hommes trop lentes à la réaction au passage.
"Foutu-foutu imbécile!!!"
"Héé?"
L' homme-rat se retourna pour découvrir l'un de ses semblable essoufflé et en sueur, qu' il reconnu comme l' un de ses coéquipiers.
"T' as tout fait sauter-sauter! Et j' avais pas la clé!!"
"Heeu..."
Maintenant qu' il y pensait, il y avais bien une histoire dans le genre comprise dans le plan...
L' autre skaven se retourna, furibard, couru vers le bord du toit et sauta.
"Agnéé?"
Fut la première chose qui traversa l' esprit de Kadaboum. "Trésor" arriva en troisième place, juste après "boum".

(Joueur : Rhonono)
Les choses-hommes pouilleuses conduisirent le maître des potions du clan Moulder à travers les ruelles sales et mal éclairées. Enfin, après quelques minutes d' une marche rapide, ils se retrouvèrent face à un vieux puits. Haskiskikk lâcha un soupir de satisfaction. Enfin il allait retrouver la tiédeur moite et sûre des souterrains.
"Voilà. Il est à sec. C' est un passage secret qui communique avec le réservoir près du château, ça s' est sûr. Il va plus loin, en fait, mais on a jamais essayé d' y aller."
"Merci-merci, messieurs..."
Les mendiants le regardèrent avec un drôle d' air. Quel imbécile!! Il avait lâché un mot en double dans une conversation avec un humain!
"Vous êtes bizarre, quand même... Vous venez d' où?"
"Je reviens d' une expédition au Nord de la Tilée, les ingrédients de là-bas ont un meilleur effet sur mes décoctions."
Pour une fois, il ne mentait pas. Ce fichu ordre de mission l' avait obligé à se rapatrier plus vite que prévu.
"Et bien, au revoir, mes jeunes amis, je m' en vais."
Haskiskikk attrapa la corde du puits et se laissa glisser jusqu'au fond. En haut, les choses-hommes devaient commencer à ressentir les premiers effets de son poison. Et maintenant, direction cette foutue flotte qui alimente la ville.
Le skaven s' avançait dans le tunnel en sifflotant vaguement lorsqu'une forte explosion se fit entendre, ébranlant la vieille galerie souterraine. Craignant l' éboulement intempestif, l' homme-rat se mit à courir. Les fioles le gênaient beaucoup, à vrai dire. Un craquement sinistre retentit derrière lui : un pan de mur s' était détaché et avait obstrué le chemin de la sortie.
"Et merde!!"
Le maître des potions pris la seule voie encore viable. Direction numéro une : la réserve d' eau. Ensuite il aviserais.


(Joueur : Polo73)
Des éclats de voix se firent entendre dans la ruelle qui jouxtait celle où le skaven s' était tapis. Tout se passa très vite : Schreulk entendis très distinctement des piaillements de skavens. Puis des hurlements de choses-hommes. S' ensuivi un rire maniaque trop reconnaissable. Puis plus rien. Silence radio. L' explosion venait de lui faire frire les tympans pour dix bonnes secondes. Désorienté, le skaven chercha une explication logique. Alors voyons... Il savais qu' il ' était pas loin de la caserne. Il savais que le fou allais la faire péter. Il savais que le fou avait un rire de cinglé. Tout ça, une fois mis bout à bout, lui fit comprendre qu' il était arrivé trop tard. Un éclat de rire dément résonna à ses oreilles : le technomage n' était pas loin. L' homme-rat leva le museau et reçu les boyaux d' un rat sur la tête. Schreulk enleva calmement les entrailles de sur sa tête, grimpa calmement le mur de la maison qui lui faisait face et regarda calmement le technomage s' essuyer les babines.C' est tout aussi calmement qu' il hurla sur son congénère. Toujours très calme, Schreulk sauta du toit, laissant là le fou. Il réussit un atterrissage spectaculaire avec réception sur le postérieur. Le skaven voulu rester là, assis, à méditer sur le sens de la vie, pour une fois, mais quelque chose le gênait. A un endroit sur lequel on ne s' appesantira pas, parce que les jeunes lecteurs crédules découvriraient la dure réalité du monde. Le skaven se leva en extrayant l' objet qui lui malmenait le rectum. C' était une clé, qui aurais pu être belle si elle n' avais pas profité lâchement de l' atterrissage de l' homme-rat, et cette clé portait des armoiries qu' il avait déjà vu quelque part. Schreulk leva un sourcil : il tenait la clé du château.

Pelage Noir frappa de la pattes par terre en pestant contre ces lâches. Et avec l'explosion qui venait d'avoir lieu, il devait faire vite. Très vite même.
''Revenez bande de misérables ! On avait presque rattrapé ce foutu rat !''
Parlez ainsi à un Skaven. Pelage Noir ce demanda bien ce qu'il lui prenait. Mais plus il perdait de temps à débattre sur ce sujet plus ses ''guerriers'' s'éloignaient. Ni une ni deux, une balle de pistolet à malepierre bien placé devrait suffir à faire réagir ces lâcheurs. Il fouilla donc dans son premier range-pistolet en cuir.
''Quoi !?!''
Son range-pistolet était vide. Et l'autre aussi ! Et le troisième ! Ainsi que toutes ses autres cachettes à pistolets ! L'image lui parvins alors à l'esprit : cette taverne ! Cette guele de bois ! C'était donc ça ?!? Cette fois c'est contre lui qu'il pesta en frappant le sol de sa patte. Mais plus le temps de ce plaindre contre son sort. Déjà le dernier guerrier des clans disparraissaient dans le noir. Pelage Noir pris une pierre par terre et ajusta son tir. Il ne l'avait jamais fait, mais lancer une pierre, ça devait pas être plus dur que de tirer au pistolet. Il pris son élan et lança le caillou avec suffisament de force pour éclater un pot de terre séche. Ou une tête d'Esclave, les deux avaient à peu près la même consistance. Le caillou siffla de près à l'oreille d'un des fuyards. Un cri de souffrance résonna dans le noir. Les guerriers des clans semblaient paniquer.
''Queue-de-verre !
- On a tué Queue-de-verre !
- D'une balle dans la tête !
- Ca ressemblait plus à un caillou.''
Et les voilà partis pour ce débattre sur la cause de la mort. Au moins, ils c'étaient arrêtés. Pelage Noir était au moins satisfait de ça. Il pris une profonde inspiration et hurla de tout ses poumons :
''Celui qui l'a tué, c'est moi ! Et avec une pierre ! Et je peux recommencer pour chacun d'entre vous si vous venez pas me chercher sur le champ-champ !!!!!!''

Prenant tout de même deux secondes pour se demander comment Nanny MacPhee avait bien pu passer d'un spaghetti d'univers à un autre (car oui, Karnad avait de très intéressantes théories sur le multivers.) Il se releva rapidement et commença à chercher fébrilement une cachette autour de lui. Malheureusement il n'y en avait aucune, ce qui n'augurait rien de très bon pour lui. Entendant les bruits de pas de la propriétaire des lieux, il se dissimula complètement sous sa cape, s'empara d'un bout de papier et d'un crayon qui trainaient là, et pris l'air de celui qui est tout à fait à sa place.
"On ne vous a jamais appris qu'il était très impoli de défoncer les maisons des gens sans y avoir été invité?"
"Êtes vous la propriétaire-propriétaire de cette habitation de catégorie P?"
"Euh... oui"
Voyant la surprise de Nanny, l'homme-rat commença à s'approcher d'elle.
"Brodique Jean Furet, évaluateur-architecte mandaté-mandaté par la marie de Salzburg afin de déterminer la vétusté des zones-zones d'habitations en vue d'une réhabilitation de ces mêmes zones."
"Euh... oui?"
Il fit un pas de plus.
"Et bien laisser moi vous dire que l'état-état de cette demeure est un vrai scandale! Jamais en quarante ans de carrière-carrière je n'ai vu une maison en si piteux état!"
Plus qu'un mètre et cette sorcière ne verrait pas le coup d'épée venir, exulta la vicieuse créature à fourrure.
"Pardon de vous interrompre, mais est-il courant dans votre profession de disposer d'une queue annelée? Et aussi de parler comme un skaven?"
Se figeant, Karnad constata qu'effectivement, sa queue dépassait de sa robe. Et se rappela aussi qu'il ne savait pas parler humain, ce qui pose problème lorsque l'on tente de se faire passer pour l'un d'eux. Par acquis de conscience, il sortit tout de même son épée et tenta de tuer la vieille peau. Son bras avait à peine esquissé un geste qu'elle frappa le sol de son bâton et l'envoya valdinguer à l'autre bout de la pièce. Le craquement sec lorsqu'il heurta le mur lui appris le suicide collectif d'au moins quatre côtes, ce qui lui fit échapper un couinement de douleur. L'hémifourrure n'était cependant pas décider à se laisser faire et commença à rassembler toute sa puissance magique tendit que son adversaire faisait de même. L'air se mit à crépiter d'énergie verte, les débris volaient autour d'eux, plus un bruit ne se faisaient entendre, comme le calme avant la tempête... Hurlant le plus vieux cri de guerre skaven de tout les temps il sauta, cracha un flot de vermines vers le sol, et monta à toute vitesse vers le plafond.
"Courage! Fuyons!"
Seulement l'homme-rat avait raté son estimation et dut retraverser à nouveau le sol de deux étages, ce qui n'arrangeais en rien son mal de dos. Il avait aussi sous-estimé la puissance de son sort et retomba lourdement sur un toit voisin, avant de sombrer dans l'inconscience.

Cela faisait presque une demi-heure que Haskiskikk arpentait ce tunnel sombre. Ill était déjà tombé 5 fois a cause de pierre traitresse qui trouvaient le moyenne de se glisser sous ses pieds. Soudain un bruit le fit sursauter et, alors qu’il tentait de se cacher dans un renfoncement du mur, celui-ci s’ouvrit dans son dos et le maitre des potions se retrouva glissant le long d’une pente abrupte. Haskiskikk tenait fermement son sac essayant de limiter au maximum la casse que son atterrissage à forte vitesse risquait de déclencher. La pente s’adoucit et Haskiskikk réussi tant bien que mal a s’arrêter contre une paroi dans la grande salle ou il avait déboulé de manière peut élégante.
C’était une pièce octogonale, bordée de colonnes cyclopéennes dont le sommet semblait se perdre dans un océan de noirceur. Un motif formé de huit flèches disposées en cercle pointant dans des directions opposées était gravé sur le sol et un autel auréolé d’une lumière rougeoyante trônait contre un des mur. Les bas reliefs contre les quels le skaven était maintenant appuyés montre moult scène de bataille et les cranes semblait être une des obsessions du sculpteur qui avait décidé d’en ajouté partout de toutes les tailles et de toutes les formes. Comme un murmure à ses oreilles, Haskiskikk croyait entendre le bruit des combats et dans son esprit des rêves de gloires et de carnages se multipliaient. Le simple fait de s’imaginé a la tête d’une armée lui était tellement étranger qu’il sut qu’une puissance voulait le manipuler. Tentant de retrouver ses esprit, il prit une longue inspiration et éclata d’un rire funeste en s’écriant : « Choses-folles que vous êtes, je suis Haskiskikk maitre des potions du grand- très grand clan Moulder ! De mon esprit-esprit je suis le seul maitre ! Vos vision pitoyable ne sont écrans-écrans de fumé car ma seul place sur un champ de bataille est prêt des cadavres-cadavres après la mêlée pour prendre les organes pour mes potions ! ». ayant dit cela Haskiskikk pressa le pas vers une large ouverture qui semblait être la seul sortie de se temple maudit, il était pas venu faire du tourisme et sa mission n’était pas terminée.

le technomage réfléchissait; un trésor ... avec ça il pourrait s'acheter de nouveaux esclaves pour ses expériences où même un énorme bloc de malepierre pour ses projet de raneblade.
Puis soudain il eu un flash back: il se revoyait avec son second mentor (le premier n'ayant pas apprécié le fonctionnement du minuteur d'une bombe réalisée par son élève) en train de construire un condensateur pour un prophète gris avec une étrange pierre. Son maître lui avait expliqué que ce talisman avait été pris dans un repaire de choses-homme, celles-ci étaient trop stupides pour en comprendre la vrai nature.

Peut être trouverais il dans ce vieux château un artéfact d'un pouvoir immense lui permettant de mener ses projets encore plus loin qu'il ne pouvait l'imaginer. Le problème c'est que ce dernier ce trouvait à l'autre bout de la ville et le temps de l'attendre dans son armure lourde et lente et de commencer les fouilles le soleil se serait déjà levé. Il lui fallait un moyen de transport.
Il sauta du toit, les verrins et les pistons amortirent sa chute et commença à fouiller dans les ruines avant l'arrivée de renforts.
Après 2 bonnes minutes de recherches il commençait à désespéré de trouver une chose-utile, quand il mis la main sur un vieux canon. Certe le fût ne lui servirait à rien (surtout dans cet état) mais le châssis était quasi intact.

A deux rue de là une patrouille approchait.

-"Moi je te dis que c'était pas normal ce bruit"
-"Mais ... mais non (burp !!!) c'est ... c'était juste une explosion ...."
-"Même saoul tu trouve ça normal toi les explosions ???"
-"Saoul !? Moi ?!? Non mais, t'as bu deux fois plus de bière que moi (hic !!!)
-"Ouai mais moi je tiens l'alcool contrairement à toi, qu'est ce qui va dire le sergent, mmmh ..."

Tout à coups un rugissement mécanique se fît entendre, se faisant de plus en plus proche , le fauteuil-roulant modèle exo-armure-ratside déboula au coin de la rue, manqua de les écraser, et continua sa course effrénée.

-"Bon d'accord peut être que j'ai un peu forcé la dose, rassure moi et dis moi que tu ... tu as aussi vu passé un tank à vapeur miniature avec un rat aux commandes ?!?"
-"C'est toi qui est complètement bourré, tu sais pas reconnaître (hip !!!) une grand orque rose quand t'en vois un ?!?"
-"Laisse tomber et allons nous en remettre une, je crois que j'en ai bien besoin ..."
-"Ah là tu deviens raisonnable !!!"

Après les gros boom, kadaboom n'appréciait rien d'autre que la vitesse, mais il était trop occupé à imaginer ce qu'il allait bien pouvoir déniché dans les salles au trésor du palais
Dans la nuit noire, l'ombre de l'édifice se rapprochait ...

(Pelage Noir : )

"Mais il est dingue-dingue, lui?!"
"A l' assaut!!"
"Nooon, là-bas c' est la surface et..."
Pelage Noir lança la seconde pierre droit dans les dents du skaven récalcitrant. Sous le choc, les incisives de l' homme-rat se brisèrent et le projectile, libre de tout obstacle, continua sa course jusque dans l' œsophage de la victime. Le skaven tomba à la renverse, la face cyanosée, confronté à une asphyxie aussi soudaine qu' imprévue.
"Aux pieds, tout-tout le monde, où je m' énerve pour de bon-bon!"
La douzaine d' homme-rats obéit tandis que l' avaleur de pierre convulsait.
"Bien, maintenant, tous-tous à la surface, et au pas de charge!!"
"M'sieur, oui m'sieur!"
La troupe de guerrier sortit en trombe du tunnel et se dirigea vers les rues de Salzburg.
"Il ne tiendrons pas deux-deux minutes..."
La vermine de choc du clan Scorbut s' approcha du parle-loin qui trainait près du skaven agonisant. La machine était fonctionnelle. Une idée simple émergea dans l' esprit de Pelage Noir.
"On va leur envoyer-envoyer un peu de renfort."
Le guerrier d' élite tourna le bouton jusqu'à trouver la fréquence de la surveillance frontière du clan Poltor, et se mit à hurler dans l' appareil.
"Les choses-hommes nous attaquent! Les choses-hommes nous ont trouvés!! Venez vite-vite, à la sortie quatre!! On ne pourra pas les contenir longtemps-longtemps à la surface!!"
Ceci fait, l' homme-rat musculeux écrasa l' engin entre ses mains et tendis l' oreille. L' alarme s' était déclenchée et il percevait déjà l' écho des centaines de pattes griffues se dirigeant vers sa position.
"Maintenant, il faut que tout cela-cela ai l' air crédible."
Le skaven se dépêcha de disposer les corps des gardes qu' il avait tué de telle sorte que seul un observateur fin auraient pu contredire la thèse de l' attaque humaine, et en profita pour achever l' homme-rat bleuit par le manque d' oxygène.
"Voilà-voilà! Filons!!"


( Karnad : )

Le skaven se réveilla lentement. Sa tête tournait, il avait mal au dos comme cela ne devrait pas être permis et il se sentait complètement vanné. Ses paupière lourdes l' empêchaient de voir nettement son environnement, mais celui-ci était principalement composé d' un superbe...
"Lit à baldaquin?!?"
L' hémifourrure se redressa brusquement sur son postérieur. Un corps chaud se pressait contre lui tandis que deux bras l' enserraient étroitement.
"Mais-mais qu'est-ce que...??"
Le corps et les bras sus-cité appartenaient à Mademoiselle MacPhee, actuellement à sa droite, et il se trouvait dans sa chambre à coucher. Karnad réprima un spasme d' horreur et tenta de se soustraire à l' emprise de la chose-femelle-humaine. Il se rendis alors compte que Nanny ne dormait pas.
"Bah tu part déjà? Après une si belle nuit..."
Nanny caressa lentement le pelage grisâtre du skaven, commençant par le torse, puis laissa descendre sa main de plus en plus bas.
"Tu resterais bien un peu, non?"

"WHAAAAAAAAAA!!!!"
L' homme-rat se réveilla en sursaut et regarda autour de lui, en proie à une véritable crise de panique. Il était assis sur les tuiles d' une vieille baraque, et seul le ciel couvert d' étoiles le surplombait pour son plus grand soulagement. Karnad se passa la main sur les yeux, suant toute l' eau de son corps, puis se laissa retomber sur le dos.
"Oh, merci-merci, grand Rat-Cornu, ce n' était qu' un cauchemars..."
Le skaven éclata de rire et se releva, vacillant. Ses côtes cassées lui faisaient un mal de chien, certes, mais il avait échappé à tellement pire...
"Bon, il est où, ce fichu-fichu chantier?"
L' homme-rat scruta les bâtiments de la ville. La silhouette du chantier s' élevait un peu plus loin. Plus que quelques pâtés de maisons et il serait bon pour une descente dans des catacombes humides ,froides, moisies et très certainement bourrées de piège, mais ça il le savait puisqu'il avait lu le parchemin de présentation de Salzburg. L' homme-rat se mit en route d' un pas mal assuré. Quel mal de crâne quand même! Il avait l' impression d' avoir reçu un poing de rat-ogre sur la tête...

Pendant ce temps, Nanny, rêveuse, repensait à cette superbe nuit à deux en compagnie de ce skaven bizarre mais étrangement doué, même drogué, et soupira.
"Dommage qu' il se soit réveillé si tôt."
Elle rangea la batte qui lui avait servit à assommer son compagnon et fit quelques exercices d' assouplissement. Le replacer sur le toit n' avait pas été une mince affaire.


(Rhonono : )

Le skaven avançait dans le tunnel sombre et moite. Les murs étaient couverts de graffitis occultes qui brillaient faiblement.
"Nom-nom d' un élixir à la racine de Ginkgo, cette ville est presque autant-autant pourrie par le chaos que par les souterrains du clan Poltor..."
L' homme-rat cheminait lentement. Il n' avais pas du tout envie de se précipiter et de débouler sur une pièce remplie d' adorateurs de Khorne. Ou pire, d' adoratrices de Slannesh...
Un léger ruissellement lui parvint aux oreilles. La château d' eau devait être dans le coin.
"Pas trop-trop tôt, quand même..."
Le tunnel débouchait sur une vaste pièce, et Haskiskikk ouvrit la bouche de stupeur.

La salle, vaste comme une cathédrale, abritait une fontaine aux proportions dantesque, et dont l' eau s' écoulait à l' envers, au mépris de toutes les lois de la physique. Des stalactites et des stalagmites sculptés en forme de corps humains semblaient danser autour de la cascade inversée, et milles fleurs en champignons poussaient sur le sol, baignés par l' eau magique. Il y avait là des espèce de végétaux que le maître des potions n' avait encore jamais vue. Les yeux exorbités, le skaven s' approcha du plus gros spécimen de polypore multicolore qui lui eu été donné de voir. Il le toucha du bout des doigts, caressa la surface du champignon miraculeux, s' attendant à ce que le charme prenne fin et qu' il sorte de transe au beau milieu de démons affamés, mais rien ne se produisit. Un sourire béa fendis son museau de part en part : il avait trouvé son Éden. L' homme-rat cueilli le polypore, le mit dans sa besace et sortit son carnet de note pour marquer l' emplacement de l' endroit et comment s' y rendre. Il n' avait strictement plus rien à faire des plantes de Tilée, pour le coup.


(Alexy 999 : )


Le technomage pesta contre lui-même. Encore une fois, dans sa hâte, il avais omis de doter son engin d' un dispositif de freinage. L' homme-rat pilotait vaguement sa machine tandis qu' il tentait de pallier son manquement inconséquent lorsque l' envie lui prit de jeter un oeil sur la direction que prenait sa monture mécanique. Kadaboum écarquilla les yeux : une longue planche de bois faisant office de barrière se tenait entre lui et la suite de la ruelle. Réagissant rapidement, l' homme-rat sortit son mini-jézzail et tira sur les attaches de la planche, qui bascula lentement. Le technomage allait s' autoriser un soupir de soulagement lorsqu'il vit que la planche formait désormais avec la ruelle un angle d' à peu prés soixante degrés. Le skaven déglutit. Puis il s' envola.

Planant majestueusement au dessus des toits de la petite ville, le vent s' engouffrant dans ses narines, les mains cramponnées aux poignées qu' il avait heureusement prévu, Kadaboum se laissa aller à un grand éclat de rire, qui s' étouffa dans sa gorge. La façade du château s' approchait dangereusement vite.
"Naaaaaaaaan!"
Par réflexe, le technomage se protégea derrière la charpente de son engin diabolique. Le conducteur et sa machine défoncèrent une fenêtre qui ne semblait se trouver là que par la volonté d' une puissance omnisciente et s' écrasèrent sur le mur de la pièce où avait eu lieu leur arrivée fracassante. A moitié groggy, l' homme-rat leva la tête et inspecta les alentours.



( Polo73 : )

Schreulk essuya la clé sur un vieux linge qui trainait et la mit dans sa poche. Le skaven leva les yeux vers le ciel, tendit les paumes vers le sol et signe de déférence et marmonna sa prière de remerciement.
"Merci, ô grand-grand Rat Cornu, de m' octroyer en ce jour une chance aussi insolente. Il est évident que votre magnifique-magnifique personne s' est personnellement dérangée afin de me voir accomplir ma mission-mission, aussi la mènerais-je à bien, quoi qu' il se passe-passe, afin de rester dans vos bonnes grâces et de m' enrichir par votre bon vouloir et en toute bonne-bonne conscience. Cependant la prochaine fois, évitez les farces vaseuses, merci-merci d' avance... "
Il faisait ce petit rituel à chaque fois qu' il avait un coup de bol inimaginable. Malheureusement, sa chance inopinée semblait n' être le fait du Rat Cornu que lorsque celui-ci avait décidé de s' amuser un peu. La plupart du temps, Schreulk en pâtissait d' une manière comique ou d' une autre encore plus comique. Ainsi, il avais pris l' habitude de demander un petit peu de clémence au Dieu des skavens en même temps qu' il le remerciait après qu' il eu par miracle retrouvé en plein milieu d' un tunnel un document attestant de sa traitrise envers l' un des ses supérieurs, mais au prix d' un triple looping avec atterrissage dans des excréments de squig des cavernes.
Le maître corrupteur s' élança dans les rues de la ville, levant de temps en temps le museau pour vérifier si son objectif se rapprochait.
"Halte!"
L' homme-rat stoppa nette sa course. Face à lui, une dizaine de soldats chose-hommes l' avait mis en joue. Le capitaine se gratta le menton.
"V'là bien que'que chose ed' bizarre, tiens. Un homme 'vec d' la fourrure ed'ssus et une grosse truffe, qui plus est."
Le sergent se tourna vers son supérieur.
"Le poivrot ne nous avais donc pas mentis!"
"C'bien vrai, t'ça. Nan mais franch'ment tout part en cacahuète dans c' te ville. Bon, aller, j' veux plus l' voir. Feu à volonté, l' gars."
Le skaven tendis les mains vers le ciel.
"Rat Cornu, un petit-petit signe, svp!!"



(Le Rat Pernicieux : )

"Mais qu' est-ce qu' ils ont contre moi, je vous le demande..."
Gloti s' extrayait prudemment de la bouche d' égout qu' il venait d' emprunter et pestait en même temps. Ses supérieurs avaient décidés de l' envoyer soutenir le groupe d' infiltration de Salzburg afin de servir leurs intérêts personnels, et ce sans l' accord du chef de la mission, qui d' après les rumeurs avait déserté son poste et s' était installé dans les Îles Golopogas avec pour intention de ne plus jamais entendre parler de la bourgade.
"Non mais franchement, je vous le demande..."
Le skaven secoua ses vêtements et regarda aux alentours. Il devait trouver le chantier du château, trouver un moyen d' entrer, trouver les membres de la mission, trouver une part du butin, trouver un moyen de revenir, et entre temps trouver de quoi manger parce qu' il avait la dalle. Et encore, il était sûr qu' il en oubliais, des choses à trouver. Gloti s' avança, posa la patte sur un cadavre de chien et s' enfonça jusqu'au mollet dans les organes en décomposition.
"Qu'est-ce que je fout là, par le Rat Cornu..."
Le skaven fila un grand coup de pied dans le cadavre et le projeta au loin dans un jaillissement de boyaux. Les éclaboussures le couvrirent de la tête aux pieds. L' homme-rat poussa un long soupir.
"Je la sens pas cette mission..."

Lady Hashley hurla d’horreurs
Choquée elle resserra les draps de son lit contre sa poitrine nue.
Lord Pecket venait d'arriver discrètement dans sa chambre comme convenu, juste vêtu de son ... euh de son ... bon pas besoin de vous faire un dessin !!!
Leur amour idylleux allait enfin pouvoir conclure après de mois de de visite en secret à son balcon, elle avait enfin réussi à se débarrasser de son grassouillet maris grâce à cette fête, juste le temps d'une nuit à deux, juste entre amants ...

Mais quelque chose d’inattendu c'était produit, elle avait pourtant eu tout le temps d'imaginer le pire sur ce qui se passerait si quelqu'un venait à entrer dans la chambre, elle avait imaginé toutes les personnes possibles qui allait bien pouvoir les surprendre cette nuit là, toutes sauf celle-là.

S'arrêtant pour reprendre son souffle, elle constata en pleures que tout le pan de mur extérieur c'était effondré. Un boulet de canon tiré par un ivrogne ... non c'était beaucoup trop gros, il s'agissait d'un objet poilu avec du métal en quantité, affalé sur une structure en bois elle même affalée sur lord Pecket.

- "Hiiiiiiiiiii !!!! Un rat !!! Un rat géant !!! Un rat géant qui à tué chouchou-ouououhhhh..... !!!" (s'en suivi un torrent de larmes à noyer un rat-ogre)

Ralexy se releva péniblement, comme d'une gueule de bois, et cette saleté de chose qui n'arrêtait pas de hurler raaaaaah... il n'en pouvait plus.
Il s'approcha du lit et flanqua une gifle d'une tel ampleur que la tête se détacha du corps, il est assez amusant de constaté que le reste de gorge continua un instant d'émettre ce qui aurait plus ressembler à un cri si il y avait encore eu des cordes vocales...

-"Ouvre moi catin !!! La servante m'a dit avoir vu passé cette ptite merde de Pecket ouvre moi tout de suite ou sinon ...." Le maris était de retour (remarquez que cela ne dérangeait plus guère les tourtereaux)
-"Sinon quoi !?!?!" gueula le technomage.
-"Mais c'est quel se fait un plan à trois la putain, ouvre moi cette porte pourriture et tu verras de quel bois je me chauffe !!!"

Pour toute réponse, c'est avec le bois de la porte qu'il dû se chauffer, car elle venait de sortir de ses gonds sous le coups de pied rageur de l'homme rat.
Elle écrasa d'abord le nez dans un craquement sec avant de défoncer son crâne et d'en disperser les morceaux dans le cerveau, ainsi lorqu'il percuta le mur au fond du couloir après un très jolis vol plané, il avait déjà cessé de respirer.

le technomage sortit de la pièce et resta calme quelque secondes avant de hurler pour ses orteils légèrement aplatit par le coup de pied, puis il dit (tout seul):

-" P---- de b----- de m------ !!!! Où est ce quel est cette s----------- de salle ?!?!" et il partit dans le couloir aussi vite que lui permettait son exo-armure....

Fier de son coup, Pelage Noire monta avec ''ses troupes'' histoire de ''mener l'assaut''. Le fouillis général (ou la baston, ça dépend du point de vue) allait commencer, et Pelage Noir allait avoir la voie libre pour rejoindre le trésor dont on lui avait parlé. Il avançait au devant des guerriers du Clan Poltor, et au détour d'une ruelle, changea soudainement de cap sans que l'on puisse s'en apercevoir. Il cherchait du regard le château lorsqu'il entendit un cri terrifié de chose-homme-femme. Guidé par ce cri, il en vint à arriver devant la forteresse. Seul petit détail embarrassant : le devant de la forteresse en question était remplis de facilement une centaine de soldat. Autres détail embarrassant, Pelage Noir était seul, ses ''guerrier'' étant encore en train de ce battre quelque part. Dernier détail embarrassant, car jamais deux sans trois, Pelage Noir avait soudainement surgit du noir à la lumière des torches. Sur le coup, il était moins fier, le Pelage Noir.
''Eh les mecs, c'est pas un de ces truc qu'on devait allez combattre ?
- Si
- Qu'est-ce qu'il fait loin des autres ?
- Bonne question
- En tout cas, c'est moche
- Autant l'éliminer tout de suite avant que les autres rappliques, non ?
- En plus les Arquebuses sont déjà chargées.''
Là Pelage Noir était mal barré. Il l'était encore plus lorsqu'il vit une bonne vingtaine de chose-homme s'alignaient et brandir vers lui ce qui ressembler à des mousquets de malepierre, mais en plus petit et stable.
''Oups''
Avant même que les détonations ne ce fassent ressentir, Pelage Noir plongea pour éviter la rafale de balle. Coup de chance (ou calcul prémédité) il en profita pour découvrir que sa tête avait percuté un tonneau de bière. Avec une chope. Ni une ni deux, on boit un petit coup, et on repart pour éviter une autre rafale. Et c'est en retournant, que ce fut le drame : le tonneau était percée, et maintenant laisser s'échapper son précieux liquide qui coulait et s'échapper dans les bouches d'égouts de la ville. Cette fois, Pelage Noir vit rouge. Très rouge même. Tellement rouge que ces yeux devinrent écarlate. Il saisi son sabre rouillé dans une main, sa dague dans l'autre, et l'armure cliquetant dans un bruit métallique, bondit à l'assaut du groupe de chose-homme en poussant un ''A mooooooooooooort !'' Qui aurait terrifié une Abomination même.

Gloti qui était couvert de la tête aux pieds par les boyaux en putréfaction et le sang souillé du chien , s’était mis en route pour rejoindre le château en reconstruction et les autres membres de la mission, tout cela pour le plaisir de ses supérieurs qui voulaient s’emparer d’un trésor dont on n’était même pas sur qu’il existe bel et bien .l’homme rat se morfondait de la malchance qui l’accablé tandis que ses sous- fifres, un rat ogre miniature dont la taille dépassait à peine celle de Gloti et deux rat géant dont les morsures étaient empoissonné , léchaient les restes du cadavre de chien dont Gloti avait été recouvert. Mais cette mixture infecte n’avait malheureusement pas attiré que les esclaves de Gloti . Un nain , suivit de deux chiens a l’air féroce et affamé , déboulèrent dans la ruelle dans laquelle Gloti se trouvait . Le skaven qui venait de comprendre que le barbu, guidé par l’odorat de ses clébards ne l’avait pas encore vus ,se faufila derrière une caisse située à coté de lui pour si cacher .

« Ouah !!! Quelle odeur épouvantable ,s’exclamât d‘un air dégouté,. On dirait qu’un ork a crevé ici il y a trois jours . »

Les chiens du nain , à l’affut se dirigèrent vers Gloti en suivant l’immonde odeur de pourriture .Ce dernier , toujours caché derrière sa caisse, se demandait quoi faire et après 10 seconde de d’un réflexion intense ,porta finalement son choix vers le noble art qu’il aimait mettre en pratique lorquela situation l‘exigé ; la fuite . Il sortit de sa cachette en un éclair pour se lancer en direction de la sortie de la ruelle ; au même moment , l’un de ses rats géants , aidé par son rat ogre , se jetèrent sur leurs assaillants en essayant de déstabiliser le nain . Le courtaud qui venait sans aucun doute de boire à la taverne du coin réagit trop lentement , permettant au rat ogre de le clouer à terre. La bestiole s’était jetée de tous son poids sur le nain et la dernière vision qu’eux celui-ci avant de s’évanouir était Gloti entrain de sortir de la ruelle à toute allure .

Afin d'éviter sa mésaventure précédente, Karnad marcha jusqu'au bord du toit pour évaluer la distance qui le séparait du suivant. Il s'aperçut avec soulagement que d'ici jusqu'au chantier, tous étaient proches. Cela ne l'empêcha pas de rester prudent, car la confiance qu'il avait pour les architectes de cette ville c'était brisée en même temps que ses côtes. Constatant que ce saut ne lui poserai pas de problème, il prit sont élan et s'élança au dessus du sol. L'atterrissage ne se passa pas trop mal, sauf le final où il se vautra lamentablement après avoir trébuché sur un pigeon qui passait par là.

Dix minutes, et quelques sauts extrêmement prudents plus tard, il arriva sur le toit voisin du chantier. Pey.. euh, le Rat-Cornu était surement avec lui, car il n'y avait personne dans la rue à ce moment là. Karnad supposa que les ouvriers étaient partit manger, avant de remarquer cette fumée noire qui n'était sans doute pas étrangère à la disparition des ouvriers. Néanmoins, cette absence était sans doute temporaire. Il jeta donc un rapide coup d'œil en contrebas, et commença à descendre le mur avec une prudente rapidité. L'homme-rat était arrivé au niveau du premier étage lorsque une fenêtre s'ouvrit brusquement au-dessus de lui. Il se figea, craignant d'avoir été repéré. Ceci fit de lui une cible facile pour le contenu malodorant du seau que l'on vidait dans la rue.

C'est donc un Karnad puant, mouillé et passablement énervé qui pénétra discrètement dans le chantier.

*C'est la fin-fin...* pensa tristement Schreulk, se remémorrant les texte de l'Apocalypse selon Maudit Snitch. Dans moin de deux minutes, il serait entouré de 100 rat ogres vierges, dans un paradis de malepierre brute, avec des rats-géants volant au-dessus d'un mer de peste... Lorsqu'un rugissement ignoble fit brusquement s'envoler les oiseaux dans des piaillement de terreur, les murs eux-même tremblant de peur. Un bruit sourd, tel un millier de rats cavalant joyeusement, fit sursauter les soldats qui s'enfuirent, abandonnant ici leurs arquebuses.

CALIIIIIIIIN GROUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH!!!!


La scène suivante, violente et sanglante, fut censurée par le Conseil audiovisuel de malefosse, en accord avec le code 56B-235 du warfo. Pour complèter le temps de massacre ainsi perdu, nous avons choisit de vous diffuser un documentaire sur la vie du snotling Kikitoudur.
Né dans un marais rempli de dégections, Kikitoudur subit son premier viol à main armé de la part d'un orque noir. APrès la bataille des Trois bambous, qui avaient opposée une caravane halfling à une demi-douzaine de snotlings, Kikitoudur revint dans sa tribu, victorieux, tenant fièrement le crâne d'un lièvre blessé à mort au dessus de sa tête, avant d'être réduit en bouilli par un sanglier, à l'age de deux mois...


Grrrrrouaaaaaaah!!!!!
Ahhh!


BAM! (bruits de casseroles)
(bruit de chair réduite à l'état de purée sur un mur)


En moins de trois minutes (et 56 calins), l'escouade fut massacrée joyeusement, les restes sanglants piétinnés joyeusement par les trois pattes arrières de Grouaah qui portait encore son maillot de bloodbowl.
Schreulk, trépignant de joie, se dirigea vers le rat-ogre pour le soumettre, lorsque ce dernier se retourna vers lui.

KALIN GROOOUUUUUAAAAAAAAAAAHHHH!!!!!!

Sans attendre l'ordre de départ, une course pour la vie s'engagea entre un skaven et un rat-ogre rempli d'hormonnes...

(Alexy 999 : )

Le technomage se rongea les ongles. Il avait couru pendant douze minutes, envoyé six baffes mortelles, fait pleurer deux heureux bambins et écrasé le troisième, il avait monté et descendu sept escalier et deux échelles, mordu un cuistot, rongé un gigot, pleuré à cause des oignons, sauté par la fenêtre, attrapé un corde, escaladé la corde précédemment attrapé, suite à quoi il s' était précipité vers l' aile Ouest, avait fait demi-tour vers l' aile Sud (actuellement en reconstruction), grimpé quatre à quatre les marches de cinq escaliers supplémentaires, redescendu sur les fesses deux autres escaliers, et il se retrouvait dans un placard. Avec un balai. Et un seau. Mais pas de serpillère. Pourquoi? Pourquoi??? Ces choses-hommes étaient-elles stupides? Pourquoi, par le Rat Cornu, manquait-il la serpillère? Le technomage se gratta la tête, resserra un boulon, ouvrit une vanne qui se décoinça en émettant un grincement peu glorieux, lança une vanne à la vanne ouverte (qui ne répondit pas, par fierté) et se mit à pleurer, principalement à cause des épluchures d' oignons coincées entre son museau et ses lunettes dernier cri, mais aussi parce que jamais dans son éducation on ne lui avait appris que les catacombes, c' était l' équivalent de la cave, mais en plus grand, et donc qu' il fallait descendre tous les escaliers pour les trouver, et qu' il en avait par conséquent passablement marre de courir partout comme un dératé, pour rien. Soudain, la porte du cagibi s' ouvrit en grand, et une petite fille apparu devant l' homme-rat. Celle-ci semblait très heureuse d' avoir trouvé un nouveau copain, parce qu' elle s' ennuyait beaucoup dans ce château immense mais très vide. Elle tendis naturellement la main vers son nouveau compagnon, un large sourire aux lèvres, pour l' aider à se relever. Le technomage la regarda, surpris, puis son instinct paternel prit le dessus, et il envoya un coup de patte dans la tête de la petite fille. Celle-ci s' affala en gémissant, le nez ensanglanté, et Ralexy sortit de sa cachette. Il examina les alentours, envoya un autre coup de patte dans le ventre de la gamine par acquis de conscience, se demanda s' il était de bon aloi de la violer, puis se rappela qu' elle était mineur, et préféra s' abstenir. Enfin, il partit en courant, prêt à faire de nouveau face aux terribles danger que recelaient les catacombes si jamais il arrivait à les trouver.


(Mort de Rhonono : )

Le maître des potions s' avança vers la fontaine magique et toucha l' eau du bout des doigts. Rien. Pas de contre-enchantement, pas de protection divine, pas de sortilège anti-intrusion. Juste une superbe salle, une superbe flore, un superbe eau... Haskiskikk ouvrit sa besace, à moitié remplie par le polypore précédemment cueilli, et se mit en tête de la faire déborder de plantes bizarres et inconnu, au cas où. Le skaven sautillait donc de fleur en fleur, récupérant un échantillon par-ci, un autre par-là, sifflotant comme un bienheureux.
"Pouic!"
Pouic? L' homme-rat stoppa ses bondissements, l' oreille aux aguets. Que venait donc faire là un "pouic"? Il examina les quelques spécimens qu' il ne connaissait pas : aucun n' était susceptible de faire "pouic" de quelque manière que ce soit. Il appuya sur le chapeau d' un champignon aux couleurs de l' arc-en-ciel, et pas de pouic. Il tordit la tige d' une fleur dont les pétales tournaient autour des étamines, et toujours rien. Il chatouilla les racines d' un plant de mandragore énorme et bariolé, et il n' obtint qu' un rire gêné de la part du tubercule. Pas de "pouic".
"Pouic!"
Le maitre des potions se retourna vivement. Aucun détail n' attira son attention quand à l' origine du bruit étrange jusqu'à ce qu' il examine une énorme tige, qu' il avait d' abord pris pour un stalagmite, car la couleur en était similaire. Il s' approcha lentement de l' étrange plante, retenant son souffle, et tapota la sorte de tronc. Une fleur immense se déploya soudain à la truffe et à la barbe de l' homme-rat. Cédant à la tentation, il examina les pétales de la fleur, passa la main le long des étamines géantes, tel un médecin expert examinant une patiente bien dotée par la nature. Un pistil gigantesque s' enroula autour de son bras, et avant même qu' il eu le temps de se rendre compte de ce qu' il se passait, la rafflesia carnivore le gobait entier. Coincé dans le tube végétal, l' homme-rat ne pu que couiner misérablement avant que les sucs digestifs ne commencent leur œuvre létale.



(Le Rat Pernicieux : )
(récit en duo avec Rakanitsu-le-fou)
L'homme-rat couru dés lors comme si sa vie en dépendait, c' est-à-dire comme un dératé. On peut lui reconnaître comme circonstance atténuante le fait que sa vie en dépendait effectivement, étant donné que le second chien du garde nain (un sublime rottweileur aux dents passablement acérées, vacciné, avec pedigree, lotion anti-puces offerte, prix à négocier) lui courait après avec la ferme intention de se faire un steak de skaven, et qu' en plus le cabot gagnait du terrain. La proximité d' une tronçonneuse (accessoirement baveuse) sur patte ayant pour but de déchiqueter son jouet (en l'occurrence la personne qui est passée trop près) pourrait déconcentrer n'importe qui, nous lui accorderons donc le droit de courir n' importe comment, même sur les mains si ça l' amuse. Notre bon maître mutateur était donc en train d' échapper au vil clébard lorsque, au détour d' une rue, il failli percuter un humble marchand skaven, qui passait par là un peu par hasard. Le second homme-rat, bien que nullement impliqué dans la poursuite à la base, se vit contraint et forcé de prendre part à la course. En effet, le chien s' était mis à baver deux fois plus, à grogner deux fois plus, et à avoir deux fois plus de steak en tête.

(Rakanitsu-le-fou : )
(récit en duo avec Le Rat Pernicieux)

Rakanitsu leva les yeux au ciel, un sourire ravi scotché aux babines : décidément, les abrutis du clan Poltor ne connaissaient rien aux divins arts du marchandage et de la manipulation. Le skaven avait cru faire un infarctus lorsque il avait découvert la bourgade dans laquelle il avait espéré décrocher une bonne affaire (une histoire de sous-traitance de gisement de malepierre particulièrement rentable) et avait pensé s' être trompé de chemin avant de tomber sur un garde du clan skaven qui occupait les souterrains de la ville miteuse. Une fois les accords signés et les bonnes personnes assassinées, le skaven, mû par une impulsion subite, avait décidé de se balader dans les ruelles sombres de la ville. Alors qu' il marchait tranquillement, un boulet de canon poilu lui passa devant en trombe, poursuivi par un être dont la mâchoire lui rappelait furieusement le dentier automatique d' un technomage instable qu 'il avait croisé durant ses pérégrinations. L' instinct lui conseilla de suivre le boulet, ou en tout cas d' échapper au chien, et, curieuse coïncidence, il se trouvait que le boulet en question était un homme-rat (particulièrement sale). Un dialogue s' imposerait. Lorsqu'ils auraient largué ce foutu clebs.

(Pelage Noir : )



(Karnad : )




(Polo 73 : )





Edit plus tard ^^'...

Kadaboom se détourna et remarqua une porte qu'il n'avait pas vu en arrivant, sans doute à cause du gros meuble placé devant.
Il le déplaça sans peine grâce à son exo-armure et ouvrit cette porte.

Dehors il faisait nuit, apparemment c'était un escalier donnant sur l'extérieur et DESCENDANT... il s'y engagea, mais comme il faisait trop sombre (et que malheureusement pour lui, un escalier n’émet pas de chaleur qu'il aurait pu capter avec ses lunettes) il descendit donc les marche unes à unes.

Une
Deux
Trois

?!?!? Trois ?!?!?

Ironie du sort, il n'y avait pas de troisième marche et il entama une douloureuse chute dans les ténèbres.
Il ratterri sur un toit, puis à l'étage inférieur, puis celui encore en dessous, etc ... etc ...

Avant de finir 6 couches plus bas dans une salle souterraine, sa chute amortie par un tas de poussière d'or ... QUOI ???
Il venait de tomber dans la salle du trésor, un sourire de joie s'afficha sur ses babines avant de mourrir quelques minutes plus tard constatant qu'il n'y avait là que des colifichets futils, or et autres pierre précieuses...

Il songea à se suicider avec une épée relique d'antan mais une lourde porte de plomb attira son attention, lorsqu'il l'ouvrit il ne pu se contenir et libéra tout le vin qu'il avait précédemment ingurgité dans son caleçon à la vue de ce qui correspondait pour lui au summum de la jouissance. UNE ARMURE DU CHAOS INCRUSTÉE DE MALEPIERRE

Après 10 minutes à rester immobile et à baver abondement, il reprît ses esprits en entendant une dizaine de paires de jambes avec des armures approcher, le bordel qu'il avait foutu n'était pas passez inaperçu, de même que les six trous superposés dans l'aile ouest. Il barricada la porte et se mit à la tâche.

Après s'être désossé de son armure (chose qui n'était jamais arrivée depuis qu'il l'avait construite) il s'appliqua à insérer pistons, vérins, vannes et engrenages dans les jambes et les bras, en se connectant aux fragments de malepierres de l'armure il pourrait avoir une force encore plus impressionnante.

Son razooka fût enchâssé dans le bras droit alors que le bras gauche recevait son mousquet, fabriqué à la base pour être une mitraillette ratling, l'énergie pompée par l'armure n'en faisait qu'un simple mousquet automatique mais là, avec ce surplus il allait avoir la cadence de tir la plus élevée du 3ème millénaire ... Dehors les humains alerté par le bruit essayaient d'ouvrir le lourd portail de plomb protégeant le reste des trésors des radiations de malepierre.

Il terminait l'assemblage de la tête qui accueillait ses lunettes (car vu la différence conséquente de taille entre une chose-homme du chaos et un skaven, il allait devoir se loger dans le torse) lorsque la porte commença a donner les premiers signes de faiblesses ...


Ne vous inquiéter pas si à l'air bourrin, tout est arrangé avec Peyrit amicalement Ralexy ...