[RP] Le Rachitique

Un coureur ?!
Qui est-ce ???
Peut être un membre d'une équipes bactériologiques. Ou bien mon collègue assassin que l'équipage prends pour le saboteur.
Que vais-je faire? Que dois-je faire?
La pression me monte au visage.
Que dois je faire ??? arggh

-Bon calme toi, calme toi me dis-je à haute voix.
Les guerriers des clans sont parti a gauche et le membre du clan eshin je sais pas où il est.
Mais si je trouvais l'assassin je pourrais récupérer des informations si il fait bel et bien partit des équipes bactériologiques car si c'est mon collègue il ne lui ont surement rien dit. Alors que les guerriers des clans peuvent me conduire à leur maître après avoir récupéré quelque informations.

Bon ba je pars à gauche et au bout d'un temps certains je pense savoir pourquoi je n'entend aucun bruits de pas : je tourne en rond!
Je suis dans un labyrinthe qui me reconduit toujours a mon point de départ simultanément !
Paniqué je tente tout les chemins possible mais pas de sorti.
Mais où est l'entrée par laquelle je suis arrivée ???

Un bruits me fait sursauter : des bruits de pas !
A gauche, à droite ! il y en a partout !!!
Les bruits ce rapproche. Ce sont des pas léger : des guerriers des clans !!!
Ni une, ni deux je sors mon bâton de pouvoir.
Ils se rapprochent. Ils arrivent. J’observe attentivement où je me trouve je remarque des bouche d'aération. J'essaie à la hâte d'en retiré une mais je remarque vite qu'on peut les retirés que de l'extérieur.
Je suis acculée au mur. Je suis pris au piège. C'est alors que je vois mon premier ennemis. Il n'est pas sortit du labyrinthe circulaire mais des conduit d’aération !
Ils sont une quinzaine! Non! une trentaine! heu non ils sont trop nombreux pour les compter.
Je brandit mon bâton de pouvoir et lance souffle pestilentiel.
Un bon nombre de guerriers tombe sous l'effet de ce sort .
Ils sont trop nombreux, je suis dos au mur.

Alors que l'appareil reprend lentement de l'altitude, l'assassin ne peut s'empêcher - suspendu au lord container tracté par le ratvion - de soupirer quand il voit le carnage auquel il a échappé: sur la quinzaine de barge déployée pour cet assaut, seul quatre ont pu rentrer aux Rachitique. La créature marine, le navire mort vivant, ... l'attaque de ce minable convois humain n'aurait pas se passer plus mal si ce n'est que la victoire était quand même dans le camp skaven. Sur les deux milles guerriers des clans, six cents avaient perdu la vie, bien que ces pertes ne soient en rien dramatique, cela représentait quand même un sérieux impact sur le potentiel militaire du vaisseaux. Cependant, le container avait été récupéré et deux navire ennemis capturé. Les technomage, le guerriers aux os et lui même, avaient bien travaillé. Il se demandait tout de même si l'autre guerrier s'en était sortit vivant, aucune embarcation n'était repartie de son navire cible et ce dernier terminait de sombre. Pareillement, les deux agents envoyés sur la trace des équipes psycho-choses avaient survécu ...

Mais encore une fois, comme une mauvaise habitude, il fut tiré de ses pensées par la présence soudaine de son amis à écaille. Jaillissant des flots, il s'éleva à hauteur de l'appareil et referma sa mâchoire de pierre sur le coffre de plomb et son passager. Trop juste, l'assassin put sentir son haleine de fiel au point d'en perdre l’odorat, mais il était toujours indemne. La bête s'écrasa lourdement sur la mer avant de disparaître, elle allait revenir, et cette fois elle surgirait assez haut pour ne laisser aucune chance au ratvion endommagé, de lui échapper. Mais décidément, ce fut la journée des surprise. Un groupe d'appareils arrivèrent de front, tels des lances de lumières, les fusées funestes perforèrent le monstre en plein élan. A nouveau, il s'écroula sur les vague, pour ne plus jamais en jaillir. Alors que le groupe de ratvion escorta le coffre à bon port, un appareil se sépara du groupe pour aller survoler l'une des épave qui flottait toujours. Il y chargea un unique survivant, meurtri mais vivant.


A l'approche des hangars du Rachitique, le technomage aux commandes, s'imagina un instant revenir en héros, enfin toléré par son supérieur minable, il ne l’imaginât qu'un instant. Le temps de voir toute une batterie de canons à malefoudre polariser, il comprit qu'il n'était pas au bout de ses peines. Son esquives tenait du miracle, c'était l'appareil voisin qui avaient encaissé la foudre magique, en un instant il fut réduit en cendre. Mais le fait de devoir se poser, avec une ailes endommagée qui venait de se rompre après une telle manœuvre, faisait subitement paraître un tir direct de canons à malefoudre pour un petit bobo en comparaison de ce qui l'attendait. S'écraser, n'était d’ailleurs par le terme le plus approprié, à vrai dire, lorsque le ratvion s'écrasa au sol, on aurait put penser que toutes ses pièces n'avaient jamais étés fixées ensembles tellement la dislocation fut immédiate. Mais des décombres, les équipes de secours virent un être jaillirent en vie, enfin pas tellement en vie que ça puisqu'il s'agissait du copilote, le technomage s'en était servi comme bouclier puis ensuite en tant que bélier pour se sortir des décombres. Tout en se dépoussiérant, il remarqua que le coffre n'avait pas subi de dommage, mais aussi qu'un assassin fort familier s'y accrochait tout en tremblant comme un esclaves dans un désintegrateur, sa fourrure avaient viré au blanc tellement la peur avait été grande, mais que faisait il donc là et qui est ce qu'il lui rappelait ?


Se réveillant lentement, le pauvre infiltrateur hurla de dégoût, quand il se rendit compte qu'on l'avait attaché dos à dos avec son collègue le lépreux.Tentant vainement de se dégager de ses liens, il se rendit compte qu'il était entouré d'un centaines d'êtres encapuchonnés et que ces derniers riaient d'eux. Leur chef s'approcha, il était grand, on aurait dis un prêtre de la peste tellement sa peau croûteuse était couvertes de bubons blancs de pus, mais ses habits noirs trahissait une appartenance, révolue ou non, au clan Eshin. Il s'apprêta à leur poser une question, il voulait certainement savoir qui ils étaient, ce soi-disant saboteur et ce prêtre de la peste inconnu, mais à vrai dire rien ne sortit de sa bouche ... où peut être était ce cette explosion, qui fit voler le mur en éclat,qui masqua ces paroles. Les deux prisonniers, l'esprit encore partiellement embrumés à causes des coups contondant qu'ils avaient pris sur la caboche, ne comprirent pas tout à la scène. Des vermines, en armure d'or, jaillirent. Du haut de leurs deux mètres, elles massacrèrent les coureurs, en transperçant jusqu'à trois d'un seul coup d'hallebarde. Le coureur mortel tenta bien de les arrêter, mais sans tête, éparpillée en morceau aux quatre coins de la pièces, il n'alla pas très loin.


L'ingénieur Ralexy et l'amiral Karlzor avaient une dispute d'une ampleur démoniaque. Les agents de sécurités du clan Mors assistaient à la scène sans prendre le risque de s'en mêler. L'assassin, le technomage, le guerrier aux os et celui en armure, ne pouvaient tout de même pas s'empêcher de rire en silence de l'infiltrateur et du prêtre, ligotés et prisonniers de la garde d'or dont le chef restait impassible.

"Vous auriez pu m'en parler stupide-chose-imbécile ! Je n'aurais pas perdu du temps inutilement !!!"
"Bien sûr ... et vous ne vouliez pas non plus que je vous fasse un rapport crétin !"
"Vous êtes mon supérieur théorique, mais sans moi ce chef d'oeuvre serait devenu votre cercueil avant même d'avoir atteint le large !"
"Et sans moi les saboteurs auraient coulé ce vaisseau avant même que vous ayez rencontré vos pitoyables agents !"
"Vous ne pensez pas que si j'avais eu connaissance de la présence de sombre idiot d'Uzaël ici, je ne me serais pas mis à le chercher inutilement en le prenant pour l'un d'eux !"
"Traitez moi de crétin si ça vous chante, apprentis de seconde zone, il n'en reste pas moins que c'est moi qui ait éliminés ces saboteurs et sauvé vos hommes."

Uzaël ne s'était pas retenu d'attirer l'attention de l'ingénieur. Ces vieux ennemis n'avaient pas mis fin à leurs griefs respectifs et rabaisser un peu plus l'autre devants ces supérieurs était une excellente occasion de prendre l'avantage. Evidemment, il n'avait pas épargné les deux autres andouilles juste pour le plaisir, mais bien pour mettre en avant l'incompétence de Ralexy.

"Bien sûr, tout comme c'est vous qui avez fait monter Ratside à bord ! Ne mentez pas, jamais le clan Mors ne l'aurait embarqué sans m'en avertir, il est trop précieux. Mais vous, vous aviez surement encore les codes d'activation de la bêtes. Si vous comptiez impressionner le haut commandement en le "maîtrisant", c'est raté sale charlatant minable."

L'insulte perturba au plus haut point Uzaël, ils commencèrent alors à se lancer dans un concours de jurons, plus stupides et violents les uns que les autres. Au final, la discussion prit fin par grand manque de patiences des trois partis. Ralexy emmena avec lui ses hommes, les réunissant dans la salle de briefing, il leur fit un compte-rendu sur les actions de chacun, froid et sans pitié, il ne fut pas interrompu et la plupart des agents baissèrent le regard quand il cita leurs "exploits. Uzaël et sa garde d'or avaient en réalité été recruté par le clan Scorbut en secret, ce dernier voulant avoir à disposition sa propre équipe de sécurité. Karlzor espérait en effet se débarrasser de Ralexy pour en récolter tous les honneurs, c'est pour cela qu'il avait tenté de se procurer le coffre de plomb, croyant naïvement que l'ingénieur ignorait son existence, en ayant recours à ses propres hommes. Evidemment, Ralexy avait aussi détecté qu'une puissante source de malepierre se trouvait à bord de cette flotte, c'est lui qui avait envoyé des Ratvions escorter ses agents la ramenant, faisant comprendre par la même occasion à Karlzor qu'il n'était pas dupe. Ne pouvant plus s'approprier le mérite du contenu de ce coffre de plomb, avait choisi de l'abattre pour que Ralexy ne l'ai pas non plus. Mais le technomage aux commandes avait -contre toute attente - esquivé et un autre appareil avait été détruit inutilement. Heureusement pour lui, que les performances minables des autres agents du clan Mors et la destruction d'une cellule de saboteurs par Uzaël venait rééquilibrer les honneurs d'avoir rapporté un bloc de deux cents kilos de malepierre pure.

A présent, la garde d'or d'Uzaël et les six agents Mors étaient en compétition, et l'occasion réelle de prouver leur valeurs respectives se profilait à l'horizon, dans tous les sens du terme. En effet, la flotte coulée plus tôt, n'était rien d'autre qu'un convois marchand ayant quitté le port humain qui était la véritable cible de test du Rachitique. L'invasion devait avoir lieu au crépuscule, mais la détection de la malepierre à bord d'une flotte en surface et sa récupération avait retardé les opération de débarquement. L'attaque aurait donc lieux quelques heures avant l'aube. Dans l’intérêt de surpasser Uzaël, Ralexy insista "gentiment" sur l'importance de cette opération (en fixant en particulier du regard le guerrier vaincu par l'ogre sur l'épave et ses deux infiltrés pathétiques). C'est donc en hurlant tout aussi gentiment qu'il leur donna leurs ordres.

Joueur Clunny:

Une équipe de vingt coureurs nocturne est sous tes ordres, un navire de débarquement sous marin vous a discrètement largué près de la côtés, votre mission est de trouver une entrée aux réseau d'égouts de la ville et de remonter ceux-ci jusqu'à atteindre les sous-sols du palais du gouverneur où vous devrez attendre la suite des ordres.

Joueur Watman:

Aussi étonnement que cela puisse paraître, ta performance en tant que pilote t'a largement fait remonter dans l’estime de Ralexy. En attendant l'autorisation de décoller, tu vas devoir prendre le commandement des treize appareils restant (sur les quinze initiaux, tu en as détruit un et Karlzor s'est chargé du second). Briefes tes pilotes, tu es leur supérieur maintenant, mais n'en fait pas trop, tu ne sais même pas encore ce qu'il va vous être demandé.

Joueurs Minimindji & Baptiste:

L'Electric et le Bomber sont les deux destroyers du Rachitique, ces vaisseaux d'une cinquantaine de mètres en acier sont pourvus de quatre canons à malefoudre, trois ratlings et sont capable de lancer des torpilles sur leurs bords. Ils sont chargés d'amener chacun dix barges de débarquement le plus près de la côte et de les y larguer en fournissant un soutien d'artillerie contre les plus grand vaisseaux. Vous avez quelques heures devant vous pour en prendre le commandement et voir à quel genre d'équipage vous avez à faire.

Joueur GA123:

Tu es censé avoir survécu à l'attaque de la garde d'or, une cellule de saboteurs est tombée, les autres risquent de mettre à mal l'opération d'invasion de la ville humaine. Te voilà encapuchonné, à te frayer un chemin au sein de la horde de guerrier en train de s'équiper dans les zones de stockage terrestre. Tu n'as plus le droit à l'erreur, tu dois trouver un groupe susceptible d'avoir de sombre projets déloyaux et l'infiltrer avant l'attaque, si tu échoues ... tu risque de ne pas pouvoir remonter à bord du Rachitique, du moins si tu tiens à la vie.

Joueur Skriff:

Dans le grand hangar où se trouve l'Electric et le Bomber, il y a aussi le navire humain que tu as ramené. Ta mission est, avec tes hommes (ceux qui ont réussis à revenir vivant avec toi, une vingtaine de guerriers), de comprendre comment manœuvrer cette chose-navire à voile car tu vas devoir partir au devant des destroyers pour faire croire aux choses-hommes que les leurs sont pourchassés et ainsi les empêcher de leur tirer dessus au risque de toucher leurs "alliés" ... c'est diabolique, mais tu ne sais toujours pas comment tu as réussis à faire avancer ce truc-chose-machin.

Mais comment le faire avancer ce truc ? me demandais-je tout en tapant du pied.
J'avais ramené un squelette quand même !
Un ROI squelette !
Et on me dit de réfléchir à une façon de faire avancer ce truc...
La vie est trop injuste...
"Capitaine ! Nos hommes ont trouvé un moyen-sorte de faire avancer ce bateau-navire !
-Ah oui, et comment ?
-Il suffit de prendre une des nombreuses bêtes aquatiques présentes dans cette mer !
-Et quelle taille font-elles ?
-Euh... tout au moins, la taille de nos sous-marins je crois...
-Bien... Mais comment les attraper ?
-J'ai peut-être mon idée...
-Ah bon ?
-Oui... avant de devenir technomage, je fus infiltré dans une ville d'humain-idiot portuaire, je finis donc par devoir trouver quelque chose à me mettre sous la dent...
-Vas-y, parle !!!! dis-je en l'empoignant (l'étranglant presque)
-Keuf keuf, il suffit d'attaquer les humains keuf keuf qui attrapent les poissons !"
Je demeurais perplexe quant à cette proposition.
"T'en connais beaucoup des humains-idiots capables d'attraper ces bestioles-monstres ?!
-Euh... je ne sais pas..."
Mais quel imbécile m'a-t-on foutu... rageais-je...
"Mais euh... je crois qu'ils avaient une façon spéciale-bizarre de les attraper ces trucs... Ils avaient un grand bâton avec un fil et un petit crochet-lame au bout... on y attachait un bout-morceaus de poisson, ou de petite bestiole toute rose...
-Eh bien, pourquoi ne pas l'avoir pas dit plus tôt ? Que va-t-on mettre au bout de ce truc et comment fabriquer cela ?
-J'avais pensé à un système de rouages pour tirer relativement-facilement cela...
-Et la nourriture ?
-Un skaven. Un gros de préférence.
-D'accord, et la canne ?
-L'antenne."
C'est ainsi que en peu de temps, une canne fut faite, un fil fut fabriqué avec les boyaux du skaven "tiré au sort" qui étaient très solides. Une chance qu'il ait presque mangé à sa faim ces temps-ci.
Et enfin, le skaven transpercé sur le crochet, toute l'équipe en place pour tirer la canne grâce à un système et moi et le technomage en train de superviser l'opération, étions fin prêts.
Une astuce de ma part, la canne était directement relié au bateau, ce qui, en cas de fuite du poisson nous tracterait.
Tout à coup, mon ventre émit le bruit caractéristique voulant tout simplement : j'ai la dalle.
Cela me fit penser qu'en malgré ma petite taille je mangeais beaucoup... Et cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas exercé mes talents de... Cannibale.
Je cherchais dans la foule en train de se préparer une proie et ce que je découvrais m'atterra...
Aucun mis à part le skaven trucidé n'avais jamais mangé à sa faim... Je jura.
Pour occuper mon estomac, je me mis à courir après les rats du navire.
Mmmmmh... Comme petit casse-croûte, il n'y a rien de meilleur...
Je faillis quand même renverser "malencontreusement" un membre de mon équipage qui ne manqua pas de m'insulter...
Bien mal lui en à pris... Pour montrer l'exemple en pour subvenir à mes besoins, je le transperçais d'une broche et le faisant rôtir, je sifflotais.

Je cours dans la zone de stockage terrestre en cherchant un groupe susceptible d'être des saboteurs. J'en aperçois plusieurs. Je m'approche de l'un d'eux et me fais aussitôt rejeter. Je décide de les suivre.
Nous traversons divers couloirs où je les entends dire :

« J'espère-prie que nous aurons notre part de chose-homme . On est tellement nombreux dans ce sous-navire.
On aura-mangera notre part de chose-homme sinon on déserte-part.»

Ils se rendent ensuite au dortoir où ils doivent attendre donc rien à craindre de ce côté-ci. Je retourne à la zone de stockage et j'aperçois un groupe de guerriers se diriger vers les machines. Je les suis avec la plus grande discrétion dont je suis capable et observe ce qu'ils font pour tout remettre à sa place. C'est ce que je fais dès qu'ils partent . Je les suis jusqu'à la zone et cours prévenir les vermines pour qu'elles les tuent.

La nuit tombait, et un vent glacial me fouettait le museau. Je rabattis mon capuchon noir sur ma tête. Le sous-marin nous avait laissé au large de cette falaise. Elle n'était pas très haute, mais suffisamment pour mettre ce qu'il y avait au delà hors de notre vue. Derrière moi, il y avait une vingtaine de coureurs nocturnes, tous vêtus de noir. Si un humain n'aurait pu discerner le moindre de leur mouvement, de mon point de vue, ils produisaient un bruit infernal. Ces amateurs étaient pitoyables, et j'aurais préféré endosser seul cette mission plutôt que de me coltiner cette bande d'incapables. Nemessiss, lui, dormait, et ce n'était pas pour me déplaire, vu qu'il ne pouvait s'empêcher de parler une fois éveillé. D'ailleurs, une qualité des coureurs qui m'accompagnaient est qu'ils n'étaient pas très bavards. En fait, ils ne parlaient pas du tout. Je fis signe aux coureurs de me suivre et, pataugeant dans les eaux sombres, nous nous mîmes à longer discrètement la falaise. Celle-ci se faisait plus haute au fur et à mesure de notre avancée, si bien que nous nous demandâmes si il ne fallait pas rebrousser chemin. Je me ressaisi, et ordonna froidement de continuer. Rebrousser chemin! Et pourquoi faire? On m'a confié une mission, et je ne faillis jamais.

L'eau nous arrivais aux genoux, si bien que nous progressions lentement.
Au bout d'un certain temps, alors qu'au dessus de nos têtes le ciel était d'encre, nous aperçûmes une sorte d'énorme rocher grisâtre, telle une continuité de la falaise, qui émergeait de l'eau. Nous accélérâmes le rythme, lorsque des voix parvinrent à mes oreilles. Je me plaquai vivement contre la falaise et les coureurs firent de même. Les voix se faisaient de plus en plus fortes et de plus en plus distinctes. C'étaient des hommes. Une lueur orange éclaira alors l'eau juste à notre droite. Je levai la tête et vis alors qu'il y avait trois hommes qui se tenaient au dessus de nous, une arquebuse dans une main, une torche flamboyante dans l'autre.
-Beh! s'écria l'un. J'te jure! Qu'est ce qu'on nous envoie dans c'trou! Y a que dalle dans c'te coin là! Aller, moi j'retourne boire un coup à l'auberge. Vous v'nez les gars?

Soudain, un léger couinement brisa le silence qui régnait autour de nous. Les hommes se turent. Je me tournai et vis qu'un des coureurs se débattait, essayant de retirer un crabe noir qui s'était accroché à sa queue. Deux autres coureurs le saisir par le cou et le plaquèrent violemment contre la falaise, en lui faisant signe de se taire. L'un d'eux donna un coup de poignard au crabe qui lâcha prise, empalé sur la lame brillante. Le coureur se mit alors à le manger avidement.
-C'était quoi ça?! demanda un homme.
-'Sais pô! De quoi qu'tu parles l'ami?
-Bah z'avez pô entendu c'te bruit?! Ca ressemblait ben à un couinement. Ma main à couper qu'y que'que chose la d'ssous!
Il se pencha alors et la lumière éclaira l'endroit où nous nous trouvions. Nous nous allongeâmes alors sans un bruit dans les eaux noires. Au bout d'une minute environ, la lumière diminua. Les hommes repartaient. Nous pûmes alors retourner à l'air libre. Je me tournai alors avec le crétin-idiot qui avait failli nous faire repérer et lui plongeait la tête sous l'eau, lui chuchotant de multiples jurons. Après l'avoir à demi-noyé, nous reprîmes notre route.

Nous atteignîmes alors le rocher, sur lequel nous nous hissâmes, puis nous continuâmes notre route, plus rapidement cette fois. Au bout d'un certain temps, je vis alors un éclat métallique sur la falaise. En nous approchant, nous nous aperçûmes que c'était un tuyau, et qu'il dépassait légèrement de la falaise. Il était suffisamment haut pour nous permettre d'y circuler debout, mais une grille en bloquait l'entrée. Nous dûmes nous y mettre à plusieurs, mais nous parvînmes finalement à arracher la grille. Il ne nous restait plus qu'à y pénétrer,ce que nous fûmes, mais nous ne prîmes pas le soin de remettre la grille en place. Je sorti mes pilules de ma sacoche et en avalai une, puis je m'engageai dans le sombre tunnel.

Il y régnait une odeur épouvantable, et l'eau qui s'y écoulait était d'une couleur brunâtre, teintée de vert. Elle n'était pas profonde, nous arrivant à la taille, et son niveau diminuait alors que nous avancions. L'air était poisseux et humides, et de nombreux rats nous suivaient. Sur les côtés apparurent alors deux allées en pierre qui sortaient de l'eau. Nous y grimpâmes, et notre progression fut plus aisée. L'eau coulait au milieu, tel un couloir d'apparence et d'odeur infecte. Il nous fallut peu de temps pour atteindre le bout. Une échelle métallique remontait la paroi, jusqu'à une grille circulaire située à quelques mètres au dessus de nous. Nous avions le choix entre remonter à la surface, ou alors continuer sur notre droite. Nous choisîmes la deuxième option, car actuellement nous étions sous ce qui semblait être une grande place. Après plusieurs heures de marches à travers les labyrinthes que formaient les égouts de la ville, nous arrivâmes finalement à destination. Nous avions tournés en rond pendant toute la nuit, et le soleil se levait déjà. Ces imbéciles avaient oublié de nous donner une carte! Nous grimpâmes un à un l'échelle métallique. Elle était rouillée et semblait pouvoir céder à tout moment. Nous remîmes la grille en place et nous assîmes, épuisés. Nous étions dans une immense pièce sombre, emplie de divers objets, de toutes tailles et de toutes formes, qui semblaient prendre la poussière. Il y avait aussi de nombreux tuyaux qui couraient sur les murs et sur le plafond, et de nombreuses flaques s'étaient formées sur le sol pierreux. Je m'adossai contre un gros meuble en bois, et contre mon gré, je m'assoupis.

Mais pourquoi avait-on voulu me tuer. Heureusement que la dent du monstre marin m'avait échappé des main et avait percuter le levier de direction. Sinon j'aurais été réduit en cendre par un tir de canon. Le Grand Rat Cornu loué soit-il m'avait sauvé. En tout cas, Ralexy était content de ce que j'avais fait. J’étais remonté dans son estime, il m'avait promu « Grand Général en chef du reste de l'escadrille des Ratvions du Rachitique ». Dans cette escadrille, il y avait 13 Ratvions,un bon chiffre, le chiffre du Rat Cornu. Nous allions partir en mission contre un petit village portuaire des choses-hommes. Mais avant je devais briefer mes pilotes.

Ditz : Bon... Heu... Je suis votre nouveau chef-capitaine... Ralexy m'a promu « Grand Général en chef du reste de l'escadrille des Ratvions du Rachitique ». Nous allons bientôt partir en mission, j’espère que vous allez faire du mieux que vous pourrez et que je ne mourrais pas
Un pilote : On vas faire quoi ?!
Ditz : Me parle pas sur ce ton là. Et commence ta phrase par « Chef »
Le même pilote : Nan... J'en ai pas envie. T'es pas mon chef.

Il m’énervait celui la. J’allais lui montrer quelle genre de chef j’étais. Je m'approchais lentement de lui en le regardant fermement. Il soutint mon regard, il n'avait pas peur. Je le saisis à la gorge avec mon bras robotique. Il se débattait, mais je le tenais fermement. Il s’étouffait, alors que je m’apprêtais à le relâché,je m’aperçût que je ne pouvais plus bouger mon bras, il était en panne.

Un autre pilote : Chef-chef ! Il faudrait que vous le relâchiez sinon il vas mourir.

Si je tuais le pilote, Ralexy allait me sermonné, j'allais baissé dans son estime. Peut-être qu'il allait me rétrograder ou encore pire... Me tuer ! Mais si je demandais de l'aide aux autres pilotes, ils allait se moquer de moi et je n'aurait plus aucune autorité et ils allaient essayer de m'assassiner. Mais que devais-je faire...

Je doit piloter un destroyer ! Me dis-je intérieurement
Sa va être beau !
Il faut que je me sorte de cette mission correctement car m'être retrouvé attaché avec l’assassin ne lui as pas plus.
Bon je passe a gauche puis a droite, demi-tours gauche et hop me voila prés à embarquer dans mon vaisseau : l'Electric.
50 mètre de long pour 10 de large, quatre canons à malefoudre, trois ratlings et des lance torpilles.
Ah ba, je suis pas si mal tombé.
Je fais convoqué mon équipages: 250 guerriers des clans.
Le second du navire est un vétéran borgne avec une jambe de bois et une main de fer (au sens propre), heu non c'était plutôt un crochet.

-Je me nomme Kleek, Kleek le borgne. me dit-il d'un air qu'il voulait féroce.
-Et moi je suis votre capitaine, George Putride. Lui répondis-je en lui soufflant mon halène hostile sur le visage pour le tenir en respect

Il allait falloir que je me méfie de lui.

-Passer moi un trrricorrne ! criais-je
-Tenez capitaine. me dis Kleek d'au air faussement modeste.

Je le saisie, le regarde attentivement et:

-Il est trop propre.

Je prend mon bâton de pouvoir et lance infecte bénédiction sur le chapeau.

-Enfin un couvre-chef qui me ressemblent. dis-je d'un air malicieux et faussement innocent. Je voyais dans le coin de mon œil Kleek qui essayer de cacher vainement sa colère.

Je ordonne à tout l'équipage de préparer le navire.
Une fois cette tache effectuer je lance quelque ordres et on est au cœur de la grande bleu.

Je vous conseilles de lire les instructions de tous le monde dans le bon ordres pour être sûr que vous ayez tout compris à l'histoire en cours.

"A tous ! Ici l'amiral Karlzor, nous ferons surface dans trois minutes, préparez vous ! Les ratvions parés au décollage, tous le monde à bord des barges dans les destroyers ! Je répètes, tous à vos postes de combat, Surface dans trois minutes !"

Joueur Watman

Ralexy t'a donné tes ordres, des vermines de chocs et des équipes de jezzails arrivent, vingt vermines et deux équipes de par ratvion. Dix appareils en transportent, les trois autres, dont le tiens, sont en train d'être chargés de bombes. Ta mission est de mener les appareil en toute discrétion de l'autre côté de la ville et de débarquer les troupes d'élites. Elles ont pour mission de prendre position dans la campagne et d'éliminer tous les messagers et autres fuyards. Personne ne doit savoir ce qu'il est advenu de cette ville. Après quoi, tu devras avec ton escadron de bombardiers, fournir un soutien aux troupes qui prendront la ville d'assaut. Cependant, alors que les dernière bombes sont chargées, une grande-dent arrive en courant vers toi.

"Technomage ! Qu'est ce que vous foutez ? L'appareils que vous nous avez assigné est déjà occupé !"
"Heingh ???"

L'un des aéronefs de transport vient d'allumer ses moteurs. Dans le cockpit tu reconnais le subordonné qui t'a manqué de respect. Tu aperçois aussi un étrange reflet doré. Uzaël t'a volé un appareil et y a fait embarquer sa garde d'or, et alors qu'une secousse annonce l'arrivée en surface, la porte du hangar s'ouvre juste à temps pour que l'appareil renégat puisse s'enfuir. Que vas tu faire ? Tes propres appareils sont prêt à décoller. vas tu les escorter discrètement en passant par dessus les nuages ou en longeant les vallées alentours, ou au contraire les laisser seuls à leur mission et prendre en chasse avec tes bombardier Uzaël ? C'est alors qu'une seconde secousse fait trembler le navire

Joueur Skriff

Ton piège est en place. Ta chose-à-pêche est maintenant prête. Une grande secousse t'annonce que le Rachitique vient brutalement de faire surface. Le hangar s'ouvre et tu es ébloui par la lumière du jour. Après t'y être habitué, tu te rends compte que le soleil vient juste de se lever par dessus l'horizon et que tu n'as qu'à deux miles nautiques du port des choses-hommes. Ils n'ont surement pas encore aperçus la présence du sous-marin, il est grand temps de sortir pour tendre le pièges aux humains. Mais le vaisseaux tremble à nouveaux. Chaque boulon, chaque plaque de tôle se met à vibrer, les navires du hangars sont ballottés. Puis, d'un seul coup, tout s'arrête. Une lumière bien plus aveuglante que le soleil vient de se lever, une lueur verte. En un instant, l'onde lumineuse s'éloigne du vaisseaux sous la mer, dans son sillage, l'océan se soulève. Tu comprends, c'est le fameux canon axiale du Rachitique qui vient d'ouvrir le feu. Il est train de créer un gigantesque raz de marée qui va dégager les batteries côtières des choses-hommes. Des monstres marins peuvent être aperçus par dizaines, ils fuient le monstres d'acier qui vient d'apparaître. C'est partit, avec l'aide d'une petite turbine à vapeurs de malepierre débridée, tu te lances à la poursuite de l'un d'eux avant que le moteur soit à court de carburant.

Joueurs Minimindji et Baptiste

Vous êtes encore stupéfaits par ce qui vient de se passer sous vos yeux, la mer s'est teintée d'une lumière verte étrange, la vague grandit. Toutes cette énergie va créer un tsunami gigantesque qui va ravager les docks et probablement détruire une grande partie des navires à quais. Une fois que vous avez reprit vos esprits, vous remarquez que le navire capturé a déjà prit le large. Vous lancez vos machines à pleine puissance, les grands destroyers s'élances hors du hangars du Rachitique. Le soleil commence à peine à illuminer le ciel, la vague fonce vers la ville, le bateau de bois chasse un monstre marin qui lui permettra de les devancer pour leur offrir une couverture et les ratvions s'élancent dans le ciel. Cette vision annonce que la domination skaven est proche. Une fos arrivé à portée de tir de l'artillerie impériale, larguez les dix barges que vous transportez chacun à la mer et engagez le combat avec les bâtiments de guerre ennemis ou sautez dans une barge pour prendre le commandement de l'assaut terrestre de pas moins d'un millier de guerriers et d'esclaves chacun, à vous de voir ...

Joueur Clunny:

Le ciel s'est teinté de vert, tu sais que l'assaut est lancé. Tes éclaireurs viennent de revenir, ils ont inspecté la disposition des lieux et s'apprêtent à te faire leur rapport. Mais avant tu reçois un appel de ton supérieur. Ralexy t'apprend que ta mission est d’assassiner le gouverneur. Car, contrairement à la plupart-autres gros tas de graisses, celui-ci n'est autre qu'un ancien et vaillant général. Tu dois le tuer pour à tout prix l'empêcher de gagner la ville où il pourra diriger ses troupes et organiser la défense. Cela causerait des pertes très importantes dans vos rangs et pour que la mission soit un succès auprès du conseils, celles-ci doivent être le plus minimes possible. Mais il te livre aussi un dernier message bien plus alarmiste:

"Uzaël, ce traître fourbe, à dérober l'un de mes ratvion avec sa garde d'élite à bord. Il est probable qu'il cherche à atterrir ici pour tuer le gouverneur Marchezich avant vous et ainsi s'arroger tout le succès de cette opération. Tuez le si vous le pouvez, sinon exécutez la mission avant lui, tant que vous contrecarrez ses plans c'est parfait, n'échouez pas !"

Tu as deux option, trouver un moyen d'abattre le ratvion avant ou pendant qu'il se pose (vaincre la garde d'or à la loyale est impossible, à réaliser comme à imaginer) soit te dépêcher de tuer ce général de malheur, le palais n'est pas encore en alerte mais ça ne va pas tarder. Tu te retournes alors vers tes éclaireur pour écouter leur rapport et la disposition des lieux en détail ....

Joueur GA123

Alors que tu les cherches désespérément, tu finis par trouver un groupe de vermines dans le hangar des ratvions. Tu restes un moment admiratif devant les rangées d'appareils prêts au décollage, les moteurs tournant à plein régimes. Mais tu te ressaisis quand une grande-dent t'interpelle pour savoir ce que tu fais là. Ils ne partent visiblement pas avec les autres, il ne doit plus y avoir de place pour eux dans les appareils. Tu leur parles de ce que tu as vu, les vermines n'ayant plus rien à faire et ayant peur pour leur vie d'avoir rater la bataille, sautent sur cette occasion de prouver leur valeur et foncent directement vers l'endroit que tu leur a indiqué. Tu es plutôt fier de toi, non seulement tu ne risques pas ta vie à la bataille, mais en plus tu viens de presque-détruire une cellule de saboteurs sans avoir eu à te salir les mains. Mais alors que tu t'apprêtes à aller prendre un repos que tu estimes bien mérité. Tu te rends comptes que ton pieds est coincé, un étrange câble s'y est enroulé par mégarde de ta part. Alors que tu le suis du regard pour en connaître l'origine, tu réalises avec effrois que c'est l'un des câbles d’amarrage d'un appareil qui décolle en ce moment même. Même pas le temps de faire une prière au rat cornu que tu es happé dans les airs ... (ça t'apprendra à faire des textes de moins de dix lignes à tout va Pour infos, tu es "accroché" à l'appareil volé par Uzuaël et sa garde d'or qui fonce vers le palais du gouverneur)

L'heure du combat a sonné. Je me rapproche de la ville jusqu’à être à portée de tir. Les gardes ayant vu arriver le raz-de-marée, s'étaient "éclipsé". La vague détruisit la quasi totalité de leur puissance navale. De nombreux bâtiments gisaient en miettes. Mon navire, qui jusqu'à maintenant était caché par la vague fut visible des garde. Alerté, il revinrent protéger la ville de ce bateau étranger (. Ils étaient seulement une petite vingtaine, mais le reste n'allaient pas tarder à arriver des renforts s'ils percevaient la menace skaven. Il fallait les éliminer !


Je monte sur le pont avec une ratling. Les balles fusent, les corps tombent.

-Et bah c'est pas si dur à utiliser que ça une ratling !

Les ratvions arrivent. De toute façon on ne pourras pas cacher définitivement l'attaque aux humains, me dis-je. J'ordonne de faire sortir les canons. Trois guerriers les actionnent chacun. Il reste deux ratlings. Quatre guerriers sortent du lots pour les employer. Deux par mitrailleuse. Les canons tirent sur les bâtiments pour affoler la population tandis que les ratlings abattent les humains fuyant les attaque de malepierre.

Kleek le borgne s'approche de moi d'un air supérieur :

-Sauf votre respect, mais pourquoi restons nous terré dans ce navire ?
-Sauf votre respect, mais vous êtes mort. Dis-je en lui enfonçant une dague dans le cou. Bon, nettoyez moi ça! Ordonnais-je à mon équipages.

Ils se dépêchèrent de s’atteler à la tâche. Une fois qu'ils eurent finit, je déclarais alors à mes hommes :

-Nous allons assaillir la ville, récupérer honneur et gloire! Gloire au Rat-Cornu !


Les guerrier revêtirent leur armures et prirent leurs armes. Je me retournais vers un guerrier :

-En mon absence, je te désigne chef de ce navire.

Je ne prit pas la peine de regarder sa réaction et je bondit dans une barque. Une fois arrivé sur la terre ferme (ce qui d’ailleurs me troubla puisque je l'avait quitté depuis heu... fort longtemps) les combats avaient déjà commencé, des guerriers des clans étaient aux armes avec des impériaux lorsqu'un rugissement se fit entendre. Un griffon se dirigeait vers les combats!

Argh, pourquoi m'avoir refourgué ce tas de feraille ?
Il pue, il n'avance pas vite et il n'y a pas de bouffe dessus !
Mais quelle galère...
"Chef, chef !
-Oui ? dis-je maussade...
-On rattrape le serpent-lezard de mer.
-C'est vrai-pas faux ?!
-Hum, oui... Mais on a bientot-tout de suite plus de carburant donc faudra se dépécher.
-D'accord, passez moi un bâton de malepierre pour que je le dirige."
Sitôt dit, sitôt fait.
Je me retrouve sur la proue de mon "vaisseau" et, donc, je guette l'arrivée du serpent.
Et la, il saute tel un majestueux dauphin, il me regarde avec envie...
DÉCHARGE !!!
Il tombe dans l'eau, assommé.
Je me jette dessus, je met mon harnais de soi-disant sécurité, et je le réveille en lui balançant d'autres décharges.
"Ow, réveille-toi !!!!!
-Gruuuuu ?! Gruuuu...
-On a pas le temps de se reposer, on doit aller la-bas !
-Gruuuuu... Me dit-il comme s'il regrettait mon choix."
Tout à coup, il vire à... Euh tribord, bâbord ? Enfin, vers le côté de mon œil non valide...
Et il avale mon bateau, les rats avec.

Nemessiss, qui avait dormi pendant de nombreuses heures, était à présent réveillé, et il n'avait pas hésité à me le faire savoir en me hurlant dans les oreilles de me réveillé, ce que je fis en sursautant. Il éclata de rire mais je n'étais pas d'humeur à plaisanter, et le jetai plus loin. Il roula sur le sol pour aller se fracasser contre une vieille commode.
Lorsque les coureurs revinrent me faire leur rapport, ils me dirent que nous étions juste sous les cuisines, ce qui sembla enchanté Nemessiss, mais nous l'ignorâmes. Ils m'indiquèrent que la chambre du gouverneur était située au deuxième étage, et qu'on ne pouvait s'y rendre que par l'escalier principal, ou un grand nombre du personnel circule. Nous ne pourrions pas y aller tous ensemble sans se faire repérer. L'escalier principal, lui, était situé au bout d'un couloir partant de la cuisine, dans une grande salle. Mon porte-loin sonna soudain.
Je reconnus la voix de Ralexy qui m'ordonnait d'assassiner le gouverneur (c'était ce que je projetais de faire de toute manière). Puis, il ajouta :
« Uzaël, ce traître fourbe, a dérobé l'un de mes ratvion avec sa garde d'élite à bord. Il est probable qu'il cherche à atterrir ici pour tuer le gouverneur Marchezich avant vous et ainsi s'arroger tout le succès de cette opération. Tuez-le si vous le pouvez, sinon exécutez la mission avant lui, tant que vous contrecarrez ses plans c'est parfait. N'échouez pas! ». Puis il coupa cours à la conversation.
Soudain, une énorme secousse suivit d'une explosion retentit des étages au dessus. Il semblait y avoir du grabuge.

Je réfléchis un cour instant, puis ordonnai à mes coureurs de se répartir dans le palais, tandis que moi je me dirigeai vers la chambre du gouverneur. Je n'oubliai pas Nemessiss, mais lui fit promettre de se taire, sous peine de l'abandonner ici. Il accepta, mais cela sembla être à contrecoeur. Je traversai discrètement la cuisine, ou de nombreuses choses-hommes était affairées, puis un long couloir sombre pour arriver enfin dans une grande salle emplie de tables et fauteuils, illuminées par mille lustres et chandelles. J'aperçus l'escalier principal. Une chance, il n'y avait pas un seul garde nulle part. C'était même étrange, j'avais un mauvais pressentiment. Je trouvai cela trop beau, mais je profitai de l'occasion, pour monter furtivement. Arrivé à l'étage, je découvris alors que la porte avait été défoncée. Les murs et la tapisserie portaient de nombreuses éraflures, et du sang était répandu un peu partout. De nombreux cadavres de soldats humains gisaient partout, tandis que deux énormes skavens tout d'or vêtus se tenaient devant la porte. Elles semblaient discuter et ne pas faire attention à ce qui se passait autour d'elles, si bien que je m'approchai discrètement et en égorgeai une. Avant que l'autre ne se rende compte de ce qui se passait, je lui fendis la tête en deux. Je me dirigeai alors vers la porte et pénétrai dans la pièce.

A l'intérieur, c'était un véritable carnage : les murs et la tapisserie était déchirés, le sol griffé, les meubles et lits renversés ou défoncés, les fenêtres brisés. Un engin ailé, qui ressemblait énormément à celui avec lequel j'étais revenu sur le Rachitique (un ratvion qu'ils appelaient ça, s'en était sans doute un) était sur le sol de la chambre et semblait en piteux état, de nombreux morceaux s'étant détachés et trainant un peu partout. Une des ailes étaient brisées, et un énorme trou était situé dans le mur derrière l'engin. Le gouverneur gisait inerte sur le sol, alors qu'une silhouette massive dans une armure très automatisée admirait le carnage : c'était Uzaël. Son armure semblait endommagée et du sang s'échappait à plusieurs endroits de son corps. Il était entouré de sa garde d'or, et c'était un spectacle très impressionant à voir. Je rengainai la lame que j'avais sorti et m'approchait. Il ordonna à ses gardes de le laisser et de piller le palais, ils s'en furent donc sans broncher, avec une discipline militaire impressionnante.
-Eh bien, me dit Uzaël. Tu as fait vite-vite mon ami.
Il se tourna vers moi en souriant. Je lui rendis son sourire.
-Nous avons fait un marché, nous nous y tiendrons tous deux

Uzaël m'a volé un ratvion ! Cela ne devait pas se passer ainsi ! Je devais le poursuivre et l’abattre en plein vol. En plus un de mes subordonné l'avait aidé, je savais que j'aurais dus tuer ce pilote. Soudain je vis quelque chose, quelqu'un était accroché avec un câble sous l'appareil volé. Mais qui était-ce ? Je pris une paire de jumelle et regardais, c’était un de mes ''collègue'', Leridan. Il allait sans doute saboter le ratvion. Je n'avais plus besoin de m'en occuper. Maintenant je devais accomplir ma mission.

Ditz : Tous le monde à son poste ! Paré au décollage !

Cela allait être dur de survoler la ville discrètement, les ratvions faisaient beaucoup de bruit. Le début du trajet ce passa bien, mais une fois au dessus du port, un enfant qui était sur le toit de sa maison cria : « A l'aide ! A l'aide !  Il y a des trucs qui volent !». L'alerte fut sonné, nous étions repérer, il fallait se dépêcher. Quelque gardes commencèrent à nous tirer dessus avec des canons. Heureusement, ils ne savaient pas très bien viser.

Ditz : Feu à volonté ! Tuer les tous !

Malheureusement, un ratvion fut touché et s’écrasa, c’était un de mes bombardier. Il explosa et détruisit grâce à ses bombe quelque maison, et un canon. Les ratling tuèrent les dernières choses-homme qui actionnaient les canons. Nous allions avoir quelque instant de calme. Nous arrivâmes a l'endroit ou nous devions déposer les troupes. Les 10 ratvions transporteur se posèrent. Puis je repartis avec le bombardier survivant. Nous étions de retour, il y allait avoir de l'action. J’aperçus un ratvion qui volait seul au dessus de la ville. C’était le ratvion que Uzaël avait volé ! J'allais me venger. Nous volâmes discrètement vers lui. Une fois juste au dessus de lui, je sautais dessus et rentrais, bizarrement il n'y avait personne, mais ou était-il ? Tout à coup je vis qu'il un avait un petit papier sur le siège du pilote.

Mes excuses pour un post si tardif, je n'ai toujours pas reçus la réponse de GA123 à ma demande d'édit, je considère donc son texte comme incorrect suite à des incohérences avec l'histoire des autres PJ rendant son texte injouable, celui-ci a donc été supprimé et GA123 est considéré comme absent et donc pénalisé.

Joueur Clunny (et GA123):

Alors que tu t'apprêtes à converser avec Uzaël, quelque chose dans les décombres du crash du ratvion se met à bouger. Toi et la garde d'or vous préparez à vous battre tendit que le technomage assiste à la scène sans broncher, curieux. C'est finalement ton collègue assassin qui sorts des débris, il n'a pas encore retrouvé tous ses esprits, il faut agir vite. Le tuer compromettrait ton plan, il doit encore rester en vie un moment pour ne pas que Ralexy se doute de quoi que ce soit. Mais comment a t'il bien pu arriver là ?

Joueur Watman:

"Tellement débile-bile ! Je savais que cet appareil attirerait votre attention technomage, j'ai volé un autre appareil pendant que vous aviez l'esprit tourné vers celui-ci. Je vous souhaites bon voyage, le pilote automatique s'est coupé dés l'instant où vous avez mis les pieds ici." Juste ça, c'était tout ce qui était écrit sur le bout de papier, tu relève lentement la tête, et tu t'aperçois que le sol te fait face, de plus en plus vite d'ailleurs ...

Joueur Skriff:

Est ce toi qui a foncé sur le navire ou bien est ces stupides choses-hommes qui vous sont rentré dedans ? Bah c'est sans importance, tu es maintenant sur un Man'O War humain, probablement mille membres d'équipage, peut être la moitié en fait, vu qu'une bordée de tirs de canons à malefoudre vient de briser le navire en deux. Te voilà à dériver sur des morceaux de bois de tailles conséquantes qui flottent, tels des radeaux un peu partout dans le port, avec des humains qui s'y regroupent, de plus en plus nombreux a ufur et à mesure qu'il sortent de l'eau ... Mais qu'est ce que tu fais là au fait ? C'est bien la dernière fois que tu piques un roupillon à l'improviste, au fait ? Tu sais nager ?

Joueur Baptiste:

Rien à dire, amuses toi, il y a des femmes, des enfants, des vieillards, des bambins, des vierges et des puceaux. Tu peux manger et torturer tout ce que tu veux, mais essayes quand même de tuer quelques soldats au passage ...

A suivre ! La mort tragique de Minimindji !!!

Ah, j'ai bien dormi moi !
J'étais fatigué et j'aais faim, la seule façon de calmer ces deux envies était le sommeil.
Bon, je suis sur un bout de bois, il y a un tas de gens qui me regardent sans trop savoir penser d'un rat mouillé de,taille humaine sur un bout de bois.
Je fais le mort jusqu'à qu'un humain, un vieillard, s'approche trop près...
...
...
Quinze humains ils étaient au départ, trois ils furent à l'arrivé.
J'avais fait un carnage, dés que le vieillard se fut approché, je l'avais happé avec ma main droite, et avec mon autre, je lui avait tordu le cou d'un mouvement bref.
Quelques fractions de secondes,après qu'il soit tombé, je m'attaquais à un grand gaillard qui n'avait pas encore réalisé ce que j'avais fait.
Je lui pris la tête, et, la projeta vers le radeau.
Cela fit un craquement sec, et, l'instant après,une fissure parcourait le radeau de part en part...
Aussitôt ce fut la panique la plus totale, les gens sautaient à l'eau, se bousculaient, se piétinaient...
Finalement, il ne,resta des gens que, deux personnes en train de nager en fuite, trois personnes en vie sur le radeau, sept cadavres sur le bout de bois et quatre cadavres flottant...
"Aller, viens mon petit rat, on va te faire ta fête !
-Huhuhu ! Tu sais qu'on a des armes nous hein, tu l'sais ça hein ?! Dit un des trois combattants en rigolant bêtement..."
Avant que je ne l'embroche avec son épée...
Après que ce dernier tomba dans un râle navrant, les deux autres se ruèrent sur moi...
Je leur lançait d'un coup mes bouts d'os tranchants...
Ils s'effondrèrent...
Je leur,ouvrit les entrailles, je leur pris leurs boyaux...
Et voilà,cj'etais maître à bord, et je mangeais.
Le bateau tangue quand même dangereusement...

Je sortit rapidement de ma stupeur. Je brandit mon bâton de pouvoir, lança coup sur coup infecte bénédiction sur mes guerriers et souffle pestilentiel sur les humains se ruant sur moi. Un nombre non négligeable d'humain agonisait. Voyant le griffon s'approcher dangereusement de moi, je saisi un sabre d'un garde mort et lança flot de vermines.
La bête arriva. Elle se posa, puis rugit. C'est plumes était rouge sang. L'anima devait bien faire deux mètre de haut pour trois de large. Un imposant plastron protégeais son buste. Sur son dos, un guerrier protéger d'une armure lourde équipé d'une épée dans la main droite et d'un bouclier dans la main gauche.

Sous mon commandement, mes guerriers des clans se chargèrent le griffon, mais la créature les balaya d'au revers de patte. Les survivant se rallièrent a moi.

Le cavalier cria par dessus le vacarme :

-Moi, Gallien le féroce, capitaine de l'armée de cette ville, te lance un défis, un combat a mort.
-Défis accepter.

Enivrer par le gout du sang et carnage, j’eus le folie d'accepter
Lâchant mon épée, je pris la lance d'un de mes sbires.
Je me mis face à face a mon adversaire. Mes rats ce s'élancèrent vers le griffon. A coup de bec et de griffes la moitié tombèrent mais, le nombre et la taille permirent d'infliger quelque dommage à la monture.
Il ne tardât pas à répliquer; il lança le bête sur moi. Je réussi a l'esquiver de justesse.
Le combat s'éternisait, aucun des combattant n'arrivait a mettre en difficulté l'autre. j'eus alors une idée. Je lança infecte bénédiction sur la lance, le griffon me chargea, et grâce à une esquive sur la gauche je fus en position de lancé ma lance. Elle se planta dans un défaut de l'armure du guerrier. Le poisson virulent et la gravité de la blessure le tuèrent sur le coup. La monture voulut venger son maître, pris son envole et effectuas une charge en piquée. Celle-ci fut interrompu par la chute inopiné d'un ratvion sur la bête.

Dans la carcasse fumante du ratvion je fouilla le technomage de bord et trouvât un pistolet à malepierre.
Puis, j'ai récupérer sur la carcasse du griffon quelque plume et une fiole de sang
Je rangea mes trouvailles dans ma besace.

Je repris l'assaut. mes troupes se dirigeait vers le centre de la ville, massacrant soldats, femmes et enfants, chiens et chats. Le centre de la ville fut pris rapidement, mes troupes ne trouvant aucune résistance, je m'assit sur les décombres d'un bâtiment en attendant les autres groupes armés du rachitique.

Uzaël commença à me faire un récit détaillé de son parcours en ratvion jusqu'ici. Je m'assis, car je savait que j'en aurait pour un moment avec celui-ci. Ils avaient, lui et sa garde, volé un ratvion, et pas n'importe lequel puisqu'il s'agissait de celui qui avait été confié à un technomage (le dénommé Ditz) par Ralexy. Ils avaient réussi à s'échapper et à éviter les nombreux projectiles tirés par les Ratling des autres ratvions. Il vantait sa qualité de pilote, mais à mon avis, cela venait plutôt du fait que Ditz n'était pas un bon chef et que ceux qui étaient sous son commandement ne possédaient pas le moindre talent au tir.

Après avoir fait un long détour vers l'est pour semer pour de bon leurs poursuivants, Uzaël et sa garde se dirigèrent tout droit vers la ville. Le pilote du ratvion qui posait trop de questions et qui agaçait Uzaël (car il lui répétait sans cesse que c'était à lui de piloter) fut jeté du ratvion et atterrit dans les eaux sombres avant de s'y enfoncer comme une pierre.

Ils survolèrent discrètement la ville. Étrangement, les seuls soldats qu'ils virent ne firent pas attention à eux, ils se dirigeaient rapidement à l'opposé. Uzaël constata alors qu'ils étaient aux prises avec les ratvions de Ditz. Ces crétins-idiots faisaient une diversion parfaite. Il ne tarda pas à trouver le palais du gouverneur, une gigantesque bâtisse faite de pierre blanche, et aux toits de tuiles ocres. Il orienta le ratvion vers le bas et piqua à toute vitesse vers le bâtiment. Dans un fracas assourdissant, le ratvion passa en travers du mur et atterrit dans une immense pièce avant de se briser en plusieurs morceau. Uzaël en sortit en ricanant, suivit de sa garde.

Il faut croire que le Rat Cornu était avec eux, car non seulement il n'y avait pas eu de mort dans l'accident, mais ils se trouvaient aussi dans la chambre du gouverneur. Bien qu'elle fut sans dessus dessous, on pouvait voir qu'en temps normal, c'était une pièce luxueuse. Parut alors le gouverneur, suivit de nombreux soldats. Le gouverneur, bien que âgé, était d'une carrure imposante et dépassait en taille la plupart de ses soldats. Il portait une longue toge blanche, de laquelle on pouvait voir dépassé ce qui semblait être une armure de mithril. Nul doute qu'il semblait craindre pour sa vie, car personne ne porte une telle armure, bien qu'elle soit légère, dans sa vie quotidienne. Une courte barbe blanche avait poussé sur son menton. Il avait le visage assez fin, les joues creuses et un front large. Ses cheveux blancs tombaient sur ses épaules. Il portait une ceinture en tissu rouge et un long fourreau noir orné de dorures y était attaché.

Il dégaina son épée, et dans un cri de guerre, les gardes de jetèrent en avant, sitôt imités par les vermines de choc. Le combat qui s'en suivit fut violent. Il se propagea dans les couloirs, car si il arrivait de plus en plus d'hommes, les vermines semblaient avoir le dessus et se taillèrent rapidement un chemin vers la sortie. Uzaël tira sur une ficelle située sur son torse, et une fumée verdâtre s'échappa en sifflant du générateur qu'il portait dans son dos. Il leva le bras en avant, et les câbles qui le parcouraient se colorèrent de vert. Soudain, une sorte de petite fusée sortit d'un long tube fixé à son bras et termina sa course au milieu des soldats arrivant, dans une énorme explosion.

Marchezich se rua alors vers lui et lui assena un coup d'une force extraordinaire. Uzaël eut à peine le temps de l'esquiver. Il s'empara alors de sa hallebarde, une énorme lame de malepierre fixée sur un long manche en bois et reliée à son armure par de nombreux câbles. Le duel fut très serré, les deux combattants étant tous deux des guerriers aguerris. Mais la vieillesse se faisait sentir chez l'homme qui était moins vif et rapide que son adversaire, et il semblait aussi fatiguer au fur et à mesure du combat. Dans un excès de rage, le gouverneur assena un coup si rapide et violent au technomage qu'il parvint à passer au travers de sa garde et à fissurer son armure. Uzaël regarda son armure, semblant dans une totale incompréhension, qui se transforma vite en haine. Il se jeta sur son adversaire, lui attrapa le bras et le tira vers lui avant de lui assener un violent coup de tête. Il désarma Marchezich, sonné, et lui trancha le torse de sa lame. Le mithril vola en éclat, et du sang se répandit rapidement sur la toge immaculée, déchirée à de nombreux endroits. Uzaël le saisit d'une main par la tête et le souleva. Il le regarda dans les yeux, l'autre soutint son regard, puis il le lança avec force à l'autre bout de la pièce. L'autre s'écrasa lourdement contre un meuble qui se brisa. C'est ainsi que le gouverneur Marchezich mourut. Enfin, d'après Uzaël, et je ne doute pas qu'il ait prit soin de peaufiner son récit en y ajoutant nombre d'éléments.

***

Alors qu'il eut fini son récit, Nemessis se lança dans de longues éloges, félicitant Uzaël qui semblait apprécier. Mais il fut coupé par un bruit provenant de derrière Uzaël. Nous nous retournâmes. Quelque chose bougeait sous les décombres. Je saisis mes dagues et pris mon cachet. Les vermines de choc étaient sur le qui-vive, prêtes à se jeter sur ce qui sortirait des décombres. Une silhouette fine, emmitouflée dans une longue cape noire, s'extirpa alors des débris de mur et de ratvion. C'était un skaven, et il semblait sonné. Il se redressa et regarda autour de lui. Je le reconnus alors : c'était l'autre assassin qui faisait parti de mon équipe, ce bon à rien de Leridan. Il me fixa alors puis se mit à me faire des signes de la patte.
-Hey Clunny! cria-t-il. C'est moi-moi! Tu me reconnais? Leridan!
Ce crétin-idiot allait faire échouer mes plans. Il fallait que je fasse quelque chose. Mais je ne pouvais pas le tuer non plus, Ralexy se douterait de quelque chose. Il me serait bien sur possible de faire porter le chapeau à Uzaël, mais là encore cela poserait problème, car notre alliance tomberait à l'eau, et ce n'était pas le moment pour que je le trahisse. Clunny, mon vrai chef, m'avait confié une mission, et je dois la remplir coûte que coûte. Je ramassais une pierre et la lançais avec force sur Leridan. Elle la frappa en pleine tête et il s'effondra.
-Il faisait trop de bruit-boucan!
-Tu le connais? demanda Uzaël.
-Oui, c'est un de ces crétins qui font parti de l'équipe spéciale chargée de mener le Rachitique à bon port. Et toi?
-Non, c'est la première fois que je le vois, me répondit-il.
-Alors comment se fait-il qu'il était à bord de ton ratvion?
-Aucune-pas la moindre idée. C'est un assassin non? Ce n'est pas votre boulot-travail de saboter et d'espionner? C'est sans doute Ralexy qui l'a envoyé...
Une idée me vint alors. Et si Ralexy se doutait de quelque chose? Si quelqu'un m'espionnait depuis le début? Ou alors, peut être que...
Peut être que Uzaël avait décidé de me trahir avant que je ne le fasse?

Uzaël m'a piégé ! Ce sale petit..... ! Il est vraiment trop fort. Mais comment fait-il ? Est-ce un élu du Grand Rat Cornu. Non, ce n'est pas possible, il a juste de la chance. Bon, il faut que je redresse ce ratvion avant qu'il ne s’écrase. Je m'assoie à la place du pilote, tire de toute mes force sur les commandes, le ratvion commence à se redresser, mais pas assez vite, le sol s'approche trop rapidement.J’arrête de regarder le sol, je regarde mes pied, j'ai peur, mes moustaches tremblent, je vais mourir. Je repense à ma famille, à mes frère, tous tué avec mon premier pistolet que j'avais bricolé avec mes petite main d'enfant, c’était le bon temps. Je pouvais faire ce que je voulais. Je suis triste, je n'inventerais plus jamais rien.

Le ratvion continue de se redresser petit a petit, mais trop lentement il ne me reste que quelques minutes avant de m’écraser. Je suis en colère, mon nom va tombé dans l'oubli, mes collègue du clan skyre ce moqueront de moi et l'un d'eux prendra ma place ! Pour me calmer, je commence à frapper sur le tableau de commande du ratvion. Soudain, un immense parachute sors de la soute du ratvion et se déploie. Ouff, il ralenti ma chute, je suis sauvé. Je vais pouvoir me poser en douceur, je coupe le moteur et j’attends que le ratvion descende tranquillement. Mais, quelque choses-hommes m'ont repéré et commencent à tirer sur mon parachute. Vite-vite, je cour à une ratling et commence à les tué. Trop tard, mon parachute est troué, je recommence à chuter. Je remarque que l'eau est toute proche. Et si j'essayais de piloter le ratvion pour m’écraser dedans ? Non, je ne sais pas nager. Ou alors, je m’écrase dans une des tours de la muraille, non c'est trop dangereux. Mais c'est ma seule chance, sinon je vais m’écraser par terre. Il faut que j'essaye. Je met le moteur à sa puissance maximale, le ratvion accélère, il va maintenant tellement vite que je ne peut plus décoller ma tête du siège. Je vais m’écraser dans quelques secondes. Je ferme les yeux, serre les dents, fais une prière au Rat Cornu.

BOUM, le ratvion s'est crashé dans la tour, mais je suis en vie. J'ouvre les yeux, j'ai des blessure partout sur le corps, à certain endroit ma fourrure à été arraché ou brûlé. Mon bras robotique ne fonctionne plus, je le détache de mon corps et le laisse tombé. J'essaye de me concentrer pour me téléporter dans le Rachitique, mais une force magique m'en empêche, un magicien à du me repérer. Il faut que je bouge vite, avant qu'il n'arrive. Je n'ai pas la force de le combattre. J'essaye de me lever mais je n'y arrive pas. J'ai trop mal.... Je tombe dans les pommes.

"A touts les officiers en mesure de recevoir ce message, ici l'amiral karlzor. Retraite immédiate ! Je répète, Retraite immédiate ! Une flotte Tiléenne arrive, il semble qu'elle cherchait à prendre la ville d'assaut peu après nous, ils sont trop nombreux ! Le Rachitique entamera la plongée dans exactement dix minutes ! Nous ne pouvons, au nom du rat cornu, laisser des preuves de notre passage. Dans dix minutes, un nouveau tir de canon axial, rasera la ville ! Retraite - retraite !"

Joueur Clunny:

Tu regardes Uzaël droit dans les yeux, et tu y lis la panique. Il ne semblait pas du tout avoir prévu ce retournement de situation. La marche à pied risque de prendre bien trop de temps, vous êtes à l'autre bout de la ville. Le ratvion est hors d'usage, sauf si tu aimes les puzzles. Vous avez dix minutes pour rejoindre le port et pas une de plus, trouvez une barge ou montez à bord d'un destroyer, du moins c'est ce qu'il semble de plus logique. Si vous avez une autre idée, ne vous privez pas, assassin !

Joueur Watman:

Tu émerges lentement, ton parle-loin grésille quelque chose. Tu n'entends pas bien, seul la fin du message t'est audible: Canon axial ... dix minutes .... retraite ! Ta rétine se dilate en une fraction de seconde, l'instant d'après tu es sur pieds. Comment rejoindre le sous-marin ? Soudain tu as une idée, tu n'as pas à t'en faire pour ta mission, elle a été menée à bien, les vermines et les jezzails qui ont captés ce messages ont d'ailleurs dut fuir vers l'intérieur des terres. Ce qui veut dire que les ratvions de transports évacuent actuellement vers le Rachitique sans se soucier d'eux, mais comment en contacter un, car lorsque tu retires le parle-loin de sous ton fessier, tu comprends mieux pourquoi tu ne recevais pas bien l'ordre de retraite, il est plus plat qu'un cobaye de ratasphère ...

Joueur Skriff:

Ton radeau de fortune tangue étrangement, tu remarques que les destroyers ont fait demis tour, que les guerriers reviennent en masse vers le port et se battent à mort pour une place dans les barges de débarquement. Tu as l'impression d'avoir raté un épisode, mais de quoi ? Tu attrapes ton parle-loin, et au vu de la forte quantité d'eau qui s'en extirpe, tu te demande s'il ne risque pas de marcher un tantinet moins bien. Quoiqu'il en soit, cette situation est vraiment étrange. Peux être qu'il y a un danger quelc... UN DANGER ! Ça y est tu paniques, vite-vite, retourner au Rachitique, mais comment ? C'est alors que jaillit des eaux, le poissons qui avait tracté ton bout de bois humain réapparaît. Il n'a pas l'air content.

Joueur Baptiste:

Tous les stupides rats qui osent te barrer la route finissent tranché en deux ou se dissolvent en un instant. Pourquoi ? Pourquoi est ce qu'il a fallu que ça tombe sur un grand guerrier comme toi. Heureusement que tu es malin, un petit enchantement boosté avec quelques fragments de malepierre, et te voilà à vomir ton souffle pestilentielle sans discontinuer. La pente qui redescend vers le port recouverte de l'infâme substance innommable, tu glisses avec aisance. Mais arrivé dans la dernière ligne droite, tu remarque que ton destroyer a déjà mit les bouts, ces traîtres payeront. Déjà éloigné de plusieurs mètres de la rive, tu remarque des navires impériales, ainsi que des épaves de navires impériales, forment un chemin fort sympathique pour aborder ton bâtiment. Sans hésiter, tu glisse jusqu'à berge avant de sauté sur le premier navire ennemis, le premier d'un long chemin sur l'eau.

Joueur Slagash:

Ralexy ne peut s'empêcher de lâcher un rire moqueur, ainsi son assassin s'était vendu à Uzaël ? Quel imbécile, comme s'il n'avait pas posé des mouchards sur tous ses agents. Sa némésis voulait lui jouer un sale coup ? Très bien, lui aussi avait encore des cartes en réserves. Il s'approcha du parle-loin.

"Jhakra ! Il est temps. J'ai perdu le contact avec le capitaine de l'un des destroyer, il s'agissait de l'un de mes agents, il m'a probablement aussi trahis. Je ne peux pas permettre que ce destroyers soit perdu s'il continue à rester comme ça, bêtement au port. Voir pire, qu'il permette à Uzaël ou au traître de s'échapper. Abordes le ! Tues son commandant (Minimindji) et ramènes le au hangar ! Tu n'as que dix minutes ..."
"Oui patron !"

Tu pousse le levier de vitesse à fond, la barge de débarquement quitte le hangar à plein régime. Tu croises le second destroyers, il progresse lentement mais revient bien au rachitique. D'autres barges remplies à ras bord de skaven paniqué, te foncent dessus en contre-sens. Tu aperçois même un étrange guerrier qui coure sur des morceaux d'épaves pour rejoindre le destroyer tandis qu'un autre, lui aussi très étranges, se battait sur ces mêmes épaves contre un monstre marin. Tu te re-concentra rapidement, tu devais esquiver ces barges folles et aborder le destroyer resté à quais. Tu n'étais pas l'agent secret de Ralexy pour rien ...


B = Baptiste
C = Clunny
G = GA123
M = Minimindji
SK = Skriff
SL = Slagash
W = Watman
U = Uzaël

Alors...
Toujours se calmer avant de réfléchir...
Mais c'est quoi ce fatras pas possible ??
Il y a des navires et des barques partout,partout !
Il y a même mon poisson qui t'attends la-bas...
Tiens, mais il grogne !
Décharge !!!!!!!!
Ah, tout de suite plus obéissant celui-là hein !
C'est facile à contrôler en fait...
Voyant que tout le monde va vers le sous-marin l'air affolé, je me dis...
Qu'il faut les écarter pour que je passe.
Ni une ni deux, je fais foncer mon poisson, nommé Skriff II...
Et cet imbécile plonge.
Heureusement que je suis accroché !
Je tente de lui lancer une décharge pour qu'il remonte, sauf que j'ai l'impression que tout grille autour de moi...
Y compris mes poils et mon Skriff II...
Pourquoi ?!
Je réussi à m'en sortir, et c'est dégoulinant, furieux et grillé que je sors de l'eau sur une barque...
Il y a trop de monde !
J'ai besoin de me sécher !
Et j'ai faim.
Je réfléchi...
Et...
Je tue deux rats qui m'empêchaient de m'installer, je les dépèce, je me sèche...
Et je me fais ma place, autant dire que j'ai fait forte impression !
...
...
...Enfin on arrive, cette barque n'avance vraiment pas vite !
Enfin, ce n'est pas ma faute si mon barbecue improvisé avait incendié la moitié du bateau et des occupants...
On arrive devant le Rachitique, mais il n' y a qu'un petit trou pour entrer, et tout le monde se presse !
"Plus que deux minutes !" Lance un haut-parleur...
Je me dépêche, je bouscule, je mords, je griffe, je mange, j'eborgne, je frappe...
Et j'arrive à l'intérieur.
Mais où aller ?
J'opte pour le centre de commandement, où Ralexy doit être sûrement présent.

« A tous les officiers en mesure de recevoir ce message, ici l'amiral Karlzor. Retraite immédiate! Je répète, retraite immédiate! Une flotte Tiléenne arrive, il semble qu'elle cherchait à prendre la ville d'assaut peu après nous! Ils sont trop nombreux! Le Rachitique entamera la plongée dans exactement dix minutes. Nous ne pouvons, au nom du Rat Cornu! laisser des preuves de notre passage. Dans dix minutes, un nouveau tir de canon axial rasera la ville. Retraite - retraite! »

Mon parle-loin se tût. Dix minutes? C'était bien trop peu, je n'aurais jamais le temps de retourner au navire. Il m'aurait fallu un rat loup, et encore...
Je me tournai de nouveau vers Uzaël. Ça gorge se gonflait rapidement, ses yeux bougeaient nerveusement, sa queue claquait l'air, et il poussait malgré lui de nombreux couinement. Il avait peur. En d'autres circonstances, cela m'aurait fait grand plaisir, j'en aurais même profité pour le tuer, mais je risquais moi aussi d'y passer, et ça, il n'en était pas question. D'ailleurs, si je ne le montrais pas, j'étais aussi très anxieux. Je me mis à réfléchir mais fut de suite interrompu par mes coureurs et les vermines de la garde d'or qui entrèrent en trombe.
Ces dernières, d'ordinaire froides, inexpressives et disciplinées, ne valaient alors pas mieux que le plus misérable des esclaves.
-Chef-chef! C'est terrible-terrible! Il faut partir d'ici tout de suite-immédiatement! cria l'un d'une voix grinçante.
-Nous allons tous crever-mourir! gémit un autre.
Ces abrutis m'énervaient. Soudain, je sentis battre mes tempes. Mes yeux devinrent rouges et ma vue se troubla. Des douleurs atroces parcoururent mon corps, et je fus pris de spasmes violents. De la bave s'écoulait de ma gueule, et mes muscles se mirent à enfler. Je cherchai maladroitement ma sacoche.
-Vous allez bien? me demanda l'un de mes coureurs en s'approchant.
Mais il était trop tard. Dans un excès de rage, je le saisis par la gorge et lui brisai la nuque. Toutes griffes dehors, je me jetai sur tous les êtres dans la pièces, les mutilants à grands coups de pattes et de dents, aussi féroce qu'un Rat-Ogre. Même les vermines de la garde d'or ne semblait en mesure de m'arrêter dans ma crise, sans doute parce qu'elles furent surprises de ma réaction, et qu'elles étaient encore sous le choc de l'annonce de l'amiral (si on pouvait appeler ce bon à rien de Karlzor amiral...). Je fus finalement maîtriser pas six forts rats. Uzaël s'approcha alors lentement, tandis que je me débattais avec rage. Il fouilla alors dans ma sacoche et en sorti les pilules. Il en mit une dans ma gueule, et mon seul réflexe fut de le mordre, enfonçant profondément mes crocs dans sa chair.
Il poussa un hurlement. Je finis par lâcher prise, recouvrant peu à peu mes esprits.

J'avais un mal de tête atroce. Uzaël m'expliqua rapidement la situation, car j'avais complètement oublié pourquoi nous étions là. Il me dit qu'il aurait pu me tuer, mais qu'il avait encore besoin de moi. Il ne restait plus un seul coureur en vie, et une dizaine de membres de la garde d'or gisaient inertes deçà-delà. Selon lui, il restait à peine cinq minutes avant que la ville ne soit rasée. Sans réfléchir, je courus à la fenêtre et sautai au dehors. Mon instinct de survie me disait de courir, courir aussi vite que possible vers la berge. Je ne fis pas attention aux quelques hommes encore en vie qui fuyaient en hurlant à ma vue. Il fallait que j'atteigne le bateau, le comment déjà? Rat... Rat Typique? Rat Qui Pique? Le Rat Chic? Oh et puis zut! Peu importait son nom, il me fallait l'atteindre coûte que coûte. J'avais abandonné Uzaël et les autres, tant pis si ils mouraient, même si je savais que Uzaël ne se laisserais pas abattre si facilement.
Environ deux minutes. J'aperçus la mer au loin. Je n'aurais jamais le temps. Je vis un ratvion passer rapidement au-dessus de moi. Si seulement j'avais pu monter à bord!
Soudain, je le vis! Mon espoir de survivre! Il avait quatre pattes, un poil brun très sale, mais semblait déborder d'énergie. Avant qu'il ne me remarque, je sautai maladroitement sur le dos du cheval. Je n'étais encore jamais monté là-dessus, ils ne servent que de nourriture. Je ne savais d'ailleurs pas comment cela se pilotait. J'aurais dû amener Uzaël avec moi en fin de compte, c'est un technomage, il aurait sûrement trouvé un bouton ou quelque chose pour contrôler cette chose. Mais à mon grand bonheur, il était tellement effrayé par le fait que je fus sur son dos qu'il se mit à courir comme un dératé en direction de la mer.

Il arriva si vite qu'il s'arrêta brutalement au bord de la falaise et manqua de tomber. Je fus littéralement projeté en avant et tombai dans les eaux sombres. Mes talents de nageur me servirent, car n'ayant pas atterri loin de la rive, je pu y revenir à la nage. Je cherchai alors le Rat Épique des yeux et le vis, à quelques dizaines de mètres au nord est. Il était trop loin, et si je ne mourrais pas à cause du tir du canon, je serais sans doute tuer par les Tiléens, ou pire, par Clunny si il me retrouvait.
Alors que je sombrais dans le désespoir. J'entendis des voix. Une barge passa alors juste à côté de moi, les skavens qu'elle transportait semblaient inquiet.
-Aller plus vite! cria un rat. Il ne faudrait pas qu'ils partent sans nous!
Je saisis cette opportunité et montai discrètement à bord. J'égorgeai l'un des nombreux membres de l'équipage et l'entraînait dans un coin sombre, avant de revêtir son armure rouillée et ses haillons jaunes, sales et à l'odeur atroce. Je souris. Le Rat Cornu était avec moi. J'étais sauvé!

10 minutes.

Le moteur rugit, poussé à plein régime, c'est sur qu'il ne tiendra pas l'aller-retour mais peut importe je ne suis pas sensé revenir avec. Cette barge n'est absolument pas manoeuvrable, elle n'a pas été faite pour faire des arabesques-courbes dans l'eau mais pour foncer vers un objectif en ligne droite, aussi éviter les barges frénétiques qui arrivent en face de moi est un exercice délicat.

"Malesang ! Je le voyais venir-arriver à des kilomètres, me faire conduire une barge alors que je n'ai qu'une main, brillante idée Ralexxy, vraiment ! C'était bien la peine de m'engager et de me sortir de l'impasse où j'étais fourré, ça oui ! Si ça se trouve c'est par pur plaisir sadique..."

Tout en maugréant je braque à tribord pour essayer de ne pas percuter une barge pleine à craquer, ça passe tout juste ! A peine un petit impact qui fait tomber quelques guerriers à l'eau... Je plisse des yeux, c'est Gorge-Putride qui saute de planche en planche pour rejoindre le Ratchitique ? Il a intérêt à faire vite !

9 minutes.

C'était pas un autre agent de Ralexxy qui plonge avec un monstre marin ?!

8 minutes.

Le destroyer est presque à portée de griffe mais un sifflement se fait entendre, ça vient du moteur et ça me parait pas bon du tout, avec un peu de chance j'arriverai à aborder le navire avant que le mien n'explose... Je crois que c'est le bon moment pour un Rate Noster :
Notre Rat qui êtes aux Cieux
Que Votre nom soit Sanctifié
Que Votre règne arrive
Que Votre Volonté soit faite
Sur la Terre comme dans le Cloaque
Donnez-nous aujourd'hui Notre Malepierre de ce jour
Punissez-nous de nos offenses
Comme nous punissez aussi ceux qui vous ont offensés
Mais aidez-nous à encore semer la destruction
Et à Délivrez le Mal
Car, c'est à Vous qu'appartiennent le Règne, la Puissance et la Gloire
Pour les Siècles des Siècles
Rat-Men

7 minutes

Hourrat ! Le moteur n'a pas explosé, il est juste mort ! Ma barge percute le destroyer de flanc et je saute à l'assaut du vaisseau de guerre à moi tout seul. Il faut que je trouve ce traître de Quaal, que je l'élimine et que je rentre au Ratchitique en quelques minutes... Je croise quelques skavens paniqués. Je leur aboie dessus :
"Je suis le nouveau capitaine du navire ! Où se trouve votre ancien Rat-pitaine ?
Dans la tour d'observation-surveillance nouveau maître, là haut ! me répond-t-il.

Il me montre en effet de sa griffe une tour au dessus de la cabine de pilotage principale, le traître doit surement essayer d’apercevoir Uzaël pour lui permettre de monter à bord et je ne peut pas le permettre ! J'ai soudain une idée diabolique !

6 minutes.

Vite, j'accoure jusqu'à l'un des canons à Malefoudre du destroyer.
"Qui sait faire fonctionner-marcher cette chose ?" cris-je.
"Sans vouloir me vanter je suis le technomage le plus capable sur le navire et bientôt dans tout l'Empire Sout..."
Je ne laisse pas le temps à cet idiot de finir sa phrase, je le saisis par le cou et le pose sur le siège de la machine infernale.
"Vise la tour d'observation ! Vite !"
"Mais..
Encore une fois je n'ai pas le temps d'attendre qu'il s'exprime, je lui enserre le cou de mon attrape-chose greffé et il comprends aussitôt ce qu'il a à faire. Je regarde la tour avec anxiété.

5 minutes.

Le tir fuse du canon, une boule de Maleénergie vole vers le traître et je doit fermer les yeux un instant car l'explosion m'éblouit. Ça c'est fait ! Quaal est mort, à présent il faut revenir au Ratchitique au plus vite ! Je file vers la salle des commande et ordonne à tout le monde de pousser les moteurs au maximum pour que nous ayons une chance de survivre, et pour la première fois de ma vie la menace que j'utilise pour motiver mes troupes s'applique à ma personne. Personne ne pose de question et le destroyer commence à accélérer.
Je retourne sur le pont pour voir où nous en sommes, ça sera juste, très juste...

4 minutes

Alors que j'allais donner des ordres je reçois un coup de hache sur l'épaule qui ripe heureusement sur mon armure. Je me retourne et vois alors Quaal, le poil grillé et l'armure roussie qui se tient devant moi. Il a survécu ! Il tient dans sa patte sa hache naine, j'imagine qu'il a perdu sa lame elfique dans l'explosion. Ça va donc devoir se régler au corps à corps !
Je prends l'initiative et me jette sur lui, mon poignard à la main, il me pare et me repousse avant de m'assaillir. Il est fort mais pas plus rapide que moi, et il vient de subir une grave chute... Alors que j'essaye de repérer ses blessures sa hache passe à un centimètre de ma gorge, mon inattention à faillit me tuer ! Je reprends mes esprit, son bras gauche à l'air en mauvais état et je le saisis avec mon attrape-chose. Il rugit de douleur puis me regarde.
"Tu crois pouvoir m'arrêter-me stopper ? Qu'est-ce qu'un bras quand Uzaël peut me donner une prothèse encore plus performante-efficace ?"
Et sous mes yeux ébahis je le vois saisir sa hache et se trancher lui même le bras ! Ce skaven est un fou ! Je veux dire, comparé à la folie skaven classique ce type est un psychopathe !
Ses assauts redoublent, je dois parer ses coups de hache maladroitement et je fini par perdre mon poignard qui tombe sur le pont. Mon adversaire sourit. Mais je choisi je me jeter sur lui toute dents dehors et arrive à l'éborgner avant qu'il ne me pousse d'un coup de manche de son arme. Je saisis alors une fiole de mon extrait de glande que je lui lance au visage. Le liquide est particulièrement fort et au contact de son oeil blessé il fait reculer Quaal, qui baisse alors son attention. J'arrive enfin à passer sous sa garde et referme mon attrape chose sur son cou. Il s'effondre dans un craquement écoeurant. Enfin.

1 minute.

Le Rachitique est à la fois tout proche et tellement loin ! J'ordonne alors de tirer avec les canons à Malefoudre en direction du port pour nous donner un surplus de vitesse qui fera peut être la différence. L'équipage s'exécute, et alors que je me retourne mon bras me lance terriblement et me fait chanceler. Je dois calmer la douleur à tout prix, et c'est le corps de Quaal qui sera mis à contribution...
Alors que j'extrait la glande dont j'ai besoin et commence à la dévirer frénétiquement, je lève les yeux vers le Rachitique, nous y arrivons mais l'air s'électrise, il va tirer. La question est de savoir si à ce moment là nous serons à l'intérieur ou à l'extérieur...

Notre Rat qui êtes aux Cieux
Que Votre nom soit Sanctifié
Que Votre règne arrive
Que Votre Volonté soit faite...


0 minute.

J'ai mal partout. Et je n'ai que 10 minutes pour rejoindre le Rachitique. Il faut que je monte en haut de la tour pour que les ratvions m’aperçoivent et m’évacuent. J'essaye de me lever pour monter les escalier mais je n'y arrive pas, je suis trop faible-fatigué, même un esclave pourrais me battre. Je commence à descendre les marches lentement. Une fois arriver en bas, je rampe vers le port, vers le Rachitique. J'avance trop lentement je n'y arriverais pas, j'allais mourir à cause du canon. Soudain j’aperçois une charrette des choses-hommes, avec un cheval. Je grimpe dedans au prix de douloureux efforts. Mais une fois dedans, je ne sais pas comment la faire avancer. Je remarque qu'il y a un fouet dans la charrette, faudrait-il que je fouette le cheval ? Bon je vais essayer. Dès mon premier coup de fouet, le cheval avance, c'est encore plus simple que de piloter une Roue Infernale, je fouette le cheval et il avance. Les choses-hommes sont intelligentes, chez nous il faudrait appuyer sur plusieurs boutons, mais là il suffit juste de fouetter le cheval. Je croyais que les choses-hommes n'avaient pas d'esclaves, mais en faite, les chevaux sont leurs esclaves. Le cheval ce met à accélérer, je suis presque arriver au barges d’évacuation. Mais je ne vois pas de bouton pour freiner, comment fait-on pour s’arrêter ? Réfléchis ! Pense comme une chose-homme, cela doit être simple. Et si je tirais sur cette ficelle qui est accroché a la bouche du cheval ? Oui ça doit être ça. A peine ai-je commencé à tirer sur cette ficelle que le cheval s’arrête. C'est vraiment trop facile.

Je descend de la charrette en faisant un petit saut, mais je m’écrase par terre et j'ai encore plus mal. Je commence à avancer vers le bateaux le plus proche, mais je remarque qu'il est entrain de partir. Malgré mes cris le bateau continu d'avancer. Un skaven m’aperçoit et commence à crier «  C'est dommage ! Je suis dans le dernier bateau ! Vous allez mourir ! Vous me donnez tous vos bien ?! De toute façon, il ne vous serviront plus ! » Si je dois mourir, je le tuerais avant, je sors mon pistolet. Je commence à viser, je retiens mon souffle. Et je presse la détente, la balle pars et le tue en lui transperçant la tête. Le bateau continu de s’éloigner, et si je me téléportais dedans ? C'est ma dernière chance. Je me concentre, et commence à préparer mon sort. Plus j’attends et plus mon sort a des chances de réussir, mais si j’attends trop le bateau sera hors de porté. Maintenant ! Je lance le sort, et grâce au Grand Rat Cornu, loué soit-il, je réussi mon sort et me retrouve en plein milieu du bateau entouré de skavens.

Et hop je saute sur un tas de bois flottant qui était avant un bateau impérial.
Je cour et hop je suis sur une deuxième épave. Celle-ci est moins abimée que la première. La cabine du capitaine et la coté bâbord du navire était superficiellement abimés.
Je me dirige vers la cabine pour sauté sur un bout de mat gisant dans l'écume, lorsque que cinq soldats en armure rouillé par l'eau salée sorte de la cabine et se ruent sur moi. Ni une, ni deux; je sort mon bâton de pouvoir, et frappe avec un de mes assaillants dans le cou. Il s'effondre, mort. Je redonne un coup de mon bâton dans le ventre d'un autre soldat. Celui-ci tombe sur le pont et roule dans l'eau. Plus que trois je prend une de mes dague et tranche la gorge d'un troisième. Un quatrième me fait tomber, mais je l'entraine avec moi et il s'empale sur ma dague.
Le dernier s’apprête à me frapper de son épée quand un monstre marin bondit et l'engloutit dans les flots.
Loué soit le rat cornu.

Je me dépêche et saute sur le bout de mât. Ce combat ma fait perdre de précieuse minutes.
Je suis plus qu'à une trentaine de mètres de mon destroyers.
Je cour et hop un nouveau tas de bois. A la hâte je m'enfonce une écharde dans le pied.
Plus que dix mètres et je suis sauvé, mais il y a un vide de plus de huit mètres avant tout autre fragments de navire.

Que faire ! Que faire!

Je scrute l'eau dans l'espoir de trouver un moyen de l'échapper mais rien.
Tout c'est actes héroïque accomplis, en vain. personne ne couineras de peur rien qu'en entendant le nom de Gorge-putride.
Je m'assoie au bord de l'eau, remplis de désespoir. Le griffon que j'ai vaincu et ...
je met fin à ma mélancolie ici car j'ai aperçu quelque chose que je n'avais pas vu : un cadavre de monstre.
Sa couleur marine l'avait dissimulé à mes yeux.
Loué soit le rat cornu.

En vitesse je cour sur le dos de la créature et bondit. J'avais mal estimé la distance qui me séparer de l'Electric. Trop tard, je ne peut pas revenir en arrière. Le bateau est trop loin. Je dessine une rune du rat cornu sur mon torse.

Par mi-rat-cle j'arrive a bord de mon navire.

Loué soit le rat cornu.

Bon, je suis à l'intérieur, j'imagine la galère pour tout les autres encore dehors en sentant des brèves, mais fortes secousses.
Je ricane...
Par contre, j'ai un problème...
Je ne me souviens plus du tout du plan du navire...
Je décide de m'arrêter, et je sors ma fiole de sauce...
Boum !
Avec la quantité de malepierre déversée dans l'eau, et la composition peut recommandable de ma sauce, tout explose !
Le hangar ou j'étais, a explosé, et se retrouvera, sûrement noyé, dans quelques secondes sous l'eau.
Je dois me dépêcher, vu que je dois aller à la passerelle...
D'innombrables skavens se débattent dans l'eau déjà infiltrée et certains sont déjà morts...
Hop, hop, hop...
J'escalade un skaven me crachant dessus, et, prenant mon élan sur sa tête, avec la force de mon pied, sa tête tourne dans un angle improbable...
Après, j'atterris sur les têtes de plusieurs autres,je fais la même chose, jusqu'à ce que je tombe sur la tête d'un rat-ogre.
Mais que fait-il là ?!
Il me grogne dessus, j'essaye tant bien que mal de me débattre et de m'enfuir, mais il me serre trop fort...
Je pense que je suis mort, quand tout à coup, j'aperçois une faille dans le géant...
Il a une grosse cicatrice couturée...
Je me demande ce que cela fait si je trie dessus...
Et Bim !
Il s'effondre.
Dégoûtant.
Mais je n'ai pas le te'ps de raconter mon exploit, je dois arriver dans la passerelle...
...
...
...
J'y arrive, enfin !
J'ai fait explosé un hangar, j'en ai brûlé un autre, j'ai du démolir la moitié de la garnison de rats-ogres, la moitié des skavens doivent être morts, et je me suis trempé la jambe quand le canon a tiré !
J'espère que je n'ai rien endommagé..

Malheureusement, je ne pus me réjouir bien longtemps. A peine fus-je installé parmi les rangs de moussaillons puants que les eaux sombres commencèrent à s'agiter. Je vis alors avec effroi que le Rachitique se mettait en marche : il se préparait à replonger. Il semblait aspirer de l'eau, si bien que cela forma de violents courants qui convergeaient vers lui en de multiples tourbillons. D'énormes vagues s'écrasaient avec fracas contre les parois métalliques du navire. Les guerriers autour de moi semblaient anxieux, ils ne comprenaient pas pourquoi la barge s'était mis à avancer à une telle allure vers le navire. Le pilote sorti en trombe de la cabine, l'air paniqué.
-Il n'y a rien à faire ! Nous allons nous écraser-écraser!
Une vague de peur envahit le bateau. Tous se mirent à murmurer, d'autres s'agenouillaient et priaient le Rat Cornu. D'autres encore plus idiots, se jetèrent à la mer. Nous nous rapprochions dangereusement du Rachitique. Je me dirigeai vers l'avant de la barge. Il restait à peine une dizaine de secondes avant la collision. Je vis alors une lueur verdâtre à bâbord. Le canon axial s'apprêtait à tirer. Je me retournai vivement pour faire face au Rachitique. Emportés par une violente vague, nous nous écrasâmes contre lui.

L'impact avait été violent. Il ne restait de la barge que quelques planches de bois, les seules qui n'avaient pas été emportées par le courant. Il n'y avait, en revanche, pas la moindre trace de l'équipage. Ils avaient tous été broyés contre l'énorme navire, ou emportés dans les sombres abysses. Accroché à la paroi inclinée du Rachitique, je me mis à avancer prudemment mais rapidement vers l'endroit où se situait l'entrée. J'avais bondi de la barge au moment opportun, et cela m'avait sauvé la vie. Accroché à quatre pattes, les griffes tellement enfoncées dans le métal que j'en avais les pattes en sang, je commençai ma courte ascension. La porte n'était toujours pas en vue. Le halo vert se faisait de plus en plus intense. J'accélérai, risquant de glisser. Je l'aperçu alors, la passerelle. Je vis les derniers destroyers atteindre la hangar en parvenant, tant bien que mal, à passer la porte sans s'écraser contre le navire. J'aperçus alors la silhouette d'un de mes compagnons qui se débattait, sous l'emprise d'un Rat Ogre. J'arrivai à proximité alors que la créature s'effondra. Skriff sauta rapidement et atteignit la passerelle juste avant moi. Il ne m'aperçut pas, plongé trop profondément dans ses pensées. Soudain, le Rachitique se mis à bouger. Il plongeait ! Tout tremblait, tandis qu'il commençait à s'enfoncer sous l'eau. J'eus à peine le temps de me réfugier à l'intérieur qu'il fut pris d'une violente secousse, alors qu'un bruit tonitruant résonna alentours, faisant trembler l'air. Le canon avait tiré, et le Rachitique était désormais de nouveau sous l'eau.

Les secousses sont phénoménales, même le destroyer qui est loin d'être aussi frêle que les minables barges est ballotté dans tous les sens et je m'accroche autant que possible pour ne pas me retrouver éjecté fissa, destiné à une mort par écrayade, une mort plutôt rare qui combine l'écrasement contre une construction navale colossale (ici, le Ratchitique) et la noyade dans des tourbillons gargantuesques aquatiques. Bref, n'ayant aucune envie de me faire écrayadé je verrouille mon attrape-chose en position fermée sur une rambarde qui m'a l'air solide et plante mon poignard le plus fort possible dans le sol. Une vague géante submerge alors le destroyer et je dois lutter pour ne pas être emporté comme les skavens que je vois défiler devant mes yeux.

Lorsque le destroyer s'extrait de cette submersion inopinée, nous arrivons enfin au hangar. Loué soit le Rat-Cornu ! Que l'on chante Ses louanges pour des siècles et des siècles !
Mais à l'intérieur c'est la cohue la plus totale, des centaines de skavens luttent pour s'élever au dessus du niveau de l'eau qui monte rapidement. J'entends un grincement métallique monstrueux derrière moi, la porte du hangar se referme pour éviter qu'il ne se retrouve inondé. C'est la panique la plus totale ddu mauvais côté de la porte : tous les skavens repoussent leurs limites pour atteindre l'intérieur, se sachant condamné à l'écrayade atroce s'ils n'y arrivent pas. La porte se referme finalement alors qu'une barge n'est pas encore passée entièrement, les skavens couinent de terreur, se marchant les uns sur les autres pour éviter l'issue fatale mais la barge est bientôt coupée en deux, dans un bruit écoeurant de skavens broyés.

Je reprends mes esprits au moment où mes oreilles se débouchent de l'eau de mer. Je prends de plein fouet auditif la cacophonie totale qui règne ici. Me rappelant de mes ordres je me dirige vite vers une échelle, prenant soin de rester hors de vue des autres agents de Ralexxy. D'ailleurs celui qui se bat avec le rat-ogre c'est pas celui qui chevauchait un monstre marin tout à l'heure ?
Alors je j'avance je marche sur quelque chose de mort, Quaal ! L'agent double à la solde d'Uzaël ! Je ne résiste pas au plaisir de lui trancher la tête pour l'offrir à Ralexxy et en profite pour prendre la hache runique naine que par miracle la rigidité cadavérique lui a fait garder sans son unique main restante.
Je m'enfonce alors dans les coursives labyrinthiques du sous marin pour y retrouver mon employeur en toute discrétion.

Le Rachitique commence à plonger, le canon axial verdit, signe d'un tir imminent. A vue de moustache-nez, je dirais une trentaine de seconde. D'immense vagues et des courants infernaux se déchaînent autour du sous-marin. Mais mon bateau avance vite, j'y suis presque. Tous à coup, le bateau tourne, il s’éloigne du Rachitique. Mais que ce passe-t-il ? Je cours voir le capitaine, ses moustaches tremblent, il est en sueur, son visage est pale, il pleure. Mais que ce passe-t-il ?

Ditz : Pourquoi a t-ont changer de cap ?! Pourquoi ne va-t-on plus vers le Rachitique ? Il y a un problème ?
Capitaine : Le... le bateau... la coque du bateau...
Ditz : Elle a quoi la coque ! Parle sinon je te tue !
Capitaine : Elle... elle est fissurée-brisée... si il y a trop de vague... elle va se cassé... et nous... nous allons couler !!!

Mince ! Comment faire ? Si nous essayons d'aller vers le Rachitique le bateau va se casser et nous allons couler-mourir, je ne sais pas nager ! Mais si nous nous éloignons du Rachitique, le canon nous tirera dessus et nous tuera ! Que faire ? Réfléchit Ditz ! Réfléchit vite ! Bon je vais essayer de rejoindre le Rachitique avant sa plongée. Tant pis si le bateau coule, il est remplit d'incapable.

Ditz : Change le cap ! Direction le Rachitique !
Capitaine : Mais... mais...
Ditz : C'EST UN ORDRE !!!!
Capitaine : NON, il y a des dizaine de skavens sur ce bateau, il faut essayer de les sauver. Je n’obéirais pas, je ne pourrais pas vivre après avoir fais cela ! Et vous, pourrez vous vous regardez dans une glace après les avoir tués. Oui, si on va vers le Rachitique on va les tuer. Tout les Skavens ont le droit de vivre. Nous sommes tous égaux, ce n'est pas parce que on est plus grand, plus riche, plus malin qu'on a le droit de faire ce que l'on veux, tuer-torturer-emprisonner les autres. J'ai un rêve qu'un jour, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. Et si nous voulons être une grande nation ceci doit se faire. Même si je sais que je serais mort avant ce jour. Je rêve d'une démocratie, où tous les Skavens pourront exprimer leurs idées.
Ditz : Change le cap, sinon je vais devoir te tuer. Et puis, chaque instant de la vie est un pas vers la mort, et le chemin de l’équipage se termine ici.
Capitaine : Je n’obéirais pas, je ne serais pas un monstre, je serais un martyr

Bon je vais devoir le tuer, je lève mon pistolet et le pointe vers lui, il ne bouge pas, il est calme, il n'a pas peur. Je presse la détente. Voilà un problème de résolu. Je fais tourner le bateau.M Nous nous rapprochons vite du Rachitique. Je m'accroche fermement, les vagues essayent de n’emporter en dehors du navire, mais je tiens. Beaucoup de Skavens n'ont pas cette chance et finissent dévorer par les monstres marin. Soudain j’entends un bruit, le bateau craque, le pilote avait raison. Le bateau dévie et se sépare en plusieurs partie. Moi et l’arrière du bateau allons nous écraser contre la coque du Rachitique. Il faut que je lance malefoudre pour percer la coque du sous-marin et limiter l'impact. Mais je n'ai plus qu'un bras, si je lance un sort je ne serais plus accroché au bateau. Ce n'est pas grave, il faut que j'essaye. Je me concentre, lâche le bateau tire malefoudre, mais au dernier moment une vague me fais trébucher et mon tir ne touche pas sa cible. Mon morceau de bateau coule. C'est la fin, cette fois je vais mourir... Est-ce que ma vie valait la peine de tuer autant de personne, ça je ne le sais pas...

Electric, Rachitique, Vagues, trente seconde, mort .
Tout cogite dans ma tête. Il faut que je réfléchisse et vite !
Le destroyer ne va pas assez vite a mon goût et les guerriers on l'air apeuré par l'idée que je pourrais me venger et en colère car leur plan de abandonné n'a pas réussi.
Je sort le pistolet de ma besace et vise celui que j'avais nommé pour me remplacé entre les deux yeux.
N'étant pas très bon tireur la balle atteint l'épaule.

-METTEZ LES MOTEURS AUX MAXIMUM !!!

Ils s’exécute mais l'Electric ne va toujours pas assez vite.

Plus que vingt secondes.

Je regarde l'eau et voit un cadavre d'humain flotté ainsi qu'un planche de bois d'un mètre. Je regarde le pont et voit une ratling. Puis tour a tout je regarde la ratling, le cadavre et la planche. je cours et prend la ratling, je saute par dessus le pont, atterrie sur la planche puis retire la ceinture du soldat et attache la mitrailleuse à mon "embarcation".

Plus que dix secondes.

Ni une, ni deux j'appuie sur la gâchette. Me voila flottant sur les flots à la vitesse d'une roue infernale en position de surfeur. Même Ralexi aurait été envieux de ma fabuleuse idée.
Je dépasse très rapidement le destroyer et je suis flatter de la mine déconfit de son équipages.
Je ne suis plus qu'à trois mètres du rachitique, quand mon embarcation s’arrête net. Je suis propulsé en avant et atteint la porte du hangar.

Plus que cinq secondes.

Je suis sauver mais j'ai vu distinctement ce qui a fait stopper ma course folle : Une main, une main de skaven, une main plein de poudre de malpierre; une main de technomage .

La forme noire du Rachitique termine de s'enfoncer sous les eaux. Mais pourtant, on distingue encore parfaitement le vaisseaux sous l'océan sombre. Peut être est ce à cause de l'intense lumière verte qui se dégage de se proue. Quelque part, dans le palais du gouverneur, là où les ruines laissent entre-passer un rayon de soleil de l'aube naissante, un skaven se réveille. Il se rappelle vaguement une histoire de câble, un étrange vol forcé, un collègue au réveil, et le trou noir. Pourtant, loin de s’inquiéter de sa mémoire, c'est le silence qui interpelle le skaven noir, pas e piaillements singuliers de centaines de guerriers des clans, pas d'échos de bataille, pas de cris humains affolés ... juste le silence. Alors, il se risque à regarder par la fenêtre, gigantesque trou dans le mur, percé par le crash d'un ratvion, dont il n'a évidemment aucun souvenir. Au loin, quelque chose brille très fort, très-très fort. Il ne lui faut pas longtemps pour comprendre ce que c'est, et avant d'être réduit en poussière par une vague d'énergie chaotique démesurée, il lâche ces quelques mots qu'il emportera dans le néant avec lui, la bonne parole skaven:

"Et merde !"

De retour sur la passerelle du Rachitique, l'ambiance est morbide, Karlzor fixe sévèrement chacun des agents du clans Mors. Pour l'instant, seul le guerrier d'os et l'assassins du gouverneur sont rentrés. Manquent encore au bataillon: le guerrier en armure, l'assassin infiltré, le technomage sourd et l'autre dégueulasse. En parlant du loup, voici Uzaël qui débarque, seul. Il traîne derrière lui le fameux intéressé par la queue, un prêtre de la peste qui crache et recrache de l'eau comme s'il en avait plein les poumons. L'agent de l'amiral, dévisage l'assassin, ce qui provoque chez ce dernier, un gémissement de peur bien évalué. A l'exception du prêtre qui termine de cuver son eau de mer, les cinq intéressé se fixent sans dire le moindre mot. C'est finalement Karlzor qui prend la parole:

"L'ordre de retraite était un faux, il n'y a jamais eu de flotte tiléene. Nous avons dérouté, perdu des troupes, du matériel et des navires ... pour rien."

L'annonce est un choc pour tout le monde.Quoi ? Toute cette cavalcade contre la mort, tous ces efforts, pour un mensonge ? Evidemment, l'heure n'est pas à l'énervement, l'amiral étant déjà au summum de la rage, désirant plus que tout le coupable. C'est à ce moment là, que Ralexy intervient. Comme s'il s'était évader (le sort), il apparaît en plein milieux de la pièce. Avant qu'il n'ait dit le moindre mot, Sept armes létales de tout genres sont pointées sur lui.

"Ça fait beaucoup de traître pour une journée non amiral ?"
"Je ne te le fais pas dire vermine !"
"D'abord notre amis ici présent qui pense passer de côté d'Uzaël sans que le sache, le commandant de l'un des destroyers qui refuse d'obéir et que je dois faire exécuter et enfin l'autre techno-débile qui n'est pas foutu de revenir en vie à bord."
"La ferme ! C'était toi n'est ce pas ?"
"On peut dire ça comme ça ... la phase 1 du test se terminant par la réussite du débarquement, j'étais trop impatient d'attendre que tout le monde soit revenu à bord pour entamer la phase 2.C'est uniquement cela ..."
"Espèce de serpillière à fientes ! C'est quoi la phase 2 de ton plan ?!"
"Mon plan ? Pas mon plan, celui du conseil ..."
"Le ... le conseil ? Qu'est ce que tu racontes bordels humain ?!"
"Tu ne croyais tout de même pas que le clan Mors a construit ce navire uniquement pour que Scorbut tue quelque nabots pour lui ? Bien sûr que non,le Rachitique n'est rien le premier prototype de notre avènement Hahahaha !"

Alors que la tension arrivait à son comble, Karlzor vida ses pistolets sur la tête hilare de Ralexy, hélas pour lui, les balles le traversèrent sans rien rencontrer d'autre que du vide. Bouche bée, Karlzor resta immobile de longues secondes, secondes durant lesquelles il affronta le regard moqueur du technomage. Ce fut finalement Uzuaël qui reprit la conversation.

"Tu te sert d'une variante de la magie d'évasion pour ne projeter que ton image c'est cela ?"
"Si c'était là une question, tu tombes dans mon estime stupide charognard."
"Va te faire mettre par un homme-bête ignare ! Tu ne dois pas être très loin, cette magie n'a pas une portée faramineuse."
"Encore une supposition ? Sais tu faire autre chose que douter incapable ?"
"Fermes là et dis nous en quoi consiste ton test. Un bavard comme toi vas sûrement nous le dire tout fier de lui."
"Pour une fois exact, tu me connais bien. Le programme Rachitique va bien plus loin que le simple sous-marin, il consiste à mettre au point l'arme de domination ultime du rat cornu: les vaisseaux des étoiles."

Le silence fut total, si la situation n'avait pas été aussi sérieuse, certains auraient bien rit d'une telle déclaration, mais certainement pas en ce moment même. Ralexy se tourna vers la grande baie vitrée de la passerelle. Les protagonistes suivirent son regard des yeux. Les ténèbres du fond des mers n'étaient à peine illuminées que par le brasier de la ville humaine en surface. Rien d'anormal, jusqu'à ce que de nouvelles vibrations viennent ébranler le navire. Karlzor injuria les techniciens sur le pont, leur mandant une explication.

"La canon axial va tirer chef ! On ne contrôle rien, mais ça ne ressemble pas aux tir d'avant-avant, il y a beaucoup plus-plus d'énergie ce coup-ci."
"Comment ais je pu être aussi aveugle ... amiral vous avez un gros problème."
"Qu'y a t'il Uzuaël, quel est ce cirque ?"
"Ce n'est pas un simple canon ... c'est une porte."

Comme les autres fois, la structure fut ébranlée lorsque l'énergie fut libérée. Mais après l'éclaire aveuglant, ce que les skaven présent sur la passerelle purent admirer, les choqua tous. Juste en face d'eux, en face du vaisseaux, derrière un halos énergétique verdâtre, le ciel étoilé. Ils n'avaient pas besoins de notions poussées en physique, en magie ou autre pour comprendre de quoi il s'agissait. Les mots d'Uzaël suffisaient amplement, une porte, une porte sur les étoiles. Ralexy, fier du petit effet qu'il venait de produire, se lança dans un petit cours d'histoire.

"Il y a sept ans, le conseil a obtenu, apparemment des mains de Dieux lui même, les plans d'un portail. Ce portail, nous a mener sur Morsliebb où nous y avons établis une base. Seuls les meilleurs ingénieurs des clans appartenant au conseils étaient au courant, voilà pourquoi tu n'en a jamais entendu parler stupide charognard d'Uzaël. A partir de la lune, du présent, se procurer des sources d'énergies toujours plus puissantes ne fut plus un problème. D'ailleurs n'est ce pas ce qui t'avais mené ici charognard, cette malepierre de treize tonnes ? Il n'en existe pas de pareilles sur terre, mais il y en a tellement sur le présent u rat cornu, que nous pouvons les gaspiller comme bon nous semble. Si le réacteur est détruit, quelle importance, il nous suffit de retourner dans les carrières de Morsliebb en chercher un autre. Cependant, le conseil voulait utiliser toute cette énergie à bon escient, c'est pour ça qu'ils voulaient de gigantesques navires célestes pour ravager le monde. Des navires partit de Morsliebb pour amerrir n'importe où dans le monde et semer la dévastation. Voici le but du Rachitique, tester la résistance de la structure d'acier à la pression d'un court voyage dans l'espace avant de tester sa résistances à la fournaise engendrée par la redescente sur Terre, car si le Rachtique peut ouvrir une porte vers la base de Morsliebb où il y a les installations adéquates, il ne peut faire de même pour retourner sur terre, à moins qu'il ne se rende à Skarogne, car là aussi se trouve un portail. Dans quelques minutes, treize pour faire durer le plaisir, nous passerons entièrement la porte et à ce moment là, vous pourrez bien priez pour que le test soit une réussite, sinon, nous mourrons tous Mouhahahaha !"

Tous les regards se croisaient et se recroisaient, les yeux exorbités par tant d'informations aberrantes. Un voyage dans les étoiles, une porte qui y menait, un présent du rat cornu, Morsliebb ... beaucoup trop de choses simultanées. Karlzor fut le premier à réagir, il se précipita en hurlant vers un pan du mur, qui bascula quand il percuta. Une vitre vint se refermer derrière lui, l'emprisonnant dans une sorte de petit pièce secrète.

"Saligauds, je survivrai et je te ferai la peau. Heureusement que je t'ai demandé de tester ce système de secours avec moi le premier jour, je sais à présent qu'il marche parfaitement. Je vous souhaite bonne chance tous héhéhé, fuyez donc avant que cet allumé ne commence son expérience, du moins, si vous y arrivez pauvres fou !"

Hélas pour lui, alors qu"il continuait à rire, les skaven à bord de la passerelle qui le fixaient, virent bien avant Karlzor que sa petite pièces se remplissait d'eau. Sentant un froid au niveau de ses chevilles, il tomba de haut quand il se rendit compte de ce qu'il se passait.

"Ralexy ! Qu'est ce que ça veut dire ? Je .. je vous ai demandé de le tester avec moi le premier jour, il .. il marchait !"
"C'est tout à fait normal, une capsule de sauvetage ça ne marche qu'une fois."
"Espèce de traître !"
"Non, je suis à la lettre les ordres que je reçois d'en haut."
"Ne vas pas me faire croire que le coup bas du système de secours défaillant faisait partie de ton cahier des charges ?!"
"Si."

Karlzor cessa de tambouriner vainement contre la parois de verre, le coup était dur, lui, le grand amiral du clan Scorbut ... sa survie n'avait jamais fait partie du plan, malgré toutes ses qualités et son absence irréprochable d'erreurs. Dépités, il commença à faire la grimace et à pleurer comme un bébé. Tout le monde continua à le regarder ainsi jusqu'à ce que l'eau dépasse son visage et qu'il change progressivement de couleur. Enfin, le moment de distraction passé, Ralexy leur rappela gentiment qu'il ne restait à présent qu edix minutes, avant que son image ne disparaissent définitivement. Uzuaël hurla alors:

"J'en ai plain le cul de tes comptes à rebours débiles !"

Joueurs Baptiste, Skriff et Clunny :

Vous commencerez sur la passerelle en compagnie d'Uzaël. Celui-ci a perdu toute sa garde d'or (et il est très énervé contre Clunny). Il va tenter de fuir vers le réacteur où il pense trouver Ralexy. Quant à vous, vous êtes totalement libre de vos mouvement. A partir d'ici, il ne reste que trois posts avant la fin du RP. Tout ce que vous pourrez faire aura une influence sur la fin du role-play. Vous pouvez essayer de fuir tant que vous êtes encore sous l'eau avec diverses méthodes (relisez bien les post précèdent si vous manquez d'inspirations, vous y retrouverez peut être des éléments du Rachitiques que vous aviez négligé). Ou alors, vous préparez à ce qui vous attend une fois dans l'espace. Vous pouvez essayer de fuir vers la base de Morsliebb et utiliser le téléporteur pour rejoindre Skarogne (le Rachitique ne s'arrêtera pas à la base, il passera seulement à côté) ou vous préparez à la descente sur terre, en priant comme on vous l'a conseillé.

Joueur Watman :

Tu n'a pas vraiment compris comment, mais tu t'es retrouvé sur Morsliebb. Tu te trouve à l'intérieur d'une base hermétique et des skaven autours de toi, étonnés, te disent qu'ils t'ont trouvé sous la forme d'un glaçon pas très loin du bâtiment principal. Ils t'ont rapidement passé au four, mais ils n'aurait jamais cru que tu reprendrais consciences avant le repas (semi-noyé, tu as dérivé jusqu'à la porte, la température glaciale de l'espace à transformer l'eau autour de toi en glace. Celle-ci t'a sauvé car te voilà de nouveau à l'air libre. On t'explique rapidement la situation. A partir de maintenant, libre à toi, de parcourir la base pour retrouver le téléporteur vers la bonne vieille Terre (ceux qui ne risque pas d'arriver. Mais si tu préfère retourner à bord du Rachitique, il va falloir faire preuve d’imagination. Il arrivera dans dix minutes, mais ne s'arrêtera pas à la base. Comment comptes tu monter à bords.

Joueur Slagash :

Te voilà dans les salles des machines, tu ne sais pas où est exactement partit Ralexy, mais tu éprouves un sentiment qui ressemble fort à de la confiance. Ce techno se moque des promotions ou des hauts faits, ils ne travaille (et n'est employé) que pour exceller dans la confection de machines de morts toujours plus poussées (et explosives), personne ne s'est jamais résolu à le tuer car il est plus une marchandise productive qu'une personne ambitieuse, qui supprimerai un investissement qui n'a rien à faire de votre place, de votre argent ou de votre pouvoir ? Et tu es sa carte maîtresse, il ne t'abandonnera pas, alors tu n'as plus qu'à te soucier de la mission qu'il ta confié: Empêcher Uzaël d'endommager le réacteur avant la fin du test. Une fois hors d'état de nuire, Ralexy te contactera pour te donner le lieu de rendez vous pour l'évacuation. Cependant, Ratside erre lui aussi dans ces salles ...

Blanc... Rose.. Rouge... Violet... Vert... Bleu...
C'était amusant. L'amiral Karlzor changeait de couleur au fur et à mesure de se noyade. Enfin, amusant... Cela aurait pu l'être si la situation n'avait pas été aussi sérieuse. Pour le moment, je me fichais complètement du sort de ce pitoyable amiral pas fichu de mater correctement un technomage, son subordonné qui plus est. Il était un incapable, rien de plus. Je me fichais aussi de ce qui pouvais arriver à tous ces dégénérés, ils allaient tous mourir-crever de toute façon. Bien que la présence de ce fou d'Uzaël était inquiétante, comment avait-il fait pour revenir au Rachitique ? Encore une de ses inventions à la noix. Ou alors il s'était simplement évadé... En fait, je m'en contre-fichais. Si il semblait très en colère contre moi, comme le montrait l'expression haineuse qui se dessinait sur son visage chaque fois que nos regards se rencontraient, il n'allait certainement pas essayer de me tuer, car même si, par miracle, il parvenait ne serait-ce qu'à m'égratigner, il ne pourrait plus sauver sa vie. Or, il avait mieux à faire pour le moment. Nous étions sur la passerelle du navire, une sorte d'immense baie vitrée faite de plaques de verre plus épaisses les unes que les autres, servant aussi de support à la tuyauterie qui serpentait au-dessous, des bruits de liquides s'échappant du sol.

Nous étions seuls, il n'y avait pas un bruit, bien qu'une extrême agitation semblait provenir du navire. Je percevais en effet de nombreuses voix stridentes et lointaines. A ma gauche, il y avait ce seigneur de guerre, Skriff, qui semblait dépité. Nul ne savait pour quelle raison : peut être parce que son destin ne l'enchantait pas, ou parce qu'il n'avait eu le temps de vanter ses sois-disant exploits. De l'autre côté se dégageait une odeur pestilentielle, et de nombreux bourdonnements agaçant chatouillaient mes oreilles. Gorge-Putride ne disait rien, impassible, emmitouflé dans sa longue cape sale et usée, appuyé sur son long bâton noueux. Il semblait réfléchir. Ces rats-là m'exaspéraient. En les observant comme cela, je me rendis compte qu'ils avaient vraiment l'air pitoyables : un vieux débris maladif pourrissant sur place et un idiot incapable et bon à rien se prenant pour le meilleur escrimeur de tous les temps. Enfin, un rat encastré dans une boîte de conserve, incapable de quoi que ce soit sans protection, paniqué sans sa garde, et piètre pilote... Si ma vie n'avait été en jeu, je les aurais égorgés un par un ces... Je ne me souvenais même plus de leurs noms, tellement étaient-ils insignifiants. Je me demande de quelle manière le clan Mors recrute ses guerriers d'élites...

Dans l'immédiat, je ne savais que faire. Il me fallait réfléchir à ce qui serait le plus bénéfique pour moi. J'aurais tant voulu prendre la tête de cet empaffé de technomage, ce deuxième Uzaël dont j'ai oublié le nom... Mais son génie l'avait rendu fou, et il était inutile de le tuer puisqu'il mourrait de toute façon, et cela lui rendrait service à l'entendre... Puis je perdrais aussi un temps précieux, je ne pouvais pas me permettre de gâcher ma vie pour prendre celle d'un autre, il faudrait être complètement stupide. La meilleure solution, selon moi, c'était de rentrer à Bechafen et de faire un rapport à Clunny. Enfin... Tout compte fait... Il risquerait de me tuer. Cela ne lui plairait pas trop d'entendre que moi, le meilleur assassin du clan LandLubber, ait lamentablement échoué dans sa mission. Mais, s'il m'avait demandé de faire échouer le Rachitique dans sa mission, c'était pour deux raisons : le première était de nuire à son rival le clan Scorbut, et la seconde, bien moins importante, était qu'en fait, le clan Rictus lui avait lui même demandé un saboteur pour semer la confusion dans l'équipe d'élite du clan Mors. Si le clan Scorbut n'était pas impliqué plus que cela dans cette affaire en fait, le clan Mors si. Ce qui signifiait que la deuxième raison pour laquelle l'on m'eut confié cette mission passerait d'importance mineure à mission urgente, et je serais exécuté ou torturé dans tous les cas. Mais... Si j'agissais seul, Clunny me le reprocherait peut être aussi. Après tout, il n'était pas du tout au courant que le Conseil était l'organisateur de tout ceci, ni de la base secrète érigée sur Morsliebb. Cela pourrait l'intéresser, et il pourrait alors établir un plan. Il pourrait aussi me reprocher de ne pas avoir été suffisamment autonome et d'avoir été incapable d'agir seul. Que faire ?

Ma réflexion fut troublé alors que l'on me bouscula sauvagement. C'était Uzaël qui se rendait, me semblait-il, à la cabine de contrôle, sans doute pour faire la peau à ce satané Ralexy. En revanche, je vis que les deux autres nouilles avaient disparu. Je grognai, sans rien dire, seulement en montrant les crocs. Il me regarda avec mépris.
-Je m'occuperais de toi-ton cas après-plus tard. Dans l'immédiat, je vais aller massacrer-détruire cet asticot de Ralexy !
-Parce que tu t'en crois capable ? répliquais-je d'un ton empli de sarcasme. Je pense surtout que tu sais que ton heure-moment est venu, et que plutôt que de mourir-crever sans rien faire, tu préfères essayer de tuer-assassiner ton rival. Mais en fait, il t'a toujours surpassé, quoi que tu dises.
Il s'arrêta. Je souris. Mon plan marchait comme sur des roulettes. Les technomages sont si sensibles, surtout lorsque l'on met leurs rivaux sur un piédestal.
-Pardon ?! Qu'as-tu dis vermine ?! Répètes si tu l'oses ! tonna-t-il en se précipitant vers moi.
Si il était plus fort que moi, il était bien plus lent, et je n'eus aucun mal à l'esquiver. Lui donnant un violent coup du plat de ma lame sur le flanc pas protégé (je l'avais remarqué lors de notre première entrevue, car je cherche toujours le point faible de mes adversaires ou de mes coéquipiers avant de travailler avec eux, pour être sur de pouvoir me défendre en cas de trahison), il tressaillit et vacilla. Je lui donnai un léger coup de patte qui le fit chuter. Fou de rage, il se releva, mais j'étais déjà loin devant lui.
-Attends-moi sale rat puant, et viens donc te battre ! Je vais te faire manger tes yeux et t'étrangler avec tes tripes !
Il était vraiment trop lent, si bien que je fis une pause et attendit qu'il soit à une petite dizaine de mètres de moi pour repartir.

Cette course dura un moment. Nous quittâmes rapidement la passerelle pour s'engager dans un large couloir au plafond arqué, aux parois renforcées par d'épaisses plaques métalliques. J'entendais ses lourds pas qui martelait le sol de fer, produisant des tintements résonnant tout le long du couloir. Il n'avait aucune chance de me rattraper, et tant mieux pour moi, car il semblait réellement m'en vouloir. Soudain, un étrange bruit provint de derrière moi. Je bondis instinctivement à gauche et vis un projectile vert passer assez près de moi pour que j'en sente la chaleur. Il alla s'écraser contre le mur dans une explosion verdâtre qui provoqua un fracas assourdissant : il y avait désormais un énorme trou béant dans le mur. Cet enfoiré comptait vraiment me tuer, et était prêt à utiliser la magie si besoin en fut.

Au bout d'un moment, nous débouchâmes dans un vaste vestibule où s'amassaient de nombreux guerriers qui semblaient affolés. Un brouhaha assourdissant couvrit alors les pas de mon poursuivant. Je me précipitai dans la foule et me frayai un passage au milieu de la masse, poignardant un certain nombre de guerriers, tant par besoin que par plaisir. Je mis un certain temps avant d'atteindre l'autre bout du vestibule, l'oppression de la foule me ralentissant nettement. Lorsque je me redressai, je ne vis pas Uzaël au milieu des guerriers. Ayant un mauvais pressentiment, je courus vers le couloir et m'arrêtai un peu plus loin. J'avais eu raison de le faire, car Uzaël apparut de nulle part à l'endroit où je me situais il y avait quelques secondes. Déçu ne n'avoir pu me surprendre, nous reprîmes notre folle course à travers le Rachitique. Lui ne se doutait pas le moins du monde de ce que j'avais en tête.

Bien sur, il ne tarda pas à fatiguer, car en plus d'être moins endurant que moi, son lourd équipement était handicapant pour de longues courses. Je m'arrêtai alors. Comme je commençais à m'ennuyer, je sortis de sous ma cape un pistolet à malepierre (pistolet impérial que Trikk avait généreusement reconvertit avant de me le revendre à un prix exorbitant, sans m'épargner pour autant ses longs discours que font les technomages pour vanter leurs inventions) et le pointait vers Uzaël qui avait le souffle court et avançait tant bien que mal. Je tirai alors en plein torse. Bien entendu, je ne comptais pas le tuer, une simple balle de malepierre ne pouvait pas traverser une armure si solide, mais le choc fit qu'Uzaël trébucha et tomba lourdement en arrière dans un râle. Cela me fit rire de la voir les quatre pattes en l'air. Il se releva tant bien que mal, le souffle coupé. Il frappa le sol du point avant de se redresser et de marcher difficilement vers moi, s'appuyant contre le mur.
-Eh bien, si tu veux mon avis, tu ferais mieux de te reposer-reposer ! lançai-je. Cela ne doit pas être évident de courir avec une grosse carcasse comme la tienne.
Il ne répondit pas.
-Regardes à ta gauche, pauvre demeuré !
Il pivota et remarqua alors que je l'avais guidé jusqu'à la salle des machines. Un peu moins de cinq minutes s'étaient écoulées. Il reprit lentement son souffle, tandis que je m'approchais prudemment.
-J'ai un plan, lui susurrai-je à l'oreille, me rendant compte qu'il n'avait même plus l'envie de me tuer. Je lui en fit part, et il poussa un grognement approbatif. Il se redressa et entra alors dans la salle de contrôle, où se trouvait son rival.

Mais où suis je ? C'est le paradis ? J'ai l'impression d’être dans le futur, la technologie ici est beaucoup plus avancé que dans la base du clan Skyre, mais quelle clan à pus construire une base comme ça. Un clan inconnu ? Le clan Skyre ? Et comment ai-je fais pour atterrir ici ? J'essaye de me lever mais des sangles me retiennent, je suis prisonnier. Quelques technomage autour de moi me regardent bizarrement. Je sais que ce sont des technomage car certaine partie de leur corps sont mécanique, soudain l'un deux commence à me parler, mais je n'entend rien. M**** mes oreilles sont en panne. Avec ma main, la seule qu'il me reste je pointe mes oreilles en disant « Je n'entend pas, mes oreilles sont en pannes. ». Les scientifiques commencent à discuter, à leurs tête je vois qu'ils ne sont pas d'accord entre eux. Mais que vont-il me faire ? Me tuer ? Me torturer ?

L'un d'entre part en courant et revient quelque minutes plus tard avec des esclaves poussant un énorme chariot contenant beaucoup de matériel. Mais les esclaves sont bizarres, il sont grand, très musclé, plus que des vermines de chocs, et aucun Skaven ne les suit pour les fouetter, ils obéissent comme si c’étaient des machines. Les technomages commencent à sortir des outils et à me greffer de nouvelles oreilles mécaniques. À la fin de l'opération, mes nouvelles oreilles vibrent, puis j’entends de nouveau. Un technomage, sans doute le chef me dit « Tu m'entend ? Tu peux modifier la puissance de tes oreilles, elles sont relier à ton cerveaux.». Quoi !? Mes nouvelles oreilles sont relier à mon cerveaux, je mets mes oreilles à leur puissance maximale. J'entends le bruit des pattes de petits rats que je ne voit pas, le bruit des machines qui sont dans d'autres salles, la respiration des technomages, le frottement des poils de la peaux des Skaven de la salle La technologie ici est beaucoup plus avancé que chez moi !

Je leur répond « Merci, je suis Ditz, Grand Général en chef du reste de l'escadrille des Ratvions du Rachitique, Technomage en chef du labo 256b du clan Skyre et Agent du Clan Mors. Où suis-je ? ». Un technomage ce mit a sourire, et hurla « Vous voyez, on à bien fait de le sauver et de lui changer ces oreilles, c'est un grand technomage du Clan Skyre. Là on est sur Morsliebb, depuis 7ans nous travaillons ici et nous n'avons pas de nouvelle de Skarogne, que c'est-il passé dernièrement ? ». Quoi ! On est sur Morsliebb ! Mais comment est-ce possible ?! « Comment est-on arrivé sur Morsliebb ? » criai-je. Ils me chuchotent en cœur « Le Rat cornue est apparut aux membres du conseil des 13 et leur a donné un plan pour construire un portail spatio-temporel »

Le Grand Rat Cornu leur est apparu ! Et pas à moi ! Il faut que je visite cette base, et que je me ramène beaucoup de malpierre, et aussi que je vole des idée, et des machines ! Je leur chuchote « Je peux visiter la base ? ». Les technomages s’éloignent et commencent a chuchoter entre eux. De toute façon si il ne veulent pas je les tue-assassine. Le plus petit me fait un signe de la patte. Je m'approche, et il m'annonce discrètement « Suis nous on va te faire visiter, mais sois discret, tu n'a pas le droit d’être ici. »

Alors commence une incroyable visite, je vois des machines extraordinaire : des canons à malefoudre gigantesques, avec un seul tir ils pourraient détruire un navire des choses-hommes, des roues infernales avec à l’arrière un compartiment pour transporter une vingtaine de skaven, grâce à cela nous pourrions mener des attaques encore plus rapide, il y a un aussi le prototype d'un canon à malefoudre miniature, je pourrais le transporter dans mes mains, mais je ne peux pas le voler-emprunter car il y a beaucoup de garde autour. Je vis beaucoup d'autres machines, mais une attira mon attention plus que toute les autre, une exo-armure, comme celle de Ralexy, mais de la taille d'un géant, avec une mitrailleuse sous son bras gauche et des lames géantes à la place des mains.Je voulais rester ici, ne pas retourner sur le Rachitique.

Mais soudain, je me souvins, mon coffre contenant tous mon argent était dans le Rachitique. Je ne pouvais pas abandonné mon argent. « Je fais comment pour retourner dans le Rachitique ? » dis-je au technomage le plus proche.« Le Rachitique, dans 2 minutes il vas plonger et aller s'écraser sur le sol, si tu y vas tu vas mourir » me répondit-il amuser. « Ma plus grande invention est dedans, je ne veux pas qu'elle soit détruite ! » hurlai-je. Le technomage m'attrapa la main et me fit monter dans le géant en me criant « Le Rachitique arrive dans exactement 2minutes et 7secondes, tu vas courir jusqu'à la baie 13. On fois là bas, tu attendra le rachitique, tu sautera dessus avec l'armure, percera un trou dans la coque, rentrera dans le sous-marin, descendra de la machine, les couloirs sont trop étroits, tu ira chercher ton invention puis tu ira dans la salles des tanières des esclaves, un passage secret y est caché, tu sera en sécurité dedans. Bonne chance ! ».

Au commande du géant, je m’élançais, détruisant les salles, les couloirs, les inventions, écrasant des technomages, des esclaves. C’était vraiment amusant, je me sentais grand, puissant, avec cette armure je pouvais tuer-détruire n'importe qui, n'importe quoi. Même si un dragon, une abomination ou n'importe quel monstre était apparu, je n'aurais pas eu peur. Grâce aux grandes jambes du géants, je me déplaçais très vite, en moins d'une minute, j’étais arrivé à destination. Maintenant, je devais attendre

Ah...
Ma tête...
Tout ce qui se passe...
C'est trop dur...
Je pige rien...
J'ai faim...
C'est quoi ce bordel ?!
Tout le monde s'affole, tout le monde cours, le rat malade s'en va en clopinant, tant mieux, il me donnait la nausée.
L'assassin regarde partout un air de mépris caché sur ses moustaches.
Je m'en vais d'ici, c'est vraiment nul.
Je vais entrer dans le sous-marin chercher des esclaves à manger...
J'en salive d'avance.
Oh....
Douce odeur que celle d'un esclave malade et apeuré...
Avec plein d'autres esclaves...
Le paradis...
Mon flair, étant très développé, je réussi à atteindre la salle des esclaves.
Et la, que vois-je ?
La salle des esclaves...
Je sens que je vais me aire un bon casse-croûte moi...
Eh ?
Je me suis appuyé sur le mur, et un couloir est apparu...
J'entraîne quelques esclaves avec moi, surtout de force, presque pas de gré...
Et le mur se referme.
Merde, je suis enfermé dans un passage secret blindé !
Mais, je me souviens...
Le Rachitique va pas s'écraser ?

Ralexxy n'est pas du tout au point de rendez vous, mais peu importe il ne devrait plus tarder. Je patiente tout simplement dans la salle de machine, j'entends les bourdonnements des moteurs, le sifflement des tuyauteries, le gling gling des écrous mal vissés, les sifflements des soupapes de vapeurs, tous ces bruits m'enveloppent, et alors que le contrecoup de toute l'action qui vient de se passer en moins de 30 minutes, j'ai une sensation d'ivresse.

Je m'assied et commence à examiner la tête de Quaal ainsi que la hache runique que j'ai prise sur son cadavre. Celle ci a connu des jours meilleurs mais elle est encore d'une facture extraordinaire comparée aux lames les mieux forgées par les forgerons skavens.

Un bruit d'explosion à l'étage au dessus me tire de mes rêveries. Je laisse la tête par terre et entreprends d'arpenter la salle en surveillant les entrée. Soudain je distingue de lourd pas métalliques qui résonnent dans une coursive. D'après le bruit il s'agit d'un skaven en armure lourde, ou au moins très lourd. Je me dissimule à proximité de l'entrée par laquelle le visiteur va arriver pour lui enfoncer mon poignard dans les cervicales et...

J'ai juste le temps de changer de cachette, le skaven est entrée par un autre couloir ! J'ai été berné par la résonance de ses pas et le foutus brouhaha de la salle des machines !

C'est Uzaël ! Il a l'air à la fois terriblement inquiet et en colère. Profitant du fait qu'il soit plongé dans ses pensées je le suis. Il se dirige vers le réacteur, je ne sais pas ce qu'il veut faire mais cela va sans aucun doute contre la volonté de Ralexxy ! Si je tue ce technomage j'aurai fait l'étalage de mes compétences en tuant deux traitres dangereux dans la même journée !
Je m'approche, près à lui briser le coup de mon attrape chose, mais je vois ses poils se hérisser et en une fraction de seconde il se retourne.

- Tu pues le skaven mouillé pauvre idiot ! Qui es-tu ? Répond immédiatement où je te tue-tue sur le champs !


Je me jette sur lui avant même qu'il ait fini sa phrase et nous engageons un corps à corps sans merci. Mais il est trop bien protégé, mon attrape chose glisse sur son armure et je n'ai pas assez d'allonge avec mon poignard. Uzaël commence à riposter, un coup dans le torse, puis un autre, et je sens mes côtes se fêler. Sa force est prodigieuse.
Je tombe. Il pousse mon poignard du pied et me toise de toute sa hauteur, près à délivrer le coup final.

-Pauvre imbécile, je n'ai pas de temps à perdre avec toi, je dois éviter une catastrophe majeure.

Son pied se lève pour m'écraser la gorge, alors je roule sur le dos pour l'éviter. Je crie de douleur mais je sens en même temps la hache runique que j'avais à la ceinture ! Sans réfléchir je la saisie et la lance en direction du technomage. Elle se plante dans son épaule et la magie naine perce son armure comme du papier. Uzaël crie de surprise, mais il retire la hache et sort un pistolet à malepierre.
Je n'ai pas le temps d'esquiver, je reçois le projectile dans la hanche et tombe, au bord de l'évanouissement.

Je distingue à peine la forme d'Uzaël qui se dirige vers les réacteur lorsqu'une odeur distinctive me parvient aux narines. L'odeur du clan Pestillens. Une forme énorme passe alors devant moi en m'ignorant complètement. Le projet Ratside !
Il n'a pas l'air d'avoir vu Uzaël. Si j'arrivais à attirer son attention sur le technomage...

En serrant la mâchoire pour ne pas gémir, je ramasse un gros boulon au sol et le jette sur le rat-ogre expérimental et refait le mort.

J'ose à peine entrouvrir les paupières, mais je vois que le monstre s'est retourné et se dirige à présent vers les réacteurs, et donc vers Uzaël...

Je m'évanoui.

Treize.
Treize c'est le nombre de minute avant que l'on soit dans l'espace.
J'expose rapidement toute les possibilité dans ma tête, et là, une idée me vient.
Ni une, ni deux, je m'élancent au pas de course dans les couloirs du rachitique, laissant skriff tout seul.
Je tourne à gauche puis à droite, puis encore à gauche jusqu'à tomber sur une salle: la salle d'armement.
Je tourne la clenche, mais la porte ne s'ouvre pas. N'ayant pas de temps à perdre, j'enfonce la porte avec mes dagues.
La salle est remplis d'armement. Il doit y avoir une quinzaine de roue, une cinquantaine de canon plus de 500 armes régimentaire.

Je distingue une roue plus grande que les autres caché au fond. Elle possédait en plus un rembourrage de ses roues en acier et des lames en malepierre. Pour que mon plan réussisse il me faudrait surement une ratling et un lance-feu.
Je les accroche rapidement à la roue. Je m'assoie ensuite sur le siège du conducteur, enfile le masque de contrôle et appuie sur un bouton. La roue est alors propulsée en un bond à l'autre bout de la salle en brisant de nombreuse caisses en bois. Je me rends compte que ma vitesse n'est pas très grande et invoque donc des rats. Ceux-ci font avancer de plus belle l'engin. Je me retrouve rapidement dans le couloir, et pour ne pas me mangé le mur de celui-ci, je tire sur un levier. La roue part donc sur la droite. Je regarde derrière moi, dans mon sillage, des rats morts. Voulant freiner j'appuie sur un autre bouton et des éclairs de malefoudres puissant font explosé la porte du "chenil". D'autres éclairs sont propulsée un peu partout et de nombreuses cages sont brisée, laissant sortir leurs habitants. Entendant un rugissement provenant de la fumée et voyant une ombre se dessiner, je décide de retirer une protection dévoilant un gros bouton rouge.
J'appuie dessus.

Vrrrrrrrooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooouuummm

Me voila propulser à une vitesse folles, déambulant dans les couloirs et pulvérisant tout avec les éclairs de malefoudres.
Mais derrière mois, un bruit sourd, des pas. Une meute. Un rugissement me parvient, il est loin. Les bêtes du clan mouldere me poursuivent.
Nouveau rugissement, plus près.
Je tourne à gauche puis à droite. Puis je tourne à nouveau à droite, cul-de-sac.
Je suis acculé. Rapidement des rats-ogres arrivent, puis des rats-géants. Une créature inconnu arriva en dernier. Elle faisait la taille d'un croc de sabre mais elle avait une tête de rat, des ailles de griffon, des griffe de loup, des pates arrière de cheval et un gros "tas de pus" de la taille d'un poing de rat-ogre sur le flanc.
La meute s'approche de moi.

"Activation de la porte" rugissent les parle-loin, la voix, toute frétillante d'émotion, de Ralexy est reconnaissable entre dix milles.

Joueur Baptiste :

C'est fini, tu voix la meute qui te fonce dessus, le message audio passe inaperçus au milieux de ce capharnaüm de hurlements. Mais soudain, un bruit métallique prend le pas sur les cris de bête. Comme si le monstre d'acier gémissait, toute la parois au fond du couloir commence à se fissurer. La déchirure s'étend rapidement jusqu'au troupeau, et dans un mélange de cris de colères et de terreur, la meute est aspirée dans le vide spatiale. Ta roue infernale est bloquée entre la parois et semble résister, dans un premier temps, à cet effroyable appel d'air. Mais lentement, elle glisse vers la fissure. Tu vas toi aussi, être aspiré dans le vide des étoiles. c'est alors qu'une porte de sécurité descend du plafond, sans doute pour empêcher l'eau de monter en cas de trou dans la coque, mais dans la mer. La porte est déjà suffisamment descendue pour bloquer la roue dans son élan. Juste le temps qu'elle finisse de se refermer et tu pousse un soupir de soulagement. Avant de te rendre compte que tu est bloqué entre cette porte et le cul de sac. Mais cette porte est placée ici pour bloquer "l'eau", c'est forcement qu'il y a une autre issue ?

Joueur Slagash & Clunny :

Le maître des bête reprend soudainement conscience, quelqu'un arrive droit sur lui. L'assassin stoppe illico sa course lorsqu'il l'aperçoit se relever et se saisir de son attrape-chose. Ils se toisent du regard, font quelques pas de côté, il est clair et net que Clunny veut se rendre au réacteur, et l'agent de Ralexy n'a pas l'intention de le laisser passer. C'est alors que quelque chose passe à une allure phénoménal entre eux, pour aller s'écraser contre la parois d'acier la plus proche. Cette chose, c'est Uzaël, le torse percé d'un trou gros comme une tête. On peut voir le mur au travers. Les deux skaven se retournent alors pour voir la source de se fulgurant lancé. Dans le sombre couloir, ils ne voient rien, ils n'entendent rien. Sinon le bourdonnement d'un canon Zappp qui refroidit. Ratside apparaît dans la pénombre.

"Activation de la porte"

Le navire est parcourus par d'énormes secousses, vous avez énormément de ma là restez sur vos deux jambes, l'installation électrique devient instable, certaines conduites de gaz ou de fluides cèdent sous la pression. C'est le moment ou jamais pour vous en prendre à votre adversaire, attaquer Ratside désorienté ou bien fuir, tout simplement.

Joueur Watman :

C'est incroyable le Rachitique émerge de la porte d'énergie obscure. Tu active les propulseurs de ton armure pour le rjoindre, il y a bien un kilomètre de distance entre lui et toi. En chemin tu croises, des rats-ogres, rat-géants et autres rats-gryffons-cheval. Tu es tellement interloqué sur leur origine que tu ne vois pas le tir de canon à malefoudre venir. Tu l'esquive plus par manque de précision des artilleurs que par talent. Les tourelles encore en état de marche du sous-marin, profitent de te présence pour tester les systèmes d'armement dans l'espace, surement un coup de Ralexy pour t'empêcher d'atteindre le vaisseaux. Prêt à jouer au pigeon et au canons ?

Joueur Skriff :

Quel étrange passage, comme tu n'a rien d'autre à faire, tu le suis en marchant, tout en grignotant ton esclave vif. Les secousses et autres dysfonctionnements n'ont pas l'air de t'affliger plus que ça. Tu finis par arriver dans une étrange pièce après avoir passé un sas laissé ouvert. Il y a des tas de commandes qui brillent, un technomage est affairé sur un siège à régler quelque chose, tu poses ta main griffue sur son épaule et reçois une décharge électrique. Sonné, tu recule de quelque pas, le technomage se retourne vers toi, visiblement aussi sonné que toi, ce n'était pas volontaire, il semblerait que c'était juste un dysfonctionnement intempestif. Fichus technomages, pas capable de bricoler convenablement. Tu le  reconnais, c'est l'agent Rixby.

"Que ... qui t'a invité dans la capsule de sauvetage hermétique, conçue pour résister à une descente atmosphérique, du maître ?"
"Tu m'en a pas dis un peu trop là ?"
Quoi ? Moi en dire trop ? C'est pas comme si j'avais dit que Ralexy voulait s'enfuir par là si les choses tournaient mal, non ?"

Mouahaha, j'adore les agents de Ralexy, ils sont si... idiots !
Après avoir expliqué à Rixby que je savais tout des plans démoniaques de Ralexy (celui-ci en fut même très étonné), je ne savais pas quoi faire.
Je me poste devant la porte de la capsule (à l'intérieur évidemment) et je monte la garde.
Tout à coup, les portes se referment, et Rixby me regarde d'un œil sombre...
"Qu'est-ce-qu'il y a encore ?
-Eh bien, Ralexy va s'enfuir via sa première option de fuite dont je ne sais rien, donc je peux décoller mais ...
-Mais ?
-On a besoin de deux technomages pour piloter."
Stupeur.
Moi piloter ce truc ?
Jamais !
Mais, sinon, comment vais-je faire ?...
"Tu propose quoi ?
-Pour nous sauver tous les deux, il faut que je t'apprenne le pilotage sur le tas...
-Ça va me servir à quoi ?
-À survivre !
-Mmh... D'accord."
S'ensuivit un apprentissage de dix minutes pour m'expliquer les rudiments, dans lesquels je fus étrangement doué.
Il m'appris donc d'autres choses plus complexes que lui-même avait du mal à maîtriser, mais, quand il vit qu'il ne nous restais plus que 5 minutes, il me poussa vers les commandes et me demanda de me concentrer à fond sur les jauges, lui, se contentait de diriger le vaisseau dans l'espaçe.
C'est ainsi que, la capsule disparaissant, nous quittâmes le Rachitique.

L'espace est vraiment rempli de créatures bizarres, comment ce fait-il qu'un rat-griffon-cheval soit dehors, de toute facon, il n'arrive pas à respirer, il va bientôt mourir. Un rayon laser m'arrache a la contemplation de ces sublime créatures, créée par mes pairs. Mais qui me tire dessus. C'est le Rachitique ?! Le Rachitique me tire dessus !? Mais que ce passe-t-il !? Mes collègues veulent me tuer ?! TRAHISON !!! Mon coffre à du être pillé ! Ma vengeance sera terrible !!! Il essayent de me tuer, mais ils ont oublié que je suis le meilleur, personne ne peut me toucher, je suis immortel. Un missile arrive à ma gauche, un petit coup de propulseur et voilà une belle esquive. Un rayon laser arrive, je me plie en deux pour l'esquiver. Un deuxième, ils n'ont toujours pas compris qu'ils ne me toucheront jamais ! Une rafale de missile est tiré du Rachitique, j'en esquive une grande partie, mais quelques uns me touchent et me cassent un bras. Bon il ne faut pas que je m'attarde ici, sinon je vais finir par mourir.

Il ne me reste qu'environ 500m à parcourir avant d’être sur le Rachitique. J'active mes turbo-propulseur, je me rapproche très vite. Puis je les arrêtent et m’écrase contre la coque du Rachitique. Je vois sortir de la coque du sous-marin des petite créature, ce n'est pas des robots, c'est des skavens avec des combinaisons spatial usés et bricolés. Mais qui serait assez fou pour sortir dans l'espace avec des combinaisons spatiales dans cette états, ce doit être des esclaves. Je n’était pas au courant pour ce système de défense, ce doit être nouveau. En tous cas ces intelligent, le techno-maître qui a eu cette idée doit être presque aussi intelligent que moi... Nan... On ne peut pas être presque aussi intelligent que moi... C'est impossible.  

Les esclaves se rapprochent de moi, mais pourquoi font-ils ça, je suis leur maître. Ils se jettent sur moi, pourtant je suis dans un robot géant, ils n'ont aucune chances d'en sortir vivant. Ils sont vraiment stupides, je vais les massacrer. Un combat titanesque commence, ils sont au moins dix et il en arrive beaucoup d'autre. Heureusement, mon robot est sur-armé, je mitraille, j’enflamme, je tranche. Ils crient, essayent de s'enfuir, font des croches pattes a leurs collègues, ils sont pathétiques, ils ne méritent pas de vivre...

Reprise finale du RP

Lentement, la coque extérieur du Rachitique se met à luire, le métal commence à entrer en fusion en même temps que le vaisseau dans l'atmosphère. Il ne reste plus que trois options de survie aux VIP du navire. Prier le Rat-cornu pour que le Rachitique se crash dans l'océan en un seul et même morceau, trouver un véhicule ou une combinaison qui résistera au vide spatial et rejoindre la station de Morslieb, où trouver le moyen de réactiver la porte d'énergie et effectuer un saut directement dans les installations secrètes de Skarogne. Aucune autre option n'est envisageable, le bâtiment est, pour ainsi dire, condamner. Ralexy se trouve toujours à bord de la passerelle, il assiste avec enthousiasme à la toute première descente atmosphérique de l'histoire et aux premières loges ...

Slagash et Galenor (assassin remplaçant Clunny)

La situation pourrait être meilleur, en plus des problèmes que rencontrent tous les skaven à bord, vous êtes en train de vous combattre dans un environnement en constante destruction, au milieux de jets de vapeur, d'arc électriques et de tôles volant ci et là. La présence de Ratside, le techno-cyborg-rat-ogre-assassin-pestilent ne venant absolument pas compliquer les choses. L'un poursuivant ses ordres, l'autre son instinct de survie, mais maintenant Uzaël mort, l'homme de main de Ralexy est libre d'abandonner sa mission s'il le souhaite, tout comme l'assassin est libre de fuir pour trouver une autre issue, vos destins semblent malheureusement liés à présent.

Skriff

La nacelle de survie se décroche d'un coup sec du Rachitique, le copilote Skriff a bien du mal à mettre en oeuvre le cours élémentaire qu'il vient de recevoir. La navette est alors ballotté, tentant en vain d'éviter des débris. Soudain, le cockpit est bruyamment transpercé par un projectile, enlevant les bras de son visage dans l'inutile tentative de le protéger, il se rend compte que le pilote est mort, la tête trouée par un débris spatial. Tentant paniqué de reprendre les commande sans rien y capter-capter, il entre sans le savoir, lentement dans l'atmosphère et avant de s'en rendre compte, il fini pulvérisé par la friction ... ainsi se termine la triste histoire de Skriff.

Baptiste

C'est bel et bien un cul de sac, tu cherches encore et encore, mais la porte qui s'est refermé ta bel et bien coincé ici. Alors que tu te morfond sur ton sort, tu perçois un mince courant d'air. Te réjouissant trop vite, tu comprends que la porte de sécurité est en train de lâcher face à l'horrible pression du vide spatial. Tentant de t'accrocher, tu fini par lâcher en même temps que la porte, et alors que tu crois mourir, tu te rend compte que ta roue infernale bloque la brèche comme une passoire empêche les mal-pâtes de tomber dans l'évier lorsque tu les égouttes, t'empêchant toi, de finir dans l'espace. Cependant, tu dois toujours faire face aux puissants vent qui parcourent les couloirs vers la brèche dans la coque où tu te trouves. Il te faut vite rejoindre un endroit plus sûr en t'accrochant à tout ce que tu pourras pour échapper aux vents.

Watman

Ces torpilles bricolées ne peuvent exploser en l'absence d'air. Les pauvres esclaves qui ont tenté de s'échapper via ce qui devait les condamner n'ont pas pu changer leur destin face à ta combinaison spatiale dernier cri. Mais la température augmente rapidement, au point que les derniers esclaves finissent carbonisés par l'entrée dans l'atmosphère. Tu dois rapidement trouver un moyen de monter à bord du vaisseau si tu ne veux pas connaître le même sort.

De mon armure je peux apercevoir la terre, peut être qu'un jours, je retournerai chez moi, mon terrier me paraît si loin, peut-être qu'un jours je pourrai torturer mes esclaves, les rat-courcir, les rat-per comme du fromage, les voir se rat-tatiner à cause de la chaleur. La température augmente vite, très vite, je sue à grosse gouttes, il faut que je trouve un passage pour rentrer dans le Rachitique sinon je vais finir carbonisé-cramé.
Je commence a essayer de creuser un trou dans la coque du Rachitique, même avec les lames-épées de ma super-méga-armure-de-la-mort-qui-tue, je n'arrive pas à la transpercer rapidement, je n'aurais jamais le temps, je vais mourir avant de l'avoir percé. Vite, il faut que je réfléchisse, mais oui... Les esclaves, ils ont bien du sortir-s'évader par un trou, en plus, ils ont sans doute du oublié de le refermer...
Je commence mes recherches, mon armure commence à fondre, elle ne tiendra pas longtemps, il faut que je me dépêche, soudain, une lueur d'espoir, j’aperçois une trappe, mais elle est toute petite, il va falloir que j'abandonne mon armure, et pire... elle est entrain de se refermer. Je m'élance, je n'ai plus beaucoup de temps, cette trappe est ma dernière chance. Je saute, grâce à l'absence de gravité je vole. Lorsque j'arrive au dessus de la trappe, je sors de mon armure, et commence a nager dans l'espace jusqu'à la trappe j'arrive pile-poil dedans et referme la porte. Mon armure continue ça course dans l'espace, elle s’écrase contre le Rachitique et explose... Mais je m'en fiche, je suis sauvé, JE SUIS VIVANT !!!!!!