[RP] Le Rachitique

Le Rachitique

Ralexy pesta, il en avait connu des patrons difficiles mais celui-là était particulièrement ennuyeux et susceptible. Le commandant Karlzor avait mené de grand raid au nom du clan Scorbut mais il était nerveux d'avoir à conduire sa toute dernière création. Ralexy en était d’ailleurs extrêmement fière. Une arche noire des mauvais elfes n'était rien en comparaison du Rachitique. Son navire n'était peut être pas le plus grand, mais il était le plus puissant, le plus puissant qu'est jamais connu le monde. Du moins c'est ce qu'il croyait, et il n'était pas très loin de la réalité car les quelques navires légendaires qui auraient pu rivaliser avec le Rachitique pourrissaient au fond des mers depuis longtemps. Mais allez donc expliquer cela à un commandant paniqué à l'idée de diriger un navire qui a déjà coulé. Le sous-marin géant s'apprêtait à quitter son repaire situé dans les grottes inondées de le forteresse du clan sous la cité Tiléenne de Tobaro. Les derniers chargements arrivaient. Laissant Karlzor blasphémer seul sur sa création, il alla accueillir ceux qu'on avait placé sous son commandement.

Quand il entra dans la salle où on les avait fait mener, il pu se rendre compte aisément du genre d'incapables qu'on lui avait envoyé. Il y avait deux assassins, l'un d'eux semblait équipé d'une lame en malepierre et d'une arbalète de facture elfe, l'autre avait deux dagues à la ceinture ainsi que de nombreuses fioles colorées. Ils devaient caché bien plus que cela sous ces habits noirs caractéristiques du clan Eshin.

Assis à côté d'eux, un jeune technomage. Ralexy espérait que cet empoté ne causerait pas de soucis à son précieux bébé. Les lunettes de son casque lui indiquait une forte activité magique autour de lui et ce malgré l'armure qu'il portait. Il pria le rat cornu pour que ce débutant ne casse rien. Mais il y avait une seconde source d'énergie cabalistique dans la pièce. Elle provenait d'un être encapuchonné qui se tenait à l'écart des autres, une source beaucoup plus puissante. Mais ce n'était pas un assassin, c'était pire. Un moine de la peste, peut être même un prêtre au vu de la corruption de son corps pourris. Il serait utile en cas d'attentat aux armes bactériologiques. Mais il n'avait pas l'intention de lui serrer la main, ni même de l'approcher en fait.

Les deux derniers agents du clan Mors étaient semble il deux guerriers. L'un ressemblait un peu à une goule alors que l'autre portait une armure lourde qu'aucune vermine de choc n'aurait pu se payer et était bien plus imposant. Tous deux maniaient une épée et un marteau de facture naine, se connaissaient ils ? Ces pensées le quittèrent bien vite, ils étaient tous en train de le fixer, ébahis par sa carrure. Ralexy avait renoncé il y a longtemps à compter sur les autres, pour assurer sa propre sécurité, il s'était construit une armure assistée comme personne n'en avait jamais vue. Même l'armure du dernier guerrier n'était pas aussi massive, de plus elle ne comportait certainement pas des pistons à chaque articulation ou des armes à feu et outils en tout genre sur sa surface. L'ingénieur Ralexy Kadaboum était une véritable boîte à outils sur patte, de même qu'une arme vivante. Il était assez satisfait et même fière d'avoir attirer ainsi l'attention sur lui. Mais il fallait rentabiliser chaque secondes de ce voyage ainsi il ne perdit pas de temps et alla droit au but.

"Bon écoutez moi, vous êtes ici car le clan Mors vous a envoyé assurer la sécurité de ce bâtiment. Le clan a énormément investit dans ce projet pour des raisons que je ne veux pas savoir. Mon boulot consiste à maintenir ma création fonctionnelle, le vôtre c'est d'empêcher des gêneurs de la rendre infonctionelle capish ?"
"Parlez nous du Rachitique."
"Aaaah, je pourrais le faire pendant des semaines mais je sais par expérience que les imbéciles comme vous n'ont que faire de la poésie ... je vais donc être clair. Ce vaisseaux mesure trois cent mètres de long. Les cinquante premiers mètres comportent les différentes salles de commandes: le pont supérieur, inférieur et la passerelle. Les cents mètres suivants sont la zone de stockage des armements, créatures et véhicules de débarquement mais aussi des provisions et des munitions. Les cents mètres suivants sont occupés par les tanières, nous avons un équipage de 4000 esclaves, 2000 guerriers du clan et deux cents vermines de choc. Enfin, les cinquante derniers mètres du navire abritent la salle des machines et notre système de propulsion."
"Et il avance comment votre engin ?"
"Toute l'énergie provient d'un bloc de malepierre aussi gros qu'une cloche hurlante."

Cette information laissa les mercenaires un instant stupéfaits.

"Mais .. vous ne craignez pas q'on cherche à voler ou détruire tout ce ... paquet de fric ?"
"Le rayonnement dans la chambre du réacteur est mortel. Aucun être vivant normalement constitué ne peut y survivre. Mais ce bloc n'alimente pas que le sous-marin, il permet aussi de faire fonctionner son arme principale: le canon axiale."
"Autant que nous sachions tout, comment tire ce canon."

L'ingénieur prenait plaisir à parler de son bébé, avec un grand sourire il tendit sa main, la paume vers le haut.

"Quand il tire à l'horizontale, il crée un plan d'énergie qui se déplace à grande vitesse vers l'avant, un plan plat comme ma main. Et cette vague d'énergie en crée une autre bien plus consistante en surface. Un véritable raz de marée qui peut engloutir des flottes légère ou préparer le terrain à un débarquement massif. Quand il tire verticalement par contre ..."

Il fit pivoter sa main de la même manière que s'il voulait serrer celle d'un amis imaginaire.

"A ce moment c'est une véritable lame d'énergie pure qui dévaste tout avant de se dissiper après avoir parcouru plusieurs kilomètres, même un dreadnought nain (super cuirassé) ne peut survivre à cette décapitation. Oh, bien sûr il y a encore plein de chose à dire sur l'armement et le fonctionnement du Rachitique, mais je vais plutôt vous confier vos missions. La menace extérieur est minime, mais à l'intérieur nous craignons, le pire. Les autres clans nous jalousent notre merveille, ils ont du infiltrer le sous-marin et vont tenter de le couler. Votre tâche consiste à les démasquer et les neutraliser."
"Et si on refuse ?"
"Comme vous voulez, mais pendant que nous discutions le Rachitique a largué les amarres et est maintenant immergé, si vous ne l'empêcher pas de sombrer, vous sombrerez avec."

Skriff & Clunny: Ralexy vous a demandé de patrouiller ensemble dans la zone de stockage. Car il semblerait que votre apparence n'inspire pas du tout confiance à l'équipage.

Baptiste & Watman: Vous êtes chargé d'inspecter la salle des machines à la recherche de n'importe quoi qui puisse paraître louche. L'armure de technomage et la résistance physique de vos personnages vous protègent du faible rayonnement.

Mini & ga123: Vous devez vous infiltrer dans la tanière, essayez de savoir ce que pensent les esclaves et les guerriers de ce voyage, faites vous passer pour l'un d'entre eux ou pour un surveillant. Restez à l'écoute de chaque rumeur.

Discutez par MP ou sur le sujet annexe du RP pour vous mettre d'accord sur vos actions. Attention ceci sera introduction dans le RP, ne faites pas en sorte de découvrir et d'émanciper un complot chacun dés le début, cela viendra. Explorer le navire, les détails de son organisation reste à votre entière imagination. Le MJ que je suis clôtureras votre première mission samedi soir et vous recevrez vos ordres suivants. Amusez vous

Si vous manquez d'imagination ou que vous voyez mal comment faire, je vous conseille d'aller jeter un coup d'oeil au précédent RP à cette adresse.

Je vous donne aussi le lien direct vers le sujet des fiches de personnages et des règles ici .

Quaal parti dans les dix minutes suivantes , avec son collège du clan Mors ils prirent chacun une direction différente. Quaal tourna au premier croisement, puis au second, et se rappela de ce qu’avait dit le maitre de bord. Il retourna donc sur ces pas et vu une pancarte avec les inscriptions « tanières ». Il parti donc dans cette direction. Arrivé vers les première tanières et en entendant des bruits, il se cachât dans un coin sombre, retira son armure , la mit dans un sac ainsi que toute ses armes. Grâce a sa grande force, il cassa un petite plaque de taule et il fourgua son sac si précieux à ses yeux.
Il reprit donc le chemin des tanières et entra dans la troisième ou quatrième. Il fut surpris de voir autant de guerriers des clans entasser dans ces endroits malsains. Il s’assit dans un coin plus ou moins éclairé et attendit que les guerriers viennent lui parler. Son approche était la bonne puisque un guerrier vint vers lui, s’assit a côté de lui et lui demanda :

-Pourquoi t’es pas avec les autres de ton clan-terrier ?
-Je préfère la solitude.
-Tu risque de te faire manger-dévorer alors. Mais tu es grand-fort quand même.
-Tu me conseil-demande quoi alors ? rétorqua Quaal qui voyait la une ouverture.
-Tu me protégeras-gardera des autres rats plus gros que moi ? demanda le guerrier qui commença à transpirer.
-Et tu me donneras quoi-quoi en échange ?
-Le quart-huitième de ma portion de nourriture
-D’accord, tu me rejoins demain ici a cette heure-moment là.
-Merci, au grand guerrier.

Quaal reparti donc vers sa cachette ou il avait rangé son équipement. Entra dans le trou, l’agrandi un peu avec ses pattes, si réfugia et réfléchi a la journée de demain et se demanda comment aller t-il soutirer des informations a ce guerrier.

Edit Alexy999: dans un soucis de lisibilité espacez votre narration de vos dialogues et/ou mettez les en italique.
Sinon il faudra m'expliquer comment tu agrandi un trou avec tes pattes dans un navire en métal ^^

Je me grattais le haut du crâne. Pourquoi devais-je faire équipe avec ce crétin? De plus, pourquoi devais-je obéir à un technomage que je n'avais jamais vu auparavant et dont je n'avais jamais entendu parler? Enfin, il était inutile de se poser toutes ces questions, car ces deux points présentaient deux avantages : le gros musclé devait avoir de la malepierre en guise de cerveau, je pourrais donc m'en servir à mon profit, après tout une aide musclée n'est pas de refus. Et puis, plus important encore, j'étais à bord du Rachitique. Pendant que je réfléchissais à tout ceci, je ne faisais pas attention à ce qui se passait autour de moi, si bien que lorsque je revins les pattes sur terre, je découvris avec stupeur que j'étais seul. Je passai ma main sur mon visage crispé. Où avait bien pu passer cet imbécile?
Je m'apprêtai à l'appeler, bien que son nom m'étais inconnu, lorsque que divers tintements et bruits d'objets s'entrechoquant parvinrent à mes oreilles. Que pouvait-il bien fabriquer encore?
Je me dirigeais vers la source de ce bruit et je le vis alors fouiller dans diverses caisses contenant de nombreuses armes.

-Tu devrais être encore plus bruyant-bruyant!

J'eus pour seule réponse un haussement d'épaules nonchalant, qui signifiait qu'il n'avait que faire de mes remarques. Une de mes pattes se crispa sur une dague attachée à ma taille par une ceinture en cuir, mais je me retins de lui trancher la gorge. Il était encore trop tôt.
Au lieu de cela, je décidai de me servir moi aussi, mais discrètement, car je n'étais absolument pas sur que nous étions autorisés à nous servir dans les réserves du navire. Plutôt que de prendre des armes qui ne me serviraient pas pour le moment et seraient surtout encombrantes, je me mis à la recherche de nourriture. Je pourrais revenir ici en cas de besoin, en revanche, je doute que ce lourdaud parvienne à retrouver son chemin. Une fois de retour, grignotant une viande tendre, je le vis traquer ce qui semblait être un esclave. Il lui lança son hachoir et fit mouche, puis le dévora aussi salement que bruyamment. Il se redressa après que je lui fit une remarque qu'il sembla ne pas comprendre et nous nous mîmes à courir pour je ne sais quelle raison. Je voyais qu'il me lançait des regards carnassiers du coin de l'oeil. Cet idiot devait penser pouvoir me manger, et si c'était le cas, il se fourrait la griffe dans l'oeil. Nous arrivâmes alors devant une salle de laquelle s'échappait un vacarme infernal. Je passais ma tête par une petite ouverture ronde et pu distinguer une salle entièrement emplie de diverses machines qui semblaient plus complexes les unes que les autres. Une lumière verte s'échappait d'une porte située au fond de la salle. Le bloc de malepierre se trouvait sans doute derrière cette porte... Il y avait aussi deux silhouettes, il me semblait les avoir vues, sans doute qu'il faisait aussi parti de l'équipe chargée de la bonne marche du bateau. Je sentis soudain qu'on tirait sur ma cape. Je me retournai et vis que mon compagnon semblait vouloir repartir. A contre-coeur, je le suivis et nous retournâmes dans la salle de stockage.

Gorge-putride accompagné de son " collègue de travail " passèrent d'abord par le tunnel de gauche puis revint sur ses pas et parti vers la droite puis à nouveau vers la gauche jusqu’à trouver la pancarte indiquant "SALLE DES MACHINES".

Ditz se mit à tourner en rond, tout exciter par tant de machine-système et de piston-sifflant.

Ditz : Pourquoi tu fais semblant de me parler ! Tu te fiche de ma tête espèce de petit c....-fromage pourrie !!!!
Gorge-putride : Je ne fait pas semblant de te parler sale boulon-rouillé


Ditz faisait des mimiques étrange et ne semblait pas tout entendre alors que Gorge-putride lui parlait.
Puis semblant trouver la source de son problème il sortit une sorte de clé avec un fragment de malepierre et de drôle de pistons et commença à réparer ses oreille-bionique.
Puis Gorge-putride lui exposa son idée de goutter-lécher le sang répandu sur le sol pour y déceler une maladie-infection dedans.
Ditz esquissa une grimace de dégoût suite a cette idée.
Gorge-putride détermina grâce a sont talent de goûteur que c'était le sang d'un esclave qui avait surement été exécuter pour son incompétence. Il ne décela aucune trace de maladie dans se sang.
Puis ils firent le tour de la salle, il y avait de nombreux tuyaux, pistons, et autres choses innommable.
Ils ne trouvèrent rien qui pourrait compromettre le voyage du RACHITIQUE... En tout cas pour l'instant ...

Suite à la demande de Ralexy j'inspectais la salle des machines avec mon nouveau 'collègue'. Qu'est ce qu'il sentait mauvais ce prêtre de la peste. On aurait dit du vieux fromage moisi-périmé. Mais je sentais que c'était un puissant sorcier-mage. C’était le paradis ici il y avait des machines partout mais bizarrement je n'entendais aucun bruit. Comment Ralexy avait-il fait pour que ces machines soient silencieuses ? Tout à coup le prêtre se mit à me parler mais bizarrement aucun son-bruit ne sortait de sa bouche, il se moquait de moi ce prêtre de la peste !

Ditz : Pourquoi tu fais semblant de me parler. Tu te fiches de ma tête espèce de petit c....-fromage pourri !!!!

Mais le prêtre continuait. Soudain je compris mes oreilles étaient tombées en panne. Je sortis une clé à molette de ma caisse à outils et commençais à les réparer. Puis une fois quelle furent réparées, je dis à Gorge Putride :

Ditz : Voilà c'est bon-finit mes oreilles sont réparées. Alors tu me disais quoi ??
Gorge Putride : Il y a du sang par terre. Je vais le goutter-lécher peut-être qu'il y a une maladie-infection dedans.
Ditz : Il y a du sang dans la salle des machines ?! Des personnes se sont battues ici !
QUOI TU VEUX LE GOUTTER !!! MAIS C'EST SALE !!!

Une fois que Gorge putride eut terminé de goutter-lécher le sang il me dit que c'était le sang d'un esclave. Mais comment le savait-il ? Nous reprîmes la route. J’aperçus Tarkan mais que faisait-il là. Il aurait du être dans la zone de stockage. Venait-il saboter la salle des machines ? Nous espionnait-il ?

Bon, je suis mis par Le gros technomage en équipe avec un assassin.
C'est dommage, je ne vais pas pouvoir le manger, c'est trop rapide, ça a mauvais goût, ça peut avoir une fiole de cyanure dans la bouche, ça...
Bon bref, je pourrais pas le manger.
En attendant, on s'est retrouvé dans la cale de stockage.
C'est chouette, moi qui n'avait pas d'argent, je peux me servir !
Donc je prends un hachoirs, un petit jezzail et des munitions.
Lui, je ne sais pas ce qu'il prend et, franchement, je m'en tape.
"Tu devrais être encore plus bruyant-bruyant !"
Je me retourne, je hausse les épaules et je me remet à chercher.
Moi en tout cas, je veux faire cette mission, car on nous a promis une grosse, TRES grosse récompense..
Bon, ensuite j'avais faim. Je lui ai fait savoir inintentionnellement par un gargouillement peu ragoutant de mon ventre...
On s'est donc arrêté et on a improvisé une pause.
On a chopé ce qui se trouvais là et, oh bonheur !
Le rat cornu soit loué !
Un esclave !
Si il est sur ce bateau, c'est qu'il est en assez bonne santé !
Et un esclave en bonne santé, c'est excellent avec des assaisonnements !
Ni une ni deux je m'approche furtivement...
Et là, Bang !
Je lui balance mon hachoir dans la tête !
Il s'effondre dans un râle pitoyable...
Je saute dessus... je me goinfre... je le découpe... je le range... et, en deux minutes, tout est fait, je n'ai juste pas pris ce que je n'aimais pas...
L'assassin m'attend et me dit d'un air blasé :
"T'aurais pu manger moins bruyamment..."
En effet, j'avais fait un boucan du diable et je le regardais là, d'un air ahuri tout poisseux de ce délicieux sang...
Et on se mit à courir, je ne savais pas si j'avais le droit de manger des esclaves...
Courir...
Courir, jusqu'à la salle où la malepierre était entreposée...
Enfin, juste devant.
Rien que de regarder à travers la petite vitre me donnant mal à la tête, je m'éloignais pendant que l'assassin observait le morceau de pierre précieuse...
Je lui tirais sa cape à un moment car rien que d'être dans la salle me donnait la nausée...

Je décide de commencer en solo je choisi de m'infiltrer chez les vermines de chocs de 1 car je les ais beaucoup fréquentées et 2 car c'est de là que les menaces peuvent venir :
les esclaves n'ont pas équipement nécessaire je pense pour endommager le sous marin et il sont surveillé par leur contre maitre .
Chez les guerriers des clans ils sont tellement nombreux que je ne suis pas sur de trouver quoi que ce soi .
Mais d'abord je dois explorer le Rachitique .Je fais un dessin rapide :


étant donner que j'ai un assez mauvais sens d'orientation e me demande si ce plan est correcte mais bon .
Je fouille chaque salle
1) c'est le pont supérieur j'y découvre des technomages travaillant sur le Rachitique et les commandes du canon des chiffres défile je suppose que ce sont .
Cachette : au plafond grâce aux poutres

2)le pont inférieur qui est composer de la salle de commande la salle de tir et la loge du commandant et surement la salle des machines mais je n'est pas le droit de l'inspecter en raison des rayonnements

3)c'est ici que l'on stock les véhicules : ratasphère roue infernale canon à malefoudre catapulte à peste et je suppose qu'il y a également des cloches et des lance feu j'irai bien vérifier ces machines car elle peuvent être pratiquent en cas de sabotage mais je n'ai pas le temps nécessaire
Cachette : derrière les machines

4)c'est la zone de stockage des créature avec des abomination , des rats ogres , des gros rats pesteux et les rats géants je préfère ne pas m'y risquer et je pense qu'il n'y a pas trop de danger par la étant donner le grosse port qui en barre l'accès

5) le stockage des munition et provision la plus grosse zone à risque je regarde minutieusement et heureusement tous me semble normal
Cachette : derrière les caisse

6)le dortoir des esclaves il n'y a que des couchettes
Cachette : il faut que je fasse semblant d' être un esclave

7)celui des vermines de chocs ils ont un esclaves à leur disposition je compte donc me faire passer pour un esclave leur dortoir est plus luxueux que celui des esclaves ils ont un grand lit et un endroit pour se détendre et ranger leurs armes
Cachette : avec ma couverture je peut passer ici inaperçue

8)celui des guerriers des clans est moins luxueux que celui des vermines de chocs mais plus que celui des esclaves
Cachette : je peut aussi cacher en tant que guerrier des clans

voilà ceux plan établie il cherche un endroit pour dormir il dort finalement sur les grosses caisse avec la poudre et les provisions pour les surveiller .

Joueur Minimindji :

Alors que tu t'apprêtes à récupérer tes affaires, on te saisit par derrière et te projette violemment hors de ton trou. Avant que tu n'ai eu le de reprendre ton équipement, cinq guerriers des clans assez massifs te font face. Ce ne sont pas des vermines mais ils sont de tailles respectables. Ils ont l'air ... assez énervés.

"Où est Narsik ?"
"Qui ?" leur réponds tu en te redressant, tu mesure bien une tête de plus qu'eux.
"Ne fais pas l'idiot-idiot ! C'est la sale petite vermine avec qui tu as été vu, où est passé ce sale rat ?"

Ce Narsik, quand il a demandé ton aide, semble avoir oublié de préciser qu'elle serait plus éminente que prévu. Les guerriers des clan ne possèdent pas d'armes, ils n'y ont droit que lors des attaques et les rares qui osent en garder sur eux, même les plus forts, se font vite dénoncés aux surveillants vermines de chocs par un de leur très nombreux rival. Ce sont donc cinq skaven désarmé qui te font face, mais tu n'as pas d'armes non plus, heureusement ils n'ont pas vu ce que tu cherchais dans ce trou. Tu vas devoir te débarrasser d'eux à l'ancienne et retrouver Narsik pour exiger: quelques éclaircissements.
Mais alors que vous vous fixez toi et tes adversaires, une alarme se met à hurler et la lumière ambiante devient d'un vert de mort, ils sont tous figés sous l'effet de surprise, tu te ressaisi et passe à l'attaque.

Joueurs Clunny et Skriff :

Alors que vous revenez vers la zone de stockage. Une alerte se déclenche, une intense lumière verte s'allume sur les plafonds et une alarme pire qu'une cloche hurlante vous grille les tympans. La porte devant vous se referme lentement. Derrière vous c'est la même chose, vous allez être bloqués dans ce couloir si vous ne vous dépêchez pas. Comprenant rapidement la situation, l'assassin court aussi vite qu'il le peut, il se lance tête la première et arrive à se glisser sous la porte quelque dixièmes de secondes avant sa fermeture hermétique.

"Héhéhé, je suis le meilleur."
"Je ne partage-tage pas ton opinion."
"Haaaaaa !!! Qu'est ce que tu fais là toi !!!"
"Bah la même chose que tout à l'heure, tu cours et moi je te suis ..."

L'assassin poussa un profond soupir, il n'était pas prêt de se débarrasser de celui-là, le guerrier semblait d'ailleurs assez satisfait de ce qu'il venait de faire. Ils étaient revenu dans la tanière qu'ils avaient traversé pour se rendre à l'arrière du navire, tout le monde était en effervescence ou en panique, et les vermines qui gardaient normalement l'accès ne firent même pas attention à eux. Votre instinct vous dit de traverser les tanières par les dortoirs (les couloirs sont condamnés) pour retourner à la zone de stockage car vous craignez que peu importe ce qui a déclenché cette alarme, ce ne soit qu'une diversion ...

Joueur Baptiste et Watman :

Alors qu'ils poursuivaient leur exploration, ils tombèrent sur une salle de contrôle où une douzaine de technomage s’effaraient. ce n'étaient pas des sorciers, mais ces stupides apprentis devaient savoir au moins remplir le rôle qu'on leur avait confié. Alors qu'ils étaient en train d'admirer ce travail incroyable que e voir ces pauvres initiés courir en tout sens et se télescoper à tout bout de champs, les deux sorciers commencèrent à sentir que quelque chose se préparait, les vents de magie gagnaient en intensité. D'un seul coup, l'une des console explosa, envoya valdinguer son pauvre servant dans les airs par dessus eux avant de finir contre le mur, un peu plus plat qu'au départ. Ce fut alors l'affolement parmi les technomages, ils se mirent à courir encore plus vite et de manière encore plus anarchique en hurlant:

"SURCHARGE !!! On va tous mourrir-ir !"
"Salles des machines au rapport. Au rapport ! Au rapport au nom du rat cornu !"

Un parle loin sur l'une des console s'était mis en marche, la voix caractéristique de Ralexy Kadaboum hurlait maintenant à l'intérieur pour tenter de contacter quelqu'un mais tout le monde avait prit la fuite. L'alarme qui s'était mise en marche ne parvenait pas à masquer le bruit de ses vociférations. Le moine et le technomage se regardèrent, le prêtre s'approcha alors de la console."

"Au rapport chef."
" (soupir) ... Bon, s'il ne reste que vous écoutez moi. J'ai réclamé plus d'énergie pour le cumulateur ésotérique centrale et ses crétins ont du tout dériver vers les générateurs auxiliaires paradoxales pour aller plus vite. Ça a créé une surtension, et les commandes à distance ont sauté, vous devez réactiver les commandes manuellement, le levier se trouve de l'autre côté de la salle du réacteur, mais les radiations risque d'avoir ... augmentées un peu avec la surtensions alors ne cueillez pas les pâquerettes en chemin. Vous devez aussi reconnecter les câbles de Farâtz au recombinateur de secours qui se trouve près des ampoules de gaz de zylon des dérives éthériques, c'est clair ?"
"Euh ... pâquerettes ?"
"Pourquoi est ce que ça tombe toujours sur moi ... bon le techno c'est le moment de prouver votre valeur, reconnectez les câbles de farâtz et montrez le chemin vers les commandes manuelles de secours à votre amis le lépreux, passerelle terminé."

Joueur ga123 :

"Le vaisseau coule !"
"où sont les sorties de secours ?"
"C'est trop tard !"
"Je n'ai pas l'intention de rester ici, où ?"
"Les lapins crétins nous barrent la route ...."
"Quoi ..."
"Depuis l'impôt excessif sur la carotte de malepierre ils ont fait la grèves des services de secours, discrimination qu'ils disent ..."
"Mais ... pourquoi on coule au fait ?"
"Tu n'entends pas le réveil ?"

Leridan se réveilla en sursaut, l'alarme qui était en train de lui décomposer les oreilles l'avait tirée de son cauchemar mais ce n'était que pour retomber dans un autre. Il était toujours à bord du rachitique, et en plus il semblait y avoir un problème. L'assassin se remit donc debout et commença à consulter sa carte tout en marchant au hasard des couloirs. Après quelques minutes, il finit par pousser un grand Euréka quand il su qu'il se trouvait en plein coeur des tanières. Mais quand il releva la tête, il aperçut vingt vermines de chocs qui avait l'air terrifiées juste devant lui, l'un d'eux pointa son doigt vers l'avant.

"là, ça doit être celui qui a saboté le navire !"
"Où ça - où-ça ?"

"En se retournant, Leridan se rendit compte qu'il n'y avait personne derrière lui. Les vermines avaient empoignées leurs hallebardes et s'avançaient vers lui. Il prit quelques secondes pour réfléchir, il portait les habits noirs du clan Eshin caractéristiques des assassins et des saboteurs, il tenait dans sa main un plan complet du Rachitique pour lui s'orienter et une alarme sans doute liée à un sabotage venait de se mettre en route. Tout cela mis bout à bout avec la présence de la vingtaine de soldats d'élite aboutit à une idée fort déplaisante.

"Oh meeerde ..."
"Tuez le !"

C'est avec courage, que Leridan se mit à fuir vaillamment dans les tanières pour sauver sa peau poilue ...

Voilà, désolé du retard, la faute à Skriff et ga123 qui n'ont pas rendu leurs texte à temps, je n'ai pas eu plus de dix minutes successives de pauses de tout mon dimanches donc je suis navré de ne vous poster que lundi matin, à partir de maintenant de je posterais donc bien le samedi soir et tant pis pour les retardataires ...

L'assassin commence à partir et je commence à le suivre.
Je cours, je cours, juste que je ne pense plus qu'à ma petite panse.
Bref, j'ai faim.
Je m'arrête, je pose mon sac par terre, je l'ouvre et là, oh rage, les restes de MON esclave ont été pillés !
Je me retourne, mais, ne sachant pas du tout où je me trouve, je me met à aller dans une direction au hasard.
Je me dit qu'il vont payer pour l'offense qu'il m'ont fait.
J'arrive devant une porte qui s'apprête à se fermer.
Je me glisse comme tout à l'heure en-dessous juste avant qu'elle se referme.
Je me retrouve dans une salle à peu près semblable à la première si ce n'est que les skavens ici sont un peu plus charnus.
Je me retrouve derrière cinq guerriers puant le sang.
Je commence à me mettre en colère, persuadé que c'est eux qui m'ont volé mon panier-repas.
En plus, j'ai faim quoi.
Ils ne font pas attention à moi, ils ont l'air d'enguirlander un skaven tout grand.
J'y suis ! Il était avec moi quand le gros technomage nous a parlé !
Alors je laisse éclater ma rage.
Dans un rugissement de haine je me jette sur l'ennemi le plus à gauche et lui arrache une oreille en le mordant.
Il se tord de douleur en tombant par terre, se tenant l'oreille.
Je saute sur un autre et le griffe jusqu'à qu'il soit aveuglé.
Il marche comme un pantin désarticulé avant de trébucher sur une caisse de laquelle dépassent des lames de toutes sortes.
Je saute par terre. Il s'empale sur les lances.
Le troisième, qui a enfin compris ce qui lui arrivait tente de m'arracher la tête mais se fait emporter par une grosse boule de poils.
C'est là que je remarque que le grand a tué les autres skavens.
Maudit soit-il !
Il va me manger mon repas !
Vite, je me précipite sur le skaven empalé en marchant sur celui qui se tord de douleur et l'emporte avec moi.
Cela pourrait paraître héroïque mais dans d'autres circonstances...
Je cours et entre dans une autre salle dont la porte n'est pas condamnée, sûrement à cause des vermines de chocs l'ayant défoncée.
Je la traverse et arrive dans la zone de stockage.
Tout content, je me précipite sur mon copain l'assassin que je viens d'apercevoir.

Cette fichue alarme me brisait les tympans, si bien que je ne pouvais pas réfléchir correctement. Je suivis donc mon instinct et me glissai rapidement sous une porte qui se refermait lentement. Me voilà enfin au calme. Qu'est-ce qui c'était donc passé? Un saboteur à bord de ce navire. Voilà qui est embêtant. Mon statut fait de moi un suspect idéal, et je n'ai guère l'envie de subir quelque torture que ce soit. Non... C'était autre chose qu'un sabotage. Il faudrait être idiot pour provoquer une telle alarme en voulant saboter quelque chose, ou très incompétent. Celui qui avait fait ça voulait sans doute créer la panique à bord du bateau. Enfin... commençons par le début. Déjà, où est passé l'autre crétin? Il a dû se perdre, cet idiot. Tant pis, je vais retourner à la zone de stockage et l'attendre là-bas, quelque chose me dis que je dois y être.
-Son énorme-gros bide le guidera mieux que sa truffe ou son cerveau pour aller jusqu'à là-bas, ricanais-je.
Je me mis en route, puis commença à faire demi-tour.
-J'allais t'oublier là toi!
Tout en disant ceci, je hissais sur mon dos la carcasse d'un esclave, enfin de l'esclave de Skriff, mais il est tellement bête qu'il ne c'est même pas rendu compte que je le lui est pris. Il n'était pas très lourd. Il fallait dire que l'autre goinfre l'avait bien entamé. Je décidai de le manger en chemin, si Skriff me voyait avec, je serais dans l'obligation de le tuer, et ce n'ai pas ce que je souhaite pour l'instant, j'ai d'abord besoin de savoir s'il peut me servir à quelque chose. Je me mis donc à courir tout en grignotant. Une porte se trouvait devant moi, elle semblait condamnée. Je ne m'y trompais pas, elle était bien verrouillée. Je l'observai donc minutieusement et comme je m'y attendais, une petite serrure se trouvait au milieu de celle ci. J'y enfonçai une griffe et après avoir trifouiller le mécanisme du verrou, j'entendis un « clic » et la porte s'ouvrit lentement en grinçant. J'entrais donc et là, horreur!
La pièce était sombre et spacieuse, et une odeur atroce s'en dégageait. L'air était poisseux, et les murs et le sol littéralement déchirés par endroit, parsemés de tâches de sang plus ou moins fraîches. C'était le dortoir des esclaves, et les êtres qui y logeaient étaient tout aussi misérables. Ils étaient nombreux, bien trop, leur nombre dépassant largement la limite que pouvait contenir cette pièce, si bien qu'ils pouvaient à peines circuler. Lorsque j'entrais, tous me fixèrent de leur regard qui semblait sans vie, sans doute attendaient-ils que la mort les prenne. Ils étaient si maigres que l'on distinguait sous leur peau la forme de chaque os qui les composaient, et les quelques touffes de poils éparses qui parcourraient leur corps étaient rares. Ils étaient tous mutilés, et nus comme des vers, seuls les plus chanceux ayant pu se procurer quelques morceaux de tissus déchirés.
Ce spectacle me dégoûta au plus haut point, si bien que je jetai mon esclave avant de traverser rapidement la pièce. Avant de sortir, je me tournai vers eux. Ils se battaient pour avoir un morceau de leur ancien camarade, qui avait sans doute réussir à s'enfuir. Méprisables.
Je sortis donc et traversai un couloir, après quoi j'arrivai dans la salle de stockage.
Je fis rapidement le tour de la pièce pour faire un état des lieus, et quelque chose attira mon attention. Des caisses s'étaient renversées et de la poudre ainsi que divers fruits s'étaient déversés sur le sol. Quelqu'un était venu là pendant notre absence. Je ne pus réfléchir plus car un grincement de porte m'indiqua que mon compagnon avait réussi à retrouver le chemin de la salle et venait donc d'arriver.

[…] Je vis un second guerrier du même clan que moi qui fonça droit sur les guerriers apeurer , a peine avais-je lever les yeux que deux des guerriers était déjà morts . A ce moment-là je commença mon œuvre de mort sur les trois derniers . En quelques secondes , il ne rester plus que quatre cadavres et un guerriers agonisant . Mon collègue ne me parla pas une seule fois , il prit un cadavre , le jucha sur son épaule et partit avec .
Je me souvins de ma mission , prit mon armure et mes armes et m’en alla vers les tanières .Un guerrier passa par-là , je l’attrapa et le menaça de le tuer s’il ne me disait pas ou était Narsik .Il me regarda et me dit :
-Je ne sais pas mais Narsakas le sais lui
-Tu vas me conduire à lui j’espère ?
-OH OUI grand guerrier !!!
On marcha donc pendant quelques minutes quand le guerrier avec moi s’arrêta et pointa du doigt un autre guerrier qui était en train de manger dans un coin .
Je me dirigea vers lui , mais je devais avoir un air assez menaçant parce que le guerrier se leva et parti en courant dans la direction opposée . Je le suivi d’abord au pas de course , puis en sprintant , mais j’étais handicapé car j’avais une la mauvaise idée de m’équiper de mon armure qui me ralentissé grandement .Il tourna sur la droite dans un couloir , je devais être dix mètres derrière lui , je plongea à mon tour dans ce couloir , et je ressenti une douleur dans ma jambe gauche , il m’avais donner un cout de hachette dans l’arrière de la cuisse . Je me ressaisi et continua ma poursuite mais avec la jambe très douloureuse .
Il tourna ensuite sur la gauche et passa par une porte avec un bouton vert qui s’allumer et s’éteigne au-dessus de la porte , sur le moment je ne m’en rendis pas compte . Mais au fur et à mesure que j’avancer dans cette salle , je repris de la vitesse . Ma blessure se refermer d’elle-même . Quelques secondes plus tard , tout en courant je réussi a entre apercevoir un lueur verte , et la dans ma tête sa fit comme une connexion , je devais me trouver non loin d’une grande source de malepierre . Je couru donc de plus en plus vite et rattrapa le guerrier , le plaqua au sol , le désarma . Je le tira vers la sortie et lui posa une question avec tout le sang-froid dont je pouvais faire preuve :
-Ou est Narsik ?
-Je ne sais pas . Me répondit t-il . Je lui cassa le poignet et repris :
-Ou est Narsik ?
-Je ne peux pas te le dire . Il transpirer a grosse goute . Cette fois ma patience en avait pris un coup , je lui cassa donc le bras et lui redemanda :
-La prochaine fois que tu me répond quelque chose comme ça , je te jette ans la fosse aux abominations .Donc , ou est Narsik ?
-Dans la dernière tanière des guerriers , les autres veulent le manger vivant . Ne me tue pas
Dans un sursaut de gentillesse , je prix ma hache et le trancha en deux au niveau du foie . Je me repesai de ses entrailles pour me refaire une petite santé car je n’avais pas manger depuis un certain temps déjà. Je parti donc pour cette dernière tanière pour aller le chercher

gorge putride demanda :

-"Est ce que le rayonnement est devenu mortel-dangereux?
si oui combien de temps peut on y survivre?"
-"grrrrr avant de grrrrrrrrr car il y grrrrrrrrrrrrrrrr"

puis le porte-loin explosa dans une gerbe d'étincelles

"je crrroi que nous allons devoirrrr nous débrrrouiller tous seul. Crrrois tu que tu pourrrrait me téléporrrter dans la salle des machines?"
"-je vais te téléporter dans la salle des machines. Écoute bien, je vais te dire comment sauver le Rachitique. Ne t'inquiète pas les radiations ne te feront rien. "


Ditz lui fit alors des explications détailler et compliqué
Puis Gorge-putride disparu dans une germe d'étincelle provoqué par Ditz après avoir emporter un parle le loin fabriqué à la hâte par le technomage.

Une fois dans la salle des machines Gorge-putride se rendit compte que le thecnomage lui avait menti, car il le sentait, les radiations avait augmenter en intensité.
Le prêtre brandit son bâton de pouvoir, un éclair de lumière apparut et Gorge-putride fut entouré d'une myriade de rats.
Il leurs ordonna de s'agglutiner sur lui. Gorge-putride avança, quelque peut courber sous le poids des rats, vers le levier.
Ils abaissa le levier.
les radiations s’atténuèrent. De nombreux cadavres de rats jalonnait la pièce.
il allait chercher une sortie mais il fut téléporter,c'était surement l’œuvre du thecnomage ...

Gorge Putride : Est ce que le rayonnement est devenu mortel-dangereux? Combien de temps peut on y survivre?"
Ralexy : grrrrrr avant de grrrrrrr car il y grrrr

Puis le porte-loin explosa dans une gerbe d'étincelles. Je devais téléporter Gorge Putride dans la salle des machines sinon il serait mort à cause des radiations avant d'y arriver.

Gorge Putride : je crrroi que nous allons devoirrrr nous débrrrouiller tous seul. Crrrois tu que tu pourrrrait me téléporrrter dans la salle des machines?
Ditz : je vais te téléporter dans la salle des machines. Écoute moi bien, je vais te dire comment sauver le Rachitique. Ne t'inquiète pas les radiations ne te feront rien.

Après une explication longue et difficile. Ditz téléporta Gorge Putride dans la salle des machines. Une fois qu'il fut téléporter, Ditz appuya sur le bouton permettant d'isoler la salle des machines.

Voix off : Isolation de la salle des machines commencer-activer. La salle des machines sera isolée dans 2minutes et 13secondes
Ditz : Hahaha !! Il va nous sauver mais il moura à cause des radiations

Bon moi il fallait que je répare le bateau. Enfin une occasion-chance de montrer mon talent. Quand Ralexy apprendra que j'ai réparé le bateau tout seul, il me récompensera. Puis je le tuerai et je deviendrai le technomage en chef du Rachitique ! Mais avant il fallait que je répare le bateau. Ralexy m'avait dist de rebrancher les câbles de faratz. Ils devaient être près de la machine régulatrice d'énergie cabalistique. Après quelques minutes Ditz les trouva enfin, les câbles de faratz étaient devant lui. Mais ils étaient presque tous débranchés. Il se mit à les rebrancher un par un, puis ayant fini de les brancher, il attendit nerveusement que Gorge Putride sauve le bateau. Peu de temps après il entendit :

Voix off : Les commandes manuelles sont réactivées
Ditz : Ouff ! il a sauvé le bateau !

Quelques secondes plus tard je vis Gorge Putride apparaître. Comme si il venait d'être téléporter. Comment avait-il fait ?

Je commence à courir vers je ne c'est quoi , les vermines me poursuivent toujours et j'en rencontrent d'autres en passant devant des portes. Je crois que je suis mal ma couverture est foutu , je n'ai pas le choix je dois en trouver une autre. La chance me sourit je tombe sur une patrouille de vermines de chocs je leurs crie :

protéger moi-moi des ces rats-rats c'est eux qui ont saboter-endommager le navire.

Ils me laissent passer et fonce sur les autres vermines.
Je cours au pont supérieur pour comprendre ce qu'il se passe et à mon grand étonnement tous à l'air normal personne n'est affoler, je demande :

le navire ne coule-sombre pas ?
Un technomage me répond : non nous ne coulons-sombrons c'était un exercice-test.

Me voilà soulager, je retourne tranquillement vers la tanière des guerriers quand quelque guerriers des clans se montrent en se disant à voix basse mais pas assez car je les entends :

c'est lui-lui qui à saboter-endommager le navire.

Sans attendre je leurs saute dessus en tut 2 quand je vois que l'un porte un insigne je prend son cadavre et m'éclipse en apercevant du coin de l'œil un assassin

Ralexy pestait toujours, Karlzor demandait des rapports toutes les demis-heures alors que le sous-marin se remettait à peine de cette fausse alerte qu'il avait réussi à faire passer pour un exercice. Il y avait un vandale à bord, au moins un ... ce qu'il avait prit pour une erreur stupide de ses techniciens était en fait bel et bien un acte de sabotage, les câbles de fâratz assurant la dispersion des surcharges avaient étés débranchés alors qu'il les avait inspecté lui même avant le début du voyage. Heureusement quand le prêtre avait réactivé manuellement le contrôle à distance, Ralexy avait pu ralentir le réacteur et le stabiliser, s'il ne l'avait pas téléporté il aurait perdu un de ses mercenaires car l'autre technomage ne semblait pas trop préoccupé par son cas ... stupides intermédiaires.

Mais il cessa de geindre quand les mercenaires – qu'il avait convoqués – le rejoignirent. L'un des guerrier traînait derrière lui un skaven des clans semble il assommé, l'autre guerrier aussi en fait mais lui juste un demi ... Il soupira, ces pauvres créatures étaient tellement stupides, mais c'étaient les seul en qui il pouvait avoir une confiance « relative ». Il leur expliqua l'origine de l'accident en se gardant du moindre compliment à l'égard de ses réparateurs. Il leur demanda ensuite de faire leur rapports. Il était déjà au courant pour le technomage et le prêtre, le premier assassin lui narra qu'on le prenait pour le saboteur à cause de son accoutrement et de son comportement. Ralexy trouva cela très intéressant. Le second avait patrouillé avec le guerrier psychopathe dans les zones de stockage lorsque l'alarme s'était déclenchée mais il ne s'était rien passé de suspect. Enfin, il se tourna vers le dernier guerrier qui lui expliqua qu'il avait tenté une infiltration dans les tanières moyennes mais que cela ne s'était pas tout à fait passé comme prévu.

« Qui c'est-c'est lui là derrière vous ? »
« Oh lui, c'est celui qui m'avait demandé de le protéger alors qu'on le poursuivait déjà. Quand je leur ai réglé leur comptes je l'ai rattrapé dans une salle où ses congénères allaient le dévorer vivants, je suis arrivé dans mon armure massives et ils n'ont plus bronchés. Je m'apprêtais à l'interroger quand vous m'avez convoqué alors je l'ai assommé et pris avec moi. »

L'ingénieur en chef se rapprocha du corps inerte, l'inspecta attentivement et colla son museau près de ses oreilles.

« AGENT RUXBY ! ! ! AU RAPPORT SALE PETITE FEIGNASSE ! ! ! »

Même les oreilles des mercenaires sifflèrent tellement le technomage tout en armure avait hurlé fort, son équipement intensifiait sa voix de manière démesurée, les oreilles du pauvre guerrier des clans elles, saignaient abondamment mais il s'était relevé illico.

« Chef-chef ! Au rapport chef ! »
« Pouvez vous m'expliquer comment un de mes mercenaires vous a ramassé dans les tanières ? »
« On m'a vendu chef, ma couverture a grillé, j'ai eu recours au guerrier pour couvrir ma fuite chef ! »
« Vous êtes pathétique Ruxby ! Reprenez votre uniforme et allez me faire un scann des zones de stockage ! »
« Chef oui chef-chef ! »
« Vous autres, au boulots ! »

Minimindji & Skriff

Vous avez été chargé d'aller inspecter les tubes des torpilles où des essais vont avoir lieu, Ralexy vous a appris qu'il s'agit de bombes sous-marines propulsées par un petit moteur à malepierre et pilotées par des esclaves. Pour s'assurer que les esclaves filent vers la cible indiquée le plus vite possible et sans détour on les attache à la torpille par des fers qui se resserrent au fur et à mesure que le carburant se consume. La douleur est telle que l'esclave n'a plus qu'une envie, en être libèré par la mort au plus vite.

Pour ce premier test en haute mer votre patron veut que vous encadriez les tests pour empêcher les esclaves de se révolter quand ils verront ce qui les attend. Vos carrures de guerriers devraient faire le boulot mais avec ces saboteurs qui rôdent attendez vous à un soulèvement potentiel.

Clunny et Baptiste

Vous avez ordre de retourner dans les salles des machines, servez vous de l'odorat du prêtre et des sens de l'assassin pour trouver d'éventuelles preuves de sabotage et l’origine du sang d'esclave de la dernière fois. Vous allez devoir évoluer dans les parties techniques du monstre d'acier. Là où les couloirs cèdent place à de grand espaces où l'on trouve des tuyaux par lesquels pourraient passer des abominations, des centaines de câble énergétiques, des fuites d'huiles et tout genre et des passerelles plus branlantes les unes que les autres.

Si il y a bien un endroit d'où des terroristes pourraient bien se cacher c'est ici, mais après cette tentative ratée ils ont sûrement du déménager leur base donc ne vous attendez pas à rencontrer des ennemis, cherchez juste leur précèdent lieux de campement pour y trouver des informations sur leurs plans futurs.

Watman & GA123

L'assassin étant connu par la moitié du navire comme un saboteur, Ralexy veut l'utiliser comme appât, mais avant il veut que vous aidiez l'agent Ruxby à inspecter la zone de stockage. Ruxby est un technomage guerrier qui combat avec deux pistolets à répétitions et a remis son armure, elle n'est faite que de plaques en métal protégeant son torse et son dos mais celles-ci grésillent et vous font penser qu'elles ne font pas qu'arrêter les coups.

La zone de stockage des armements terrestres est vaste, ne perdez pas de temps à fouiller chaque véhicule ou caisse. Cherchez seulement des traces de vols comme des caisses entrouvertes ou des pièces étalées par terre. Ralexy a aussi demandé à Ditz d'en profiter pour bricoler un système de pistage de l'assassin pour sa future infiltration, Ruxby lui donnera les pièces nécessaires au fur et à mesure qu'ils vérifieront le matériel et les armes. Si les saboteurs ont voulu voler quelque chose, le fait que leur tentative est été écourtée prématurément fait qu'ils sont peut être encore là, alors soyez sur vos gardes ...


Oui-oui je sais je n'ai encore pas posté le samedi soir ... la faute à mon rat-scorpion-géant-moulder-canon-skryre-à malefoudre ... sa conversion m'a demandé plus de temps que prévu

Nous partîmes donc inspecter les tubes de lancements des torpilles d’où partirons les bombes . En route mon collègue n’avait pas l’air de vouloir parler , alors je décida d’engager la discussion :
-Pourquoi est-tu venu sur a bord de ce navire ?Il ne répondit pas , alors ma paranoïa ultra poussée reprit le dessus . Je savais que ma tête était mise à prix par le seigneur de guerre Queek coupe-tête . Alors je pensa que se guerrier du clan Morr qui avait était envoyer avait pour mission de me tuer . Je pensa donc qu’il serai bien que je garde mes distances , juste de quelques mètres . Je feinta donc de faire tomber mon armes pour rester quelques mètre derrière lui . Une fois débarrasser , pour un court moment de cette éventuelle menace , je me détendit un peu . Je le suivit donc et une fois arriver , on marcha vers les technomages qui devait terminer les derniers préparatifs pour ces essaient suicides . Je me dirigea vers la gauche , vers un groupe d’esclaves qui devait compter une centaines d’individus qui devaient soit assister soir participer au spectacle . Tandis que mon collègue se dirigeai vers les technomages pour vérifier qu’ils faisait bien leurs travails . Les esclaves reculèrent tout d’abord de quelques pas car je portai tout mon attirail de guerre , à ce moment-là , je senti un sentiment de supériorité qui ne me déplaisait pas . Une fois la peur de moi , les esclaves c’avancèrent car il pouvait sentir qu’ils étaient beaucoup plus nombreux que nous . Un esclave , un peu plus courageux que les autres me demanda :
-On fait quoi ici-là ?
-Tu verra , une expérience a te coupé le souffle . Je lui répondit avec un sourir carnassier .
Soudain , je vis une ombre mouvante sur mon côté droit , je me dirigea sans me soucier de ce qu’il se passait autour de moi vers cette menace éventuelle , mais je ne la trouvai pas . Alors à ce moment , je me rendit compter que je me trouver au milieu de tous les esclaves , avec Skriff à l’autre bout de la pièce trop occupé pour ce soucier de moi . Je raffermi donc ma prise sur mes armes …

Edit alexy999: Rien à redire au niveau du contenu de ton texte ni même de ton orthographe, mais pas pitié fais attention à ta conjugaison ... je n'avais même pas lu trois ligne que mes yeux ont pris feu tellement tes fautes frôlent l'hérésie ...

Ralexy...
Ce sale rat-mécanique m'avait mis avec un guerrier qui, évidemment pouvait me massacrer au moindre coup de tête...
Punaise !
Je crus qu'il me dit quelque chose, mais je ne l'entendit pas...
En attendant, on partait vers le lance-missile je crois...
Il faisait une chaleur à mourir ici...
Je pense que c'est pour ça qu'on transpirait à grosses gouttes tout les deux...
Il fit tomber ses armes pour simuler un arrêt...
Mauvaise idée de s'arrêter, je continue...
Il me rejoint en courant, voilà pourquoi il ne fallait pas s'arrêter...
On arrive devant une centaine d'esclaves !
C'est génial !
J'ai faim ! J'ai faim !
Sans attendre son autorisation je me jetais dans la foule... qui s'écarta.
Et je me cassais la figure juste devant les technomages.
-Aïeuh...
-Qu'est-ce-que tu fais là-ici toi ?!
-Euh... t'es qui toi ?
-Je suis Kabrak, le technomage en charge des autres incompétents... ET DE L'ESSAI !!! JE DOIS VEILLER-REGARDER A CE QUE LE TIR SE PASSE BIEN !!!!
-Euh oui et ?
-Eh bien tu gènes-bouges là !!!
-Je fais partie des forces spéciales-super de ce navire et je suis donc ton supérieur-chef hiérarchique !!!
-Les forces spéciales ?
Mince, j'en ai trop dit...

Ralexy m'énerve après m'avoir mis avec un prêtre de la peste puant, il me met avec un petit assassin ! En plus, tous les Guerriers des Clans croient que c'est lui le saboteur du navire, si l'on me voit avec lui, je ne donne pas chère de ma peau ! Heureusement je travaille avec un technomage, enfin un collègue-ami du clan Skyre ! Ce qui est bien, c'est que je vais dans la zone de stockage, je vais pouvoir voir l'armement terrestre du bateau et peut-être voler-prendre 2 ou 3 bricoles. Après quelques minutes de marche nous arrivâmes dans une gigantesque salle remplit de véhicules-machines et de caisses. Mais comment allions nous faire pour l'inspecter-visiter ? Elle était trop grande ! Et puis hors de question que nous nous séparions, je ne voudrais pas me faire attaquer par des saboteurs.

Ruxby : Je propose qu'on se sépare, on pourra inspecter la zone plus rapidement.
Ditz : Non ! On ne se sépare pas ici !
Ruxby : Et pourquoi !? Tu a peur ?!
Ditz : Non ! Mais heu... il faut que nous bricolions un système de pistage pour Leridan.

Sans un mot nous repartîmes inspecter cette pièce-salle. Il y avait beaucoup de machines, je vis une Cloche hurlante, quelques Roues infernales, des mortiers à globes toxiques, des mitrailleuses Ratling et beaucoup d'autres armes-machines venant du clan Skyre, le meilleur Clan Skaven ! Tout à coup, Leridan pointa du doigt une direction, je vis que plusieurs caisses étaient ouvertes. Nous nous approchâmes discrètement. Je vis Ruxby sortir ses pistolets, je fis de même. Dans une des caisse, il manquait un petit jezzail, et quelques munitions. Dans la seconde, il manquait un hachoir, et dans la dernière un peu de nourriture. Les personnes-skavens qui avaient volé des choses-objets n’étaient pas nombreuses. Ruxby ouvrit une autre caisse, pleine de matériaux et nous nous mîmes à bricoler-construire un système de pistage pour Leridan. Discrètement, je mis une bombe dedans. On ne sait jamais, Leridan pourrait être un traître-espion !

Je ne connais presque pas le technomage avec qui je suis sensée faire équiper. Je remarque en passant que dans la tanière des esclaves il y a des forts qui commandent et des faibles qui obéissent ils sont pitoyables, ils se mangent entre eux, ils devraient prendre exemple sur nous.Je demande au technomage noua accompagnant de me crée un système de pistage une puce que l'on colle sur l'objet que l'on veut pister et un boitier pour voir où se situe la puce. Je me demande comment ils vont le trafiquer mais c'est sans importance. Dans le couloir je vois bien qu'ils cherchent à m'éviter surement à cause de ma réputation. Arriver dans la salle que l'on dois inspecter je me place discrètement en hauteur pour mieux voir et comment je l'espérais j'aperçois une caisse ouverte je descend et vois qu'ils veulent se séparer je les guide jusqu'à l'endroit où j'ai vu la caisse. Je regarde émerveillé toute ces machines des cloches, des roues infernales, des lances feu, et d'autres. Mais on n'est pas là pour admirer le paysage et arriver à la caisse je me rend compte qu'il y a plusieurs caisse ouverte mais il n'y avait pas grand chose qui a été pris me voilà rassurer. Je crois qu'ils ont fini le système de pistage et je colle discrètement la puce sur un jezzail.

Cet assassin me regardait avec dégout.
Il marchait silencieusement. Ses fioles colorés s'entrechoquait et provoquait un léger tintement.
Sa tête était comme la mienne encapuchonnée. Les quelles que mèche de poils que je réussi à entrevoir était d'un brun foncée.
Je pus aussi apercevoir entre sa cape des reflet métallique. Ses pattes était musclées et semblait pouvoir le propulser à une grande vitesse.
Il avait l'air plus intelligent et vicieux que la moyenne mais sur ce point je ne me faisait aucun souci.
Se pourrait-il qu'il soit plus intelligent que moi ? Ce la m'étonnerai fort mais on n'est jamais aux bout de ses surprises ...
Sa longue queue claquait de temps en temps.
Pour avoir déjà inspecter la salle des machines je sus quelle direction prendre. Je regardai mon collègue qui semblait impressionner par la taille de cette salle.
Je me dirigea vers l’endroit où j'avais aperçus du sang d’esclaves et, à nouveau une flaque de sang frais était présente.
je m’adressa à mon collègue :

- ahggefdjkvlfv
-quoi ????
-igbhvlfqdvmv

il me regarda interloquée
je sortit de ma besace une fiole rose-vif et l’avalât cul sec puis je me retournât vers l’assassin

-sang, du sang !!!! Il est à la même place que lors de ma dernière visite.
-comment savais tu que c'était du sang d'esclave ?
-Il y a dans le sang des esclaves une bactérie du a l'asservissement et les mauvaises conditions de vie et quand on est habitué à son gout_odeur on peut la reconnaitre
-Et la c'est quoi comme sang ?
- je vais gouter-lécher
je me baissait et pu affirmé de nouveau que le sang était celui d'esclave
-c'est du sang d'esclave
Tarkan vit au dessus du sang une trappe-chose-coulissante et il remarqua que du sang y goutait.
Je n'us pas le temps de dire un mot que l'assassin avait déjà pénétré dans la sombre ouverture
Quelque temps après être parti, il revient quelque peu affolé et me dit de partir en vitesse, ce que je fis.
Pendant nôtre poursuite-fuite nous entrevîmes, une silhouette sombre ...

Joueurs Clunny & Baptiste :

L'assassin se laissa tomber en bas de l'échelles, le prêtre et lui se retrouvèrent soudain plus proches qu'ils ne l'auraient souhaité quelques minutes auparavant mais les circonstances faisaient qu'ils préféraient largement se supporter l'un l'autre que de rester seul. Pas tout a fait seul en fait car quelque chose rôdait ici. L'espace d'un instant ils entrevirent une ombre. Une ombre monstrueuse, haute comme un rat-ogre, mais progressant d'un pas lent et continu sans que l'on puisse percevoir le moindre son d'un quelconque mouvement, seule cette ombre entourée d'un halo verdâtre et sortie tout droit d'un cauchemar révélait la présence de cette chose. Les deux compères se regardèrent terrifiés, il y avait derrière eux un espaces entre deux machines qui les cacherait. Sans un bruit il s'y jetèrent pour leur vie, l'assassin n'osa même pas soupirer de dégoût.

Depuis leur cachettes ils ne pouvaient pas voir à qui ils avaient affaire, et ils préféraient largement ça. Toujours aucun bruit, c'est à peine s'ils osaient respirer, pourtant ils sentaient la présence de cette chose, si proche. Ils sentirent alors cette terrible odeurs, une odeur bien pire que celle émanant du prêtre, une odeur de mort suintante. Depuis leur cachette, cette odeur infecte était le seul signe de sa présence. Il était là, il allait les trouver. Soudain, une alarme brisa le silence, mais une alarme d'un ton moins alarmant que la précédente et accompagnée d'un message diffusé par parle-loin dans tout le navire.

« Alerte niveau deux, flottes en vue, je répètes chose-flotte en vue ... tout les rats à leur poste ! »

A à peine quelques mètres de leur cachette, quelque chose hurla de rage, c'était bien plus proche de l'abomination que du rat-ogre, puis l'oreille affinée de l'assassin distingua enfin des bruits de pas. Plutôt de course en fait, même en plein sprint cette chose faisait moins de bruit qu'un esprit. Il l'entendit s'éloigner et une des lourdes portes hydraulique se refermer derrière lui.

« C'est bon il est partit ... BON SANG C'ETAIT QUOI CE TRUC ??? »
« Je ne sais pas ... ça avait maladies du clan pestilien en lui, moi l'avoir senti. »
« Et seul les meilleurs assassins du clan eshin peuvent se déplacer aussi furtivement. »
« Mais c'est l'ombre d'un rat-ogre que j'ai vu ... »
« Moi tout ce que j'ai vu c'est une lueur malfaisante comme seule dégagent les machines infernales du clan Skryre. »
« Mais qu'est ce que c'était ... »

C'est alors que leur parle-loin personnel se mit à grésiller.

« Groupe armé ... salle de contrôle ... intervention immédiate ! »

(PS : la salle où étaient précédemment Baptiste et Watman)

Joueurs Minimindji & Skriff :

Un techno-mage commença son discours devant la troupe d'esclaves rassemblée là, il ne prêta même pas attention à cet étrange guerrier en mission secrète, s'il était là c' était pour surveiller les esclaves et certainement pas lui, car s'il ratait quoi que ce soit il finirait en charpie, noyé ou écarteler par des esclaves en furie. Le guerrier, bloquait l'entrée principale, une bande conséquente d'esclaves aurait facilement pu forcer le passage mais tant qu'il n'y avait pas de révolte il contrôlait cet accès. Alors qu'il commençait à parler, il remarqua aussi un autre guerrier tout en armure près de la sortie de service. Il tenait par la patte un esclave plus petit que les autre qui avait du chercher à nous fausser compagnie, maintenant ce dernier était suspendu à l'envers à tirer une tête agacée alors que le guerrier lui semblait amuser par ce spectacle pathétique.

« Cher êtres misérables, aujourd'hui nous avons trouvé une flotte commerciale humaine et allons profiter de cette chose-cible faible et fragile pour tester nos nouvelles machines de guerre, les torpilles. Plus puissantes et plus rapides que des roues infernales sous-marines c'est vous qui les piloterez ! »

Les esclaves parurent fascinés par ces belles paroles, eux qui avaient une vie méprisable et douloureuse où qu'ils soient, voilà qu'on leur accordait de l'importance. C'était nouveau pour eux.

« Ces bombes de malepierre brutes sont assez puissantes pour percer la coque du plus grand méchant-nabot en surface. Imaginez, une vie entière de souffrance, de maltraitance et de rabaissement pour en arriver là. Cette bombe c'est vous qui la dirigerez vers nos ennemis, imaginez : toute une vie pourrie-pourrie pour se sacrifier dans une explosion de malepierre pure en tuant des centaines d'ennemis au nom du rat cornu et ce sans souffrance, en respirant l'air le plus pur qui soit ... le rat cornu vous accordera la grâce ! »

Cette perspective de mort subite refroidi un peu l'ardeur des esclaves, mais toute leur vie il attendait le moment où ils seraient libéré de leurs peines, et cette mort n'avait rien à voir avec le fait d'être dévoré parce qu'on était le plus faible. Non, ils mourraient pour la gloire de leur dieux qui les récompenserait sûrement dans l'au delà. Un bon deux tier des esclaves accepta mentalement le sort qu'on leur réservait, ceux qui restaient se résignèrent. Mais l'esclave que le guerrier tenait fermement semblait énervé, voir même en colère. Quaal trouva cela étrange mais ne fit rien de particulier, il affirma juste sa prise sur la jambe du pauvre petit esclave chétif. Une alarme confirma la présence de la flotte commerciale humaine. Il était temps ...

On fit monter le premier esclave (le plus enthousiaste) sur le tube d'acier de six mètres de long, il fut attaché par des fers à la structure et lui mit un masque sur le museau, il se sentit instantanément joyeux et téméraire dés qu'il respira les première bouffées d'oxygène pure. Le sas se referma, on lui avait juste dit de diriger la torpille avec un simple manche vers le premier bateau qu'il verrait. La mise à feu secoua toute la pièce. En quelque seconde les esclaves devinrent hystériques et le petit chétif en avait profité pour e libèrer et fuir par la sortie annexe. Voyant cela, Quaal se lança à sa poursuite.

« Skriff, gardes les esclaves je dois en rattraper un qui avait l'air louche. »
« Reviens sale trouillard, ils sont ... très nombreux ... »

Joueurs GA123 & Watman :

(Ga123, tu n'as pas édité, ta « puce » est donc sur tes habits car pour rappel tu ne pouvais pas prendre ce jezzail désolé :/ )

Le technomage a fini de mettre la puce au point, rien d'anormal n'est a signalé mais des caisses restent cependant ouvertes assez étrangement. Le trio a sortit ses armes, quelqu'un rôde encore dans les parages . Ils avancent prudemment, Ruxby a ses deux armes en main, ses compagnons d'infortunes ont aussi leur pistolet et arbalète. En un instant, des formes, peut être six, peut être sept ou huit, quittent leur cachette pour s'enfuir hors de vue de l'équipe de sécurité. Les quatre armes font feu simultanément, à eux trois ils blessent deux voleurs qui s'effondrent sur le sol, raides morts.

Mais, une alarme s'est mise en marche, moins forte que la précédente lors du sabotage. D'un seul coup, de grandes portes fermées hermétiquement et donnant sur les tanières s'ouvrent. Quelque chose vous dit que ces dernières ne vont pas tarder à se vider pour venir s'équiper ici. Des vermines de chocs surveillantes arrivent déjà pour distribuer le matériel auquel elles sont assignés, elles sont tellement occupées qu'elles ne font pas attention à vous. La scène se passe en à peine dix secondes, le message allant avec l'alarme se déclenche seulement.

« Alerte niveau deux, flottes en vue, je répètes chose-flotte en vue ... tout les rats à leur poste ! »

Des secousses indiquent déjà que des centaines de guerriers rappliquent par ici, les corps des voleurs que vous avez abattu ne sont qu'à trente mètres, mais la foule va débarquer ici dans quelques secondes et vous submerger surtout que l'assassin est connu pour être un saboteur, qu'allez vous faire ... ?

Voilà, mes excuses pour ce nouveau retard, je ne cherche même pas à me justifier car c'est trop stupide, bon RP ^^

Je parti donc chercher l'esclave qui s'était fait la malle . Il me distançait un peu chaque seconde , car lui n'avait pas d'armure à porter . Je fis mon possible pour ne pas le perdre . Il courait vers les tanières des esclaves , et je savais que s'il arrivait à rentrer dedans je n'avais quasiment aucune chance de le retrouver car il y avait des milliers d'autres esclaves . Je redoubla donc d'effort pour le rattraper , mes efforts furent récompensés car l'esclaves tomba à un croisement et j'en profita pour faire un bon tel les agents du clan Eshin pour lui retomber dessus , ce qui lui arracha un cri de surprise et de douleur . Je le releva par la peau du coup et le tira pour retourner dans la salle des lancements l'interroger avec mon collègue du clan Mors . Malgrè ses protestations , j'avançais bon gré , mal gré . Nous étions à quelques minutes de marche de la salle de lancement quand il me dit :
-Lâche moi et je te dis pourquoi je me suis enfuis .
-Tu vas me le dire même si je ne te lâche pas de toute facon !
-Si tu me lâches pas je ne pourrai pas te le dire .Je le regarda d'une façon assez menaçante et repris
-Tu essaye encore de t'enfuir et je te découpe en commençant par les jambes pour te faire souffrir le plus longtemps possible .
-Compris. Me dit-il . Je sentais l'odeur de la peur planait dans le couloir où nous étions .
-Merci , j'ai été prit dans les tanières des esclaves par plusieurs autres rats , et il m'on donné un travail en échange de leur protection , je dois aller rencontrer une personne quand celle-ci prend contact avec moi .
-C'est qui-qui cette personne ?
-Je ne sais pas , mais il ressemble beaucoup à un de ce qui sont payés pour tuer .
-Tu vas me mener a lui alors ? Lui dis-je avec un sourire carnassier .Il transpirait maintenant à grosses gouttes , il ne pipa plus un mot et me conduisit je ne sais où . Au bout de quelques minutes de marche , il entra dans une salle , je ne pris pas le temps de regarder le nom de cette salle . Il me dit de me cacher à un bout de la pièce et d'attendre sans faire de bruits . Lui se placa au milieu de la pièce . Au bout de quelques minutes d'attente , une silhouette noire vint se planter devant l'esclaves , en faisait de grands gestes . Soudain , l'esclaves lui parla a l'oreille et se retourna vers moi , je sus de suite qu'il m'avait vendu . Je sortis donc de ma cachette et fonça sur les deux complices . L'esclaves détala en premier , tandis que l'autre resta planter la et me défia . Je courus donc le plus vite possible et leva mes deux armes , prêt à faire du rat haché . Au dernier moment , il se baissa et fila vers la sortie opposée . Du coup je ne su quelle option choisir , et mon temps de réflexion me permis de me dire que je ne pouvais maintenant plus rattraper aucun des deux .
Je retourna donc à la salle de lancement des bombes-esclaves . Une fois arrivé , je conta mon histoire à Skriff , et il me répliqua :
-Tu es un abruti-crétin , qu'es ce qu'on va dire a Ralexy maintenant ?
-Je ne sais pas , je n'avais pas réfléchi à ça
-Tu ne réfléchis jamais sombre crétin .Je reparti donc dans mon coin pour chercher comment résoudre ce problème ou comment le mettre sur le dos de quelqu'un d'autre ...
-Bien visé , et un bateau de moins ! Hurla un technomage suite à une explosion .

Voyant que le technomage n'en avait rien à.faire, je fis mon possible pour me rendre utile et, peut-être, avoir une promotion...
Je me mis donc à surveiller les esclaves récalcitrants, je réussi même à en convaincre certains d'y aller, mais bon...
Ils avaient l'air si appétissant...
J'en attrapais un discrètement(sans Glargh, bleuargh, au secours !) et, dans un coin, je l'étranglais et le passa sous mon bras.
"-Navire humain-idiot droit devant ! Lança un haut-parleur ;
-Un esclave encore,maître de ses paroles me dit alors quelque chose :
-Eh, il est évanoui lui ?"
Je répondais d'un hochement de tête.
"-Eh bien, pourquoi ne pas le mettre dans la capsule ? Ils sont en plein dans notre ligne de mire !" et il éclata d'un rire diabolique.
Je répugnais à relâcher mon repas mais reconnu que c'était une bonne idée.
Pour remplacer mon esclave et pour m'attribuer tout le mérite, je donnais une bonne pêche à l'esclave ayant eu cette idée.
Je traversais la foule en délire où je fis dix mètres en cinq bonnes minutes.
Je montais sur la passerelle et jeta l'esclave dans la capsule sans qu'il touche aux commandes.
Une pierre deux coups !
Notre salle était en pleine effervescence, quand l'autre guerrier vint essoufflé :
Il me dit qu'il avit poursuivi un esclave et que, vu que c'était un gros balourd, il ne l'avait pas rattrapé. Et en plus ils complotaient ! Eh ben bravo !
"-Abruti-crétin ! Qu'est-ce-qu'on va dire à Ralexy maintenant ?
-Je ne sais pas, je n'avais pas réfléchi à ça...
-Tu ne réfléchis jamais de toutes façons..."
Dans un énorme bruit d'explosion, le navire ainsi que l'esclave disparurent.
"-Bien visé ! Et un bateau de moins !"

-Un groupe armé dans la salle de contrôle ?!
-Vas y sans moi et je te rejoins-suis car je risque de te retarder
-Ok

L'assassin partit donc au pas de course.
Des qu'il fut pu la, j'en profitas et lança un flot de vermines puis coup sur coup infecte bénédiction sur ce-ci et sur moi.

-Allez à la salle de contrôle passer par les conduits d’aération, détruisez tous intrus.

Puis dans un léger bruit la vermines disparu aussi vite qu'elle était apparu.

Bon maintenant allons nous occuper de ce groupe armé dit-je en faisant craqué mes phalanges.
Je couru le vite possible et arrivât dans la salles de contrôle. En effet des vermines de chocs avec une couleurs d'armures anormales était poster au quatre coins de la salles .
Mais où sont l'assassin et mes rats ???
Peut être sont t-il tapi dans l'ombre ?
Mais comme j’avais pas prévue le fait qu'il restait des soldats armés donc j’étais entrés les armes dans leurs fourreaux.
Mes vermines de chocs se jetant sur moi je vis apparaître une silhouette encapuchonnée assis en face des écrans de contrôle, mais je nu pas le temps d'y faire attention.
Ni une, ni deux je lança décrépitude sur mes assaillants.
ce-ci fait je sortit ma paire de dague et me lançât pour l'assaut.
Je transperçât un premier combattant puis, tranchit la gorge d'un autre.
Grâce à mes sorts à répétitions, mes ennemis était plus lent et moi équipés d'armes empoissonnés
Il ne restait plus que trois vermines de chocs lorsque un de mes furoncle éclatât entrainant une habituel perte de ma vision temporairement .


-Non pas maintenant !!! pestait-je

Je m'apprétait donc à mourir mais; j’entendis un bref bruit d'affrontement puis plus rien.
Quand j’ouvris les yeux l’assassin était là penché sur moi.

-Mais où est passé l’être encapuchonné qui était là? dis-je en pointant le panneau de contrôle
-Qu'elle être encapuchonné ?
-Je t'expliquerait mais merci de m'avoir sauvé
-T'avoir sauvé ?!
-Ce n'était pas toi qui...

A ce moment, le bruit très faible des pas de la créature ce fit entendre .[i]

Le bateau était attaqué ! Il fallait que je trouve quelque part pour me réfugier. Le bureau de Ralexy devait être bien protéger. Mais il me fallait un prétexte pour y aller et surtout comment allais-je faire pour y aller rapidement. Soudain j’eus une idée. Les corps des voleurs étaient à une trentaine de mètres devant moi, mais les Guerriers des Clans arrivaient. N’écoutant que mon courage, je me mis à courir vers le cadavre le plus proche. Pendant ma course je me mis à canaliser les vents de magie dans l'espoir de lancer le sort évasion avant de mourir piétiné par des Guerriers des Clans. Du coin de l’œil je les aperçus, ils arrivaient très vite. Allais-je réussir à me téléporter avant de me faire écraser. Une fois arriver devant les corps, je vis que Leridan m'avait suivit. Mais que faisait il ? Il allait mourir, piétiné par l’équipage du bateau

Ditz : Bye bye.
Leridan : Quoi ?

Et soudain, je disparus. Je venais de me téléporter avec un des cadavres dans le bureau de Ralexy. Il me regardait bizarrement.

Ralexy : Pourquoi est-tu là ? Que fais-tu ?
Ditz : J'ai pensé que vous aimeriez voir l'un des saboteur du bateau.
Ralexy : Mais où est ton partenaire ?
Ditz : Mon partenaire... Heu... Il a voulut aider les Guerriers des Clans.
Ralexy : C'est bizarre, les Guerriers des Clans veulent le tuer, pourquoi est-il resté avec eux. Tu est sur qu'il n'a pas des problèmes ?
Ditz : Non ! J’étais venu vous montrer un des saboteur.
Ralexy : Ah, oui. Où est il ?

Je lui montrai le cadavre mes pied et m'apprêtai à lui enlever sa capuche, pour voir son visage.

Un des technomages essaie de s'enfuir, je le poursuis et je vois les guerriers des clans qui me foncent dessus et tout d'un coup Ditz apparaît à coté de moi et s'envole avec un cadavre. Je saute sur une caisse juste à temps, j'ai cru que s'en était fini pour moi. Je me cache en haut des caisses et réfléchi : le navire est attaqué pour protéger les technomages je vais donc aller au pont supérieur.
C'est seul que je traverse à la hâte tout le complexe. Une fois arrivé, je surveille tous les technomages ,ils ont l'air un peu excités à l'idée de tirer sur un navire ennemi. J'apprends que nous avons repéré un flotte de chose-hommes. Ils disent qu'ils vont créer un raz de marée, mais aussi qu'ils ne seront à portée que dans une heure ou deux. Je retourne à la salle d'armement pour voir ce qui c'est passé pendant mon absence. Je découvre que les corps ont été enlevés. Je regarde les caisses ouvertes et découvre que plusieurs pistolets à malepierre ont été volés. Je me demande s'ils ne vont pas tenter d'attaquer le pont supérieur, je m'y rend donc pour voir si je me trompais. Ouf, les technomages sont toujours là, je pense que je dis me fondre dans la masse et j'attrape un guerriers des clans qui passe par là pour prendre ses habits. Je rejoins une tanière pour dormir un peu et réfléchir à tous cela.

EDIT alexy999: Mouai, texte d'à peine dix lignes que j'ai du corriger moi même, c'est la dernière fois que je te laisse passer ça, après des textes similaires ne compteront plus du tout et seront supprimé ...

« Groupe armé...salle de contrôle...intervention immédiate! »
Lors du silence qui s'en suivit, Gorge-Putride et moi nous nous regardâmes, perplexes. Que se passait-il à la fin dans ce navire?! Pourquoi un groupe armé était-il envoyé par ici, alors que ce foutu technomage nous avait déjà envoyé pour y assurer la sécurité et trouver toute trace qu'aurait pu laisser le saboteur derrière lui?
-Un groupe armé?! Dans la salle de contrôle?! m'exclamais-je alors, brisant le silence. Cela parut faire sursauté mon compagnon.
-Vas-y sans moi, je te rejoindrais-suis après, sinon je risque de te retarder.
-Ok.
Sur ce, je m'en allais rapidement, si silencieusement que je semblais glisser sur le sol. Plus j'avançais entre les machines, plus le bruit était infernal. J''étais réellement entouré de gigantesques monstres de fer, et ça ne me plaisait pas du tout. On se serait cru dans la tanière de ce déluré de Trikk, sans les cris déchirants des esclaves ni du rire dément de celui-ci. De la fumée verdâtre s'échappait de deux énormes cheminées métalliques. Certaines machines traversaient le plafond qui était déjà très haut, ce qui signifiait qu'il y avait un deuxième étage. J'arrivais alors devant une lourde porte de fer entrouverte, de derrière laquelle me parvenaient de nombreuses voix et bruits de pas. Je perçu alors pas l'entrebâillure de la porte des silhouettes massives et hautes comme deux guerriers, c'est-à-dire bien plus imposantes que des vermines classiques. Je me glissai discrètement dans la pièce puis, sans me faire repérer, allai me réfugier derrière d'énorme tuyau. D'étranges bruits,des « Gloup! Gloub! » s'en échappaient. La salle dans laquelle je me trouvais était vaste. Elle était très claire, cela était sans doute dû aux murs et au sol blancs, éclairés par de nombreux néons fixés au plafond. A l'opposé, il y avait une large porte. Au centre, une machinerie complexe, ressemblant à une cabine de pilotage, abritait plusieurs technomages qui paraissaient se quereller. De nombreux tuyaux sortaient du sol, des murs, ainsi que du plafond et rampaient jusqu'au centre de contrôle. Mais le plus inquiétant dans tout ceci, c'étaient les innombrables vermines de chocs, qui patrouillaient avec une discipline militaire exaspérante. Elles étaient impressionnantes, de part leur taille et leur carrure d'une part, mais aussi de part leur équipement. Elles étaient engoncées dans d'épaisses plaques d'armures en or, sans doute étaient-elles l'élite du navire. Cela les rendait encore plus massives. Elles tenaient fermement de hautes hallebardes, si grosses que n'importe qui équipé d'une telle arme pourrait trancher aisément un Rat-Ogre. Un technomage sortit du centre de contrôle. Je pus alors m'apercevoir qu'il était bien plus grand que les autres, il était d'ailleurs de la même carrure que les vermines de choc à qui il semblait désormais donner diverses ordres. J'ouvris alors deux yeux ronds. Un nombre incalculable de pistons et de canons divers couvraient son armure. Que faisait-il ici, cet enfoiré de technomage?! Il s'arrêta soudain et huma l'air. Il tourna alors la tête dans ma direction. Quoi encore?! M'aurait-il repéré? Impossible, même une chose elfe aux sens aiguisés n'aurait pu me voir. Il s'approcha alors et s'arrêta devant les tuyaux. Il me pointa alors de la griffe.
-Il va falloir me colmater ça illico-presto! Gars à vous si ce n'est pas fait à mon retour. J'ai quelques petites choses à faire-vérifier et je reviens!
Je vis alors qu'il désignait, non pas moi, mais une jointure qui semblait défectueuse et de laquelle s'échappait de la fumée verte en un sifflement désagréable.
-Il n'y a personne ici! reprit-il. On s'en va! Je vous en laisse tout de même quelques uns, mais, au nom du Rat Cornu, cessez immédiatement de pleurnicher! dit-il en s'adressant aux technomages. Il frappa dans les pattes et le régiment de vermines se retourna te s'en alla par la porte opposée d'un seul mouvement uni. Un autre régiment, moins conséquent et composé de vermines de choc aux armures noires, bien plus petites que les précédentes, mais tout de même très grandes, venaient de faire son arrivée. La porte se referma alors derrière le technomage qui emboîta la pas aux vermines. Celui-là, il était louche! Et il m'énervait à un point! J'aurais sa peau, foi de Tarkan! Bon, il fallait passer à l'action. J'allais leur montrer, à ces vermines de seconde classe, de quoi était capable un Maître Assassin issu du clan LandLubber. Je dégainai deux dagues effilées comme des rasoirs, puis grimpai discrètement sur la tuyauterie. En y plantant solidement mes griffes, je parvins à traverser la salle par le plafond sans me faire remarquer. C'était parfait. Je me trouvais dans le dos des gardes. Je parvins à en égorger une dizaine sans me faire repérer, mais l'une d'entre elles se retourna, instinctivement ou pas, avant de passer sous ma lame et attira l'attention de ses partenaires en criant. Je me retrouvai maintenant face à une quarantaine de vermines. Un rictus carnassier se dessina sur mes lèvres. Je ricanai, tout en les fixant de mon regard perfide puis... je m'enfuis à toutes jambes. Elles me poursuivirent mais étaient bien trop lentes.
Un fracas retentis soudain à l'autre bout de la salle.
-En voilà un autre! s'exclama l'une d'entre elles. Je sus alors que la moitié d'entre elles s'étaient détachées du régiment. Je fis alors volte-face aussi soudainement que je m'étais enfuis, ce qui sembla les surprendre. Avec une dextérité hors du commun, je lançai alors sept étoiles de lancé de ma confection. Elles étaient ordinaires, à l'exception que leurs bras tranchants étaient courbés et hérissés de petites épines, si bien qu'une fois qu'elles pénètrent dans le corps de mes victimes, il est impossible de les retirer, sous peine de provoquer des hémorragies trop importantes qui coûteraient la vie à n'importe quel être. Cinq de mes adversaires succombèrent, les étoiles leur passant au travers de la gorge. La scène qui s'en suivit fut un véritable carnage. Avec mes quatre dagues (une dans chaque patte, sur la queue et dans la gueule, un style que j'ai adopté et qui m'est personnel), j'entrai dans un véritable festival acrobatique. Après un bref combat, je me tenais du haut de mes pattes devant les cadavres des vermines baignant dans leur sang. Je me tournai vers le centre de contrôle et vit que les technomages étaient encore en train de se quereller. Ils n'avaient même pas fait attention à nous. J'allai à leur rencontre quand je me souvins que quelqu'un avait irruption dans la pièce lors de ma fuite. Je me retournai alors et vit une silhouette massive étendue sur le sol. Les proéminences osseuses qui parcourraient cette énorme carcasse m'indiquèrent que l'être qui gisait par terre était mon partenaire, ce pestiféré de Gorge-Putride. Je m'en approchai et me penchai au dessus de lui. Je fronçai le museau, l'odeur qu'il dégageait chatouillant péniblement mes narines. Après une brève hésitation, je lui donnai quelques claques plus ou moins violentes sur le visage. Sa peau était flasque et grasse, elle était même si molle qu'elle en semblait élastique. Un claquement gras se produisait à chaque fois que mes pattes entraient en contact avec lui. Je prenais garde à ne pas toucher les pustules et furoncles aussi gras et énormes que nombreux qui recouvraient son visage, ce qui était une tâche difficile. Mes pattes devenaient lourdes et me brûlaient, ma vue commença à se troubler, sans doute parce que je le touchais. Il devait sans doute transporter des maladies et le toucher ne semblait pas bon pour moi. Heureusement, il ouvrit les yeux assez rapidement. Il marmonna alors d'une voix pâteuse :
-Mais où est passé l'être encapuchonné qui était là?
-Quel être encapuchonné?
-Je t'expliquerais plus tard, mais merci de m'avoir sauver.
-T'avoir sauvé?!
-Ce n'était pas toi qui...
Un aura aussi putride que maléfique me parvint. Une respiration rauque ainsi que le faible bruit des pas de la créature de toute à l'heure se firent entendre.

Ralexy s'approcha du corps que le technomage avait ramené avec lui. Un vulgaire coureur nocturne sans la moindre importance et dénué de tout signe distinctifs pouvant le rattacher à un employeur particulier. Agacé, il saisit le pauvre Ditz à la gorge et le maintint à plus d'un demis mètre du sol.

"Tu te crois drôle ?"
"Mais ... mais ... mais seigneur c'est ..."
"Un vulgaire coureur oui et alors ?"
"Mais grand maître je ..."
"Tu rien ! Il fallait le suivre idiot, pas le tuer !"

Ralexy resserra sa prise sur le petit cou fragile. Discrètement, Ditz leva son bras et tenta de libérer un malefoudre en pleine tête du grand-technomage. Étrangement ce dernier ne fit rien pour l'en empêcher. Quand il lâcha son sort, un sourire de vengeance aux lèvres, Ralexy ne broncha pas. Le technomage se rendit compte avec horreur que l'armure assistée absorbait l'énergie de ses éclairs, il intensifia la puissance en pensant naïvement percer cette carapace mais l'ingénieur leva son autre bras comme s'il voulait saisir la foudre avec son gant d'acier. Il retourna alors sa propre puissance contre le pauvre petit Ditz qui ne pu lutter vainement très longtemps et fut projeter par l'explosion qui suivit avant de s'écraser contre la parois métallique du terrier.

"Ce n'est pas parce que tu as su reconnecter un simple câble de farâtz au bon moment que tu es indispensable."
"Mais seigneur ..."
"Et je parie que tu as aussi abandonné ton ami l'assassin et Ruxby à la première occasion."
"Non-non il ..."
"Suffit ! S'ils sont morts tu ne vas pas tarder à les rejoindre."

Mais il coupa court à ses injures quand les deux guerriers vinrent lui faire leur rapport. Ils mentirent en prétextant qu'il ne s'était rien passé d'anormal de peur d'énerver davantage leur employeur déjà bien remonté. Ils passèrent donc sous silence l'épisode des l'esclave espion et de son étrange maître. Ralexy leur demanda ce qu'il en était de la préparation à l'abordage des troupes quand les deux derniers mercenaires déboulèrent dans la pièces au grand galop et verrouillèrent la porte derrière eux avant de s'affaler contre le mur, blanc comme des linceuls.

"Quoi encore ?"
"Gr ... groupe armé ... neu ... neutralisé chef."
"Parfait, c'était quoi ?"
"Une grosse poignées de vermines de choc ... monsieur."
"Rien d'autre ?"
"Il y avait un gars en armure tout comme vous ... et des super-vermines ..."
"Et même un coureur en capuche juste après ..."
"Et ?"
"Ils partaient quand on est arrivé ..."
"On a tué les autres vermines normales mais ..."
"Mais ... ?"
"Il y a cette chose qui est arrivé."
"Cette chose ?"
"Comme un gros rat-ogre ..."
"Mais tout en armure et tout plein de machines ..."
"Il bougeait comme un assassin Eshin chef ..."
"Et il avait les maladies du clan Pestilien ..."

Ralexy resta inflexible. Alors qu'ils reprenaient à peine des couleurs, le prêtre aperçus la carcasse du coureur un peu plus loin et le sang qui s'en échappait arrivant à ses pattes. Dans un réflexe qui dégoûta ses collègues, il le goûta.

"Travaillent pour clan Pestilien ..."
"Quoi ?"
"Il a une bacille d'un virus qui ne se développe que chez-chez les hauts du clan."
"Donc il en a rencontré un ?"
"Oui-oui, simple contact et ce virus pas dangereux se transmet, moi le goûter."

Ralexy portait en permanence un lourd masque semblable à celui d'un globadier dont les verres brillaient constamment d'une lueur malsaine. Pourtant, ses lumières venaient de s'éteindre, cela aurait presque pu s'apparenter à une expression faciale. Lentement, le grand-technomage s'avança vers le mur, et commença machinalement à se fracasser la tête dessus.

"Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? ..."

Les mercenaires se regardèrent, sans savoir quoi faire. Puis, quand Ralexy sembla se reprendre, il leur expliqua d'un ton extrêmement blasé et vide d'ambition:

"Pourquoi est ce que les trois pires menaces du sous monde ont elles atterris sur mon navire ?"
"Les trois quoi monsieur ?"
"Uzaël et sa garde d'or, le projet Ratside et des équipes psycho-bactériologiques ..."

Comme les rats ne semblaient pas comprendre à qui ils avaient affaire, Ralexy leur expliqua la gravité de la situation.

"Les équipes psycho-bactériologiques sont des coureurs et des assassins œuvrant pour le clan Pestiliens, ils détruisent des clans entiers en jouant sur le moral des troupes via des révoltes et des épidémies. Uzaël était mon ancien rival, là où je travaillais juste pour le plaisir de fabriquer mes inventions, cette andouille voyait beaucoup plus loin, trop loin. Il fut chasser du clan Mors avec des assassins à ses trousses quand on découvrit qu'il avait volé le clan Moulder lors du projet Ratside."
"Le projet Ratside chef ?"
"C'était le nom de l'assassin tombé en disgrâce et fourni par le clan Eshin, transformé en puits vivant de maladies par le clan Pestilien, muté par des sérums de croissance musculaire hors du commun du clan Moulder et équipé par les meilleurs ingénieurs du clan Skyre ... le tout financé par le clan Mors. Cette chose, est plus forte qu'un rat-ogre, plus rapide qu'un assassin, plus résistante qu'une diacre de la peste et plus armé et protégée qu'une roue infernale."

En entendant ça, les pauvres assassin et prêtre qui l'avaient croisé déglutirent.

"Il est rapide, silencieux, talentueux, se régénère, capable de développer de nouveaux virus tout n y étant immunisé, agile, terrifiant, gigantesque et possède une ratling, un lance-feu, un lance-fusée funeste et un canon zap, avec en plus une amure intégrale en acier de malepierre, le tout répondant à des protocoles dictés par celui qui le contrôle."

Rien qu'en apprenant cela, les pauvres mercenaires auraient peut être préféré remonter à la surface à la nage plutôt que de rester quelques secondes de plus à bords du même navire que cette chose. Mais l'exposé n'était pas terminé.

"Je crois savoir d'où il vient, dans mon cahier des charges ont demandait une cage pour rat-ogre maintenu en stase dans les salle des machines s'activant en cas d'alerte de sabotage. Je croyais que c'était un simple système de sécurité mais au lieu d'un rat-ogre c'est Ratside qu'on a chargé ... d’ailleurs comment vous lui avez échappé ?"
"Oh ... quand on a tué les vermines, ce truc nous est tombé dessus, il nous observait avant de passer à l'attaque quand des technomages affairés aux commandes l'ont aperçus et ont hurlé d'horreur, ça l'a distrait et on a courageusement filé."
"Mhhhh ... Il est restreint aux salles des machines, mais on ne sait pas qui le contrôle ... ça doit être Uzaël, sa garde d'or n'est rien d'autre que ses vermines personnelles avec qui il avait partagé le fameux sérum de croissance qu'il avait volé. J'ignore où il a trouvé tout l'or pour les équiper mais sa garde n'a jamais perdu un seul combat, ni même une seule vermine à ce qu'il paraît ... soit il est ici engagé par le clan Scorbut en tant qu'équipe de sécurité couvrant ses intérêt soit il est aussi dans la liste des saboteurs ... dans tous les cas il doit mourir !"

Voyant que ses hommes n'étaient pas plus motivé que ça a combattre Ratside, la garde d'or et les maladies du clan Pestilien, il du les encourager un peu.

"Bon, ils ne sont certainement pas dans le même camps ces trois là donc ils se tueront peut être tout seul, en attendant la Rachitique va faire surface, l'escorte a été coulée; Les navires marchands humains sont sans défense. Je vais envoyer certains de vous s'amuser avec les choses-hommes pendant que les autres prépareront le terrain pour l'éradication de la vermine qui est à bord."

Voyant que ses mercenaires étaient toujours perplexes, il fut moins tendre ...

"Au boulot tas de croûtes ou vous sortirez bien d'ici mais en torpille c'est clair ?"

Joueur Clunny:

Ralexy t'a chargé de te mêler aux guerriers d'une barge pour éliminer le capitaine du "Rigoureux" abordé par ton transport et ce le plus vite possible. Les barges d'abordage métalliques branlante du Rachitiques, transportent en moyenne cinquante guerriers vers les navires ennemis et déploient des échelles sontre ceux-ci pour y engager les guerriers, la place réservé pour le butin des pillages est en générale égale au nombre de guerriers accidentellement "malades".

Joueurs Skriff et Minimindji:

Vous êtes chacun à la tête d'une barge, vous avez cinquante guerriers avec vous et un navire humain rien que pour vous. Le "Tempérance" et le "Nordlander" ainsi que leurs équipages sont tout à vous, pillez autant que vous le pourrez tout en évitant que les autres barges qui aborderont votre proie ne vous volent la vedette avant de vous repliez (voir la description des bardes d'abordage dans les instructions de Clunny)

Joueur Watman:

Ralexy a du te prendre en grippe, il t'a enfermé dans un ratvion avec un équipage d'incompétents. La machine est composée d'une carcasse métallique propulsée par deux ailes au bout des quelles se trouvent des hélices qui peuvent pivoter vers le haut ou le bas pour voler vite ou en stationnaire. Derrière les ailles se trouvent des ouvertures d'où deux artilleurs se servent de ratling. Enfin, le poste de pilotage à l'avant d'où un pauvre technomage et son copilote dirige ce tacot. Votre ratvion est le seul engagé au cours de cette bataille, tu ne sais pas encore quels sont les ordres, tu es censés rester hors de portée à atteindre des instructions le temps que les navires soient nettoyés. Mais tu te dis qu'un petit soutien aérien apporté aux troupes te ferait peut être remonter dans l’estime du grand technomage et améliorerais par la même occasion tes chances de survie.

Joueur ga123:

Tu as survécu à la foule ... te voilà maintenant dans les tanières, entièrement vidées. Ne restent ici que des déserteurs et des vermines qui patrouillent à la recherche de ces derniers. Content de voir que tu as survécu, Ralexy te demande via ton parle-loin d'en profiter pour trouver des déserteurs qui sont surement restés à bords car ce sont des saboteurs et de t'infiltrer parmi eux en profitant de ta réputation. Te voilà tout penaud. Déguisé en guerrier des clans à fouiller les salles gigantesques des tanières à la recherche de ... de tu ne sais pas quoi avec des vermines qui patrouillent dans toutes les salles ...

Joueur Baptiste:

Au vu de ton flair, ton patron t'a demandé de retourner dans les salles de stockage et de pister les coureurs qui ont pu fuir grâce au sang laissé par ceux qui ont été blessés. La tâche est ardue car deux milles guerriers des clans ont traversé la zone en effaçant presque toutes les traces. Alors que tu commence ton enquête sans savoir justement où commencer. Tu tombe sur l'agent Ruxby, il se souvient où étaient les corps des coureurs mais étant incapable de les pister il s'en allait. Il t'a reconnu mais il hésite à faire confiance à un ... un ... une personne légèrement, mais vraiment légèrement ... contagieuse ... et infecté par plus de maladie qu'une catin qui vient le dimanche soir à l'église. A toi de le "convaincre" de t'indiquer où chercher.

Mmh...
Mais pourquoi suis-je ici ?
À quoi sert ce bouton ? Celui-là ? Celui-ci ?
Argh... Je suis perdu dans un navire auquel je ne comprends rien...
"-Chef-chef !
-Mmmh ?"
Brusque retour à la réalité...
Je suis leur chef hein ?
"Mmmh, oui ? Qu'y a-t-il ?
-La flotte humaine est droit devant et les guerriers s'impatientent-attendent... Que doit-on faire ?
-Mmmh... laisse-moi réfléchir... MAIS ON ATTAQUE IMBECILE-crétin !!!!!"
La queue entre les pattes, il s'enfuit.
"-J'adore qu'on m'appelle chef !"
...
...
Tous à vos postes d'abordage ! On aborde le "Tempérance" !
Grondement de pattes qui piétinent le pont, sueur de ceux qui hissent les barges de débarquement, cri de guerre de ceux qui s'élancent...
...et couinement de ceux qui fuient...
...
..."-Mais que s'est-il passé ?! Réponds !
-Euh, eh bien... je ne sais pas trop... mais j'ai rapporté une pastèque chef-maître !
-Une pastèque, hein... C'EST TOI LA PASTEQUE !"
Un corps qui vole.
"-Quelqu'un pour me répondre ?! dis-je en mangeant la pastèque ;
-Il y avait un magicien...
...
...
"-A l'abordage !"
Alors, où est ce mage... ah, tiens, derrière cet humain là ! Eh, mais pousse-toi ! Bah voilà, quand tu veux... Mmmh, tiens, c'est bon cette chair... Ah oui, la mission...
C'est un gros humain torse nu qui a un sceptre avec un crâne de... bouc ? Il a un pantalon en toile grossière... et c'est un magicien ? Je le vois en train de massacrer un de mes guerrier avec des corbeaux. OK, c'est un mage.
Je fonce sur lui et il se tourne vers... moi ?!
Comment il a fait pour me repérer ?!
Et ça se gâte...
Maintenant, dans l'eau à côté du bateau, il y a une hydre noire qui me regarde bizarrement...

Une barge , pour moi tout seul , je pouvais donc faire ce que je voulais , pillier , voler et beaucoup d'autres choses , et en plus on ne me dirai rien , j'étais comblé . A ce moment là , je me sentais un vrai seigneur de guerre , je me pensé presque combattre une abomination , presque bien sûr . Pendant mon cours passage de chef au clan Morr , j'avais déjà contrôlé des forces armées et j'aimais donner des ordres sans en recevoirs en retour . Ce que j'aimai par dessus tout le reste , c'était de pouvoir envoyer mes rivaux là où ils mourriront le plus probablement .
Je savais que je n'étais pas le seul a contrôler une barge , je savais que Skriff en avais aussi une , je me dis qu'il fallait que je me dépêche pour une fois avoir capturé mon bateau humain , qui se nomme le ''Nordlander'' je pourrai peut être investir l'autre bateau pour récuperer beaucoup plus de fortune . Je me mis donc a courir le plus vite possible vers les barges pour embarquer le plus rapidement possible .
Mais une fois arrivé sur place , je voyais que Skriff était déjà là , donc mon plan tombé a l'eau . J'embarquis donc dans ma barge avec mes cinquantes guerriers assignés .
Je fis une entrée remarquable en tombant devant tous les guerriers car je n'avais pas vu une marche . Tous les guerriers s'ésclaffèrent , en me relevant je pris donc le plus proche et lui trancha la gorge et hurla :
- Vous êtes encore là bande de minables-crétins , a vos postes .
Ils répondirent pas un grand
- OUI CHEF !
A ce moment là , j'étais heureux car cela faisait longtemps que l'on ne m'avait appelé comme ça . Une fois la barge en mouvement , je revins vers l'endroit ou le plus de guerriers pouvaient me voir et hurla pour que tout le monde m'entende :
- Je suis le capitaine de se navire et de cet abordage . J'éspère que ce mensonge ne me portera pas préjudice .
- Et je vous autorise , une fois sur le bateau humain de pillier , voler , tuer tout ce qui vous passe à porté de pattes , mais je vous préviens , une partie me reviendra de droit !
J'entendis quelques guerriers qui se disaient qu'ils allaient bien s'amuser mais qu'ils allaient quand même cachés quelques richesses pour que je ne les trouvent pas . Je rigola dans mon coin et me promis des les tuer eux aussi et je repartis vers le fond du bateau ou personne venai me déranger .
Quelques minutes plus tard, un guerriers vint vers moi pour me dire que le navire humain sera rallié dans cinq minutes . Je lui dis de retourné a son poste .
Je me décida d'aller inspecter le matériel d'abordage pour ne pas être victime d'un sabotage . Je me dirigea vers les échelles de débarquement , elles étaient toutes en bonne état . Maintenant , on pouvaient entendre les cris des humains qui se préparés du mieux qu'ils pouvaient avec le peu d'effectifs qu'ils avaient à vendre chèrement leur peau . Quelques secondes plus tard , des traits des fléches et arbalètes volaient dans notre directions , trois guerriers sucombèrent et deux furent blessés . Les humains n'urent le temps que de redécocher un volée de fléches et de carreaux , mais celle ci fût plus meurtrièrent car les humains se trouvés plus proche de leurs cibles . Et sept guerriers tombèrent plus trois blessées . , il ne me resté donc que trente cinq guerriers en état de combattre . Nous arrivâmes a coté du navire et les échelles tombèrent sur le bateau humain . Quelques unes retombèrent car les humains s'activés à repousser les échelles dans l'eau . Cinq échelles furent finalement placées . Les guerriers s'activèrent a montés dessus , mais les humains ne perdirent pas encore espoir , et dès qu'une tête de rat passé , elle se faisait faucher . Encore cinq guerriers sucombèrent , je ne m'inquité pas des pertes et monta a mon tour a l'abordage , juste avant de faire dépasser ma tête , je fis un bon et me retrouva au milieu des humains . Je me fis tourner sur moins même et mes deux armes firent pleuvoir la mort sur mes adversaire et prenant la vie de trois humains . D'après un rapide calcul il rester encore douze humains plus deux viellard qui tenait des armes mais qui devaient être innofensifs . Les guerriers humains se battaient contre moi en me faisant beaucoup de blessures superficielles , mais cette diversion permis a sept guerriers des clans de montés sur le bateau et prendre les humains par derrière , et le reste suivit bientôt , nous avons donc l'avantage du nombres , mais je n'avais pas fais attention que des femmes étaient sortient de leur cachettes avec des arcs et faisaient pleuvoirs la mort sur mes guerriers , six tombèrent raides mort , avec se revère de situations , les humains firent tombés deux autres rats . Je commencé a doutais de notre possibilité de gagné , je redoubla donc d'ardeur , mais , juste derrière moi , je vis quelques chose de très inquiétant ...

Bon encore une mission qui va être dure pensais-je en soupirant, convaincre ruxby comment faire ....
Tien voici l’intéressé me dis-je pour moi même en voyant le technomage.
-Maljour à toi. j'ai entendu dire qu'il y avait eu des saboteurs qui avait été tués par ici; pourrais-tu donc pour satisfaire ma curiosité et m'indiquer où se trouvaient les dis cadavres ? dis-je
-Ralexy ma convoqué et je dois me rendre dans son bureau-laboratoire immédiatement, donc au revoir.
-En parlant de Ralexy, savais-tu qu'un technomage avec une armure aussi développée que la sienne voir plus, rôde dans le navire ?
-Plus développée que celle de Ralexy ??! Im..popopo..si...
-Et elle pourrait t'appartenir! le coupais-je, il faut juste que tu me dises où étaient les cadavres.
Il avait les yeux qui brillaient. Il me dit de le suivre. Il me conduisit vers un couloir et il pointât du doit une tache.
-Merrrci tu peux y aller-partir.
-Mais-mais et l'armure ???
-Eh ba euh tu as qu'à me suivre, mais euh tu devais pas aller dans le bureau de Ralexy ???
-heu je m'était trompé c'est dans deux heures.
-Ok.

Je m'agenouillais avec mal, puis lécha le sol sur une surface de 5m2 (ça fais beaucoup non ?)
-Qu'est ce que tu fait me demanda Ruxby avec dégout
-Je cherche où sont partis les équipes psycho-bactériologiques
-Les quooooooooooooiiiii ?????????
-Des sortes de coureurs de la peste super dangereux !!! Mais rien ne t'empêche de continuer.
-Heuu non non c'est bon, me dit-il avec une expression de peur sur le visage.
-Tien c'est bon j'ai trouvé.

Je marchais donc sur la piste de ces dangers et m’arrêtais devant une bouche d’aération. Je me retournait et dis à mon partenaire :

- La piste s’arrête là ...

Enfin seul. Je n'avais plus personne pour me gêner ou me retarder dans mes missions, j'étais libre. Enfin, si l'on exceptait la cinquantaine de guerriers qui s'agitait autour de moi. Cela me donnait le tournis. Je me trouvais en pleine mer, sur un petit bateau brinquebalant. Il semblait vieux et rongé aux mites, la moisissure aillant attaqué son bois à de nombreux endroits. Les planches pourries laissaient des trous béants sur les bords par lesquels l'eau s'infiltrait. De nombreux coquillages, moules et algues étaient fixés à la coque. Je me demandais comment cette embarcation pouvait encore tenir sur l'eau. Il n'y avait pas de voile, elle avançait grâce à un système complexe de propulsion, contrôlé par un technomage à l'aide de nombreux boutons et autres. Je me sentais mal à l'aise. Non pas parce que j'avais le mal de mer, loin de là, mais plutôt parce que je portais une armure si rouillée qu'elle me semblait inutile, mais suffisamment lourde pour me faire perdre de ma vitesse. De plus, je devais porter de vieux haillons noirs et jaunes tâchés de sang et puant l'urine, et je n'étais équipé que d'un couteau à la lame émoussée et d'un bouclier en morceaux. Je m'étais aussi teint la fourrure en brun. J'étais un parfait guerrier des clans parmi les autres, et nul ne soupçonnait ma véritable identité à bord de ce bateau. Nous aperçûmes alors notre proie. Un grand vaisseau de guerre impérial, gigantesque à côté de notre embarcation dont la taille était ridicule en comparaison. Nous accélérâmes, mais sans produire le moindre bruit, le système de propulsion étant conçu pour les abordages discrets. Ballottés par les vaguelettes, nous nous approchions de ce que les choses-hommes appelaient Le Rigoureux. A la vue de ce navire, certains guerriers s'excitèrent, accourant vers la proue, léchant les lames de leurs armes. D'autres s'enfuirent dans les cabines, d'autres encore s'assirent ou se penchèrent sur les bords, comme si ils étaient soudainement atteints du mal de mer. L'un d'eux se laissa tomber contre un bord mais les planches cédèrent sous son poids et il passa par dessus bord. Nul n'osa lui porter secours, les eaux sombres de l'océan n'inspirant rien de bon à personne. Ce dernier ce débattait pour se maintenir tant bien que mal à la surface de l'eau. A peine fûmes-nous éloignés d'une dizaine de mètre qu'une énorme gueule garnie de crocs immenses jaillit de l'eau et l'engloutit avant qu'il ne s'en rende compte. Un sentiment de panique traversa les membres de l'équipage, car le monstre qui venait d'avaler le guerrier pouvait aisément engloutir notre bateau. Nous pûmes tout de même atteindre le navire ennemi avant de nous faire avaler, le monstre n'avait pas dû nous repérer. Deux échelles furent déployées, et dans un cri de guerre, l'équipage se rua à bord de l'autre vaisseau.

Arrivé à bord, je me rendis compte que le navire était déjà attaquer, nous n'étions pas les premiers à l'aborder. En revanche, ce n'étais pas avec des skavens que les choses-hommes combattaient, mais, horreur! Des tas d'os et de chairs! Un équipage de pirates morts-vivants nous avait devancé. Alors que je restais en retrait, les guerriers se jetèrent sauvagement dans la mêlée. Je me lançai à mon tour. Je me débarrassai de cette lame de mauvaise qualité et dégainai mes quatre dagues habituelles, que j'avais pris au cas où. Tout en me battant, je cherchais le capitaine impérial du navire. Je tombai sur un squelette et lui coupai un bras. Il parut surpris, mais après quoi il le ramassa et le remis en place. Je profitai de cet instant d'inattention pour le jeter par dessus bord. Ces foutus squelettes étaient plutôt casses-pattes, le seul moyen de s'en débarrasser étant, soit de les pousser à la mer, soit de leur enlever la tête. Pour les zombies, il suffisait de les brûler. Le problème étant que je n'avais pas de feu sur moi. En parcourant la mêlée des yeux, j'aperçus le capitaine du navire mort vivant, un squelette plus grand que les autres maniant un gigantesque sabre rouillé et à qui il manquait un oeil, sa jambe droite étant remplacée par un morceau de bois. Je courus discrètement et arrivé dans son dos, je sautai sur son dos et de mes deux pattes, tentai de lui arracher la tête. Je parvins simplement à la tourner vers moi, et le crâne semblait furieux. Je sentis que l'on m'agrippais à la queue. Mon adversaire me balança alors avec force, et je retombai lourdement quelques mètres plus loin. J'avais perdu deux de mes dagues et j'étais un peu sonné. Il brandit son sabre et se jeta vers moi. Je repris librement mes esprits et sortis de sous mes haillons un vieux pistolet, mais en bon état, que j'avais jadis volé à un capitaine impérial après l'avoir assassiné. L'autre se rapprochais dangereusement, il n'était plus qu'à cinq mètres environ. Je le chargeai. Deux mètres. Je visai. Le sabre tombait dangereusement vers moi. Bang! Ma balle traversa le crâne entre orbites, si bien qu'il se détacha des épaules. Le capitaine squelette s'arrêta dans son action. Il n'était en revanche pas mort, simplement surpris. Il donnait maintenant de furieux coups de sabres à l'aveuglette. Je le contournai silencieusement et le poussai violemment, ce qui le fit passer par dessus bord. Je courus alors ramasser mes dagues ainsi que la tête du squelette qui m'insultait, sans doute, en une langue qui m'était inconnue. Je lui retirai son tricorne pour le mettre sur ma tête. Un trophée de plus.

Bon, maintenant, il fallait que je trouve le capitaine impérial. Clac! Une douleur lancinante me traversa soudain l'épaule. Je sentis quelque chose de chaud et humide y couler, ainsi qu'une forte pression. Je me retournai et vis alors un zombie me croquer à pleines dents, et le sang ruisselait de mon épaule, créant une tâche sombre sur les haillons jaunes, et qui ne cessait de s'agrandir. Il continuait de croquer avidement dans ma chair, sans que je ne puisse rien faire car au moindre mouvement brusque, il risquait de m'arracher une grande partie de l'épaule. Je fis claquer ma queue, lui donnant des coups de dagues avec, mais il ne sentait rien, le seul effet que ça eut fut de creuser des trous en plus dans ce corps décomposé, par lesquels un liquide visqueux mêlé à du sang et des tripes s'échappaient. Dans une détonation qui me surpris, il prit alors feu et lâcha prise. Je m'écartait vivement pour ne pas être pris dans les flammes moi aussi. Je relevai les yeux pour voir qui m'avait sauvé et me trouvai alors nez-à-nez avec un homme de grande taille, à la forte musculature. Il portait des vêtements roses et blancs et une armure scintillante, quoique crasseuse et éraflée. Deux gants en cuir noir habillaient ses mains, chacune tenant un long sabre effilé aux lames qui semblaient incandescentes. Une balafre traversait son visage meurtri, contrastant avec une barbe blanche ainsi qu'une moustache de taille plutôt imposante lui donnaient un air conciliant. Un portait un chapeau coiffé de trois grandes plumes colorées et fumait une pipe. Un petit singe au pelage brun se tenait assis tranquillement sur son épaule. C'était sûrement lui, le capitaine de ce navire. Et au vu des couleurs qu'il arborait, il venait de l'Ostermark. La région où moi-même je vis.
-Eh bien! s'écria-t-il. Cela en fait des boules de poils sur mon navire. Que fait un rat sur mer? Et puis, comme si je n'avais pas asez à faire avec l'autre équipage pirate. Je vais renvoyer toute cette vermine sous terre, foi de Alfred Von Cradock!
Il se jeta alors sur moi, faisant un bond en avant. L'estocade était d'une formidable puissance, si bien que je dû l'éviter, je n'aurais pu la parer. Une sorte d'onde de choc incandescente continua en ligne droite, tranchant tout sur son passage, mais surtout des skavens. Il enchaîna aussitôt. J'étais à terre car j'avais dû plonger pour éviter son coup, mais je pu tout de même sortir une dague et arrêter son sabre dans sa course. Bon bras trembla. Il possédait ne grande force. Il abattit son autre sabre, et j'eus à peine le temps d'éviter. Je me dégageai en faisant un saut périlleux vers l'arrière, puis me redressai. Il m'avait toucher, une petite coupure se dessinant sous mon oeil droit. Je léchai le sang qui en coulait et dégainai mes autres dagues. Mon adversaire sourit.
-Je vois que je n'ai pas affaire à une simple vermine de bas étage. Qui es-tu? Leur chef? Tu portes pourtant le même équipement que tes sous-fifres. Peu m'importe, de toute manière, une vermine reste une vermine, et la vermine, moi je l'extermine!
Je ne lui répondis pas. Il s'approchait en courant. Il était rapide, mais trop lent pour moi. En revanche, il était doté d'une grande force, mon armure ne m'était donc d'aucune utilité, si ce n'était qu'elle me ralentissait. Je la retirais donc. Il abattit son sabre sur moi. Je sautai à temps pour l'éviter. Lorsque le sabre atteignit l'endroit où je me situais quelques secondes auparavant, le sol se disloqua et prit feu en une violente déflagration. J'atterris juste derrière lui et me lançais alors en brandissant mes dagues. Il se retourna à temps, et para mon coup avec son sabre. Il dévia la dague de mon autre main avec son autre sabre. C'était le moment. Je donnai alors une autre impulsion avec mes pattes et passai au travers de sa garde. Ma queue, armée d'une dague, cingla l'air. Elle pénétra alors dans quelque chose de mou et consistant. Je la retirai rapidement et du sang gicla de son épaule. Il ne broncha pas et me donna alors une pluie de coups surpuissants que je peinai à parer.

Bang! Une douleur me traversa alors l'épaule, et je ne sais pas si c'est la surprise ou la douleur qui me fit lâcher ma dague. Je levais les yeux et vis alors le primate, toujours assis sereinement sur l'épaule de son maître, pointant vers moi un pistolet au canon fumant. La saleté! J'avais baissé ma garde à cause de lui, et mon épaule était perforée. Le capitaine profita de cette occasion et abattit son sabre sur moi. J'eus le réflexe de contrer avec la dague de mon autre main, mais cela ne suffit pas et la lame pénétra dans mon torse. Il la retira. L'entaille n'était pas profonde, donc sans doute pas mortelle. Mais elle me brûlait. Et sans surprise, elle s'enflamma. Mon instinct de survie me dis de me jeter à l'eau, mais sans doute que cet homme ne m'aurais pas laissé faire. Au lieu de cela, j'arrachais mes haillons trempés et bandai ma coupure. L'humidité stoppa les flammes, mais pas la douleur. Je parvins tout de même à me ressaisir. L'autre me regardait d'un air méprisant. Je sortis alors d'une petite sacoche accrochée à ma taille par une ceinture en tissu improvisée mes étoiles de lancé. Mon adversaire se rapprochait. J'en lançai alors une. Il pencha la tête sur le côté et l'étoile lui frôla le cou et l'épaule. Il sourit.
-Dommage, c'était peut être ta seule chance de m'avoir, dit-il.
Je souris à mon tour.
-Ce n'est pas toi-toi que je visais, stupide-idiote chose-homme!
Une expression perplexe s'afficha sur son visage. Il regarda son épaule gauche, qui avait failli être touchée par mon étoile d'acier, et ouvrit deux yeux ronds. Il se retourna, et vis alors avec horreur, clouer au bois, son singe traversé en son milieu par mon étoile. Une expression de fureur se dessina sur son visage et il fit volte-face. Il découvrit que je m'étais éclipser durant ce moment d'inattention.

Je surgis alors de nulle part et me jetai sur ses épaules. Une dague dans chaque main, je m'apprêtai à l'égorger. Mais il se mit à se débattre et remuer dans tous les sens, si bien que j'eus peine à rester en place. Il tentait de m'attraper et de m'agripper par la queue, mais j'avais retenu la leçon de tout à l'heure. J'enroulai ma queue autour de sa gorge vulnérable mais je ne pus l'étrangler, car cette ordure me mordit à pleines dents. Il n'avait pas les dents aiguisées comme moi, ni de force dans la mâchoire, mais suffisamment pour meurtrir ma queue fragile. Je fis de même et lui mordit le visage. Il hurla de douleur. Il me saisit par la nuque dans sa rage et me propulsa plus loin avec bien plus de force que le capitaine squelette. Je ne lâchai pas prise, si bien que j'emportai avec moi une bonne partie de son visage. Je retombai lourdement sur le sol. Le choc me sonna légèrement, et ma vue se troubla lors d'un instant. Mon ennemi semblait souffrir lui aussi. Mais la douleur ne semblait pouvoir l'arrêter. Il se lança vers moi. Je me relevai, prêt à le recevoir. Soudain, une détonation, celle d'une arme à feu, retenti derrière lui. Une balle me rasa l'oreille en un sifflement aigu. Il avait un trou dans la poitrine, la balle avait traversé son armure. Il me regarda avec un regard haineux. Du sang coulais de son nez. Il tenta de m dire quelque chose, mais à la place il cracha un flot de sang. Ses yeux devinrent blanc et il s'effondra, ses deux sabres à ses côtés. Derrière lui, je vis un guerrier de de la même embarcation que moi danser en chantonnant :
-J'ai tué-tué un capitaine-homme tout seul! J'ai tué-tué un.... Tchac!
Ma lame lui traversa la gorge et il s'effondra. Sa carcasse passa par dessus le bastingage et il tomba dans l'eau en un gros : Plouf! Cette andouille avait failli me piquer la vedette.

Je me retournai. Il ne restait plus grand chose de vivant à bord de ce navire. C'était un vrai carnage que j'avais sous les yeux. Le pont du bateau était couvert d'un rouge sombre, qui courait sur les mats et avait même atteint les voiles. De nombreux cadavres d'hommes et de skavens, mutilés, baignaient dans leur sang. Des os traînaient par-ci par-là et des tas de chair et de tripes se consumaient un peu partout. Seuls une petite douzaine de skavens, moi compris, avaient survécus. Il y en avait aussi une dizaine à bord, qui prétendaient être malades et ne pas pouvoir monter à bord de ce navire. Je me penchais sur ma victime, le capitaine impérial, et lui tranchai proprement la tête (du moins, ce qu'il en restait). Je ramassai ensuite le tricorne deux capitaine squelette que j'avais combattu, ainsi que son crâne, qui hurlait d'un ton furieux. Moi et les survivants nous mîmes alors à fouiller le vaisseau pour y trouver de l'or ou des vivres. Un certain temps plus tard, nous nous retrouvâmes sur le pont. J'avais une sacrée chance, j'étais tombé sur un riche navire. De nombreux sacs contenant de l'or, diverses armes, de la poudre, de la nourriture, du rhum, des plantes médicinales, des médicaments, du liquide inflammable et plein d'autres choses encore avaient été trouvés dans les cales et les cabines, et rapportées sur le pont.
-Mais, nous n'aurons pas-jamais assez d'place-espace pour' met' tout l'bazar sur l'bateau! fit remarquer l'un d'eux.
-En effet, répondis-je.
Je sortis alors mon pistolet et lui tirai une balle dans la tête.
-Voilà qui libère de la place-espace, continuais-je. Mais il n'y en a toujours pas assez-assez.
Je sortis mes dagues, et dans un tourbillon de lames, abattis les autres survivants.
-Bon, une bonne chose de faite. Je n'ai plus qu'à éliminer-tuer ceux qui sont restés à bord, et à les jeter-pousser à la mer, et je pourrais rentrer-repartir.
Après plusieurs allers-retours pour apporter mon butin du côté du navire où nous avions accostés. Je souris. Les guerriers discutaient sans savoir ce qui allait leur arriver. Je commençais à quitter le vaisseau impérial lorsqu'une gigantesque silhouette noire passa en dessous. Je remontai aussi vite. L'énorme de toute à l'heure ressurgit alors de l'eau. Mais cette fois-ci, le monstre entier se montra. Il jaillit de l'eau à une vitesse fulgurante et engloutit la barge qui m'avait amené jusqu'ici. Il était immense, il mesurait bien une cinquantaine de mètre de long. Son corps énorme et serpentin était couvert d'écailles d'un noir brillant. Un longue crête dorsale argentée parcourait son corps de son énorme tête à sa queue. Il avait la tête plate, une énorme gueule de laquelle sortaient d'immenses dents hautes comme trois rat-ogres. Il avait cinq énormes yeux rouges. Il replongea aussitôt. Il n'était tout de même pas suffisamment gros pour engloutir le bateau sur lequel je me trouvais actuellement. Mais j'étais dans une position fort problématique. Comment allais-je faire pour revenir sur le Rachitique? Je ne pouvais pas naviguer un tel navire seul, mais je ne pouvais pas non plus prendre le risque de me fabriquer un radeau improvisé avec des planches de ce bateau, ni même de m'enfuir avec un canot de sauvetage avec une telle monstruosité qui rôdait sous l'eau. Je ne pouvais même pas penser pouvoir rentrer à la nage sans me faire dévorer, surtout que cela signifiait abandonner le butin. Que faire?

Ralexy était fâché, il m'avait enfermé dans un ratvion avec une poignée de skaven. Je n'avais jamais entendu parler de cette machine, peut être que c’était une invention de Ralexy.

Ditz : Toi le pilote. On fait comment pour le piloter-contrôler ce truc ?
Pilote : Je ne sais pas, c'est la premier fois que je vois cette machine.
Ditz : Quoi tu n'a jamais piloter de ratvion ! Quelqu'un est-il déjà rentrer dans un ratvion ?

Bizarrement personne ne me répondis. Ralexy m'avait enfermé dans un ratvion avec des incapables ! Il voulait me tuer !

Ditz : Bon, je vais le piloter

Je m'assis à la place du pilote. Il y avait une manette, une dizaine de boutons et une roulette. Heureusement Ralexy avait laissé une notice. Je m'empressai de la lire, quelques minutes plus tard nous décollâmes. Ce n’était pas très dur à piloter. Une fois haut dans le ciel.Je vis que près d'un bateau des choses-hommes, il y avait un bateau pirate. Même si Ralexy m'avait dis d'attendre les instruction, je ne pus m'en empêcher. Je fis plonger le ratvion vers le bateau des pirates. Les ratlings ouvrirent le feu et abattirent un des mats du bateau pirate mais celle de droit explosa tuant son artilleur. Ce n’était pas un bateau pirate ordinaire, il était dirigé par des choses-mortes ! Une nuée de créature s'en envola et commença à nous pourchasser.

Ditz : Tuez les toutes !

Mais elles étaient trop. La ratling restante n'arrivaient pas à les tuer. Elles nous rattrapaient. Quelque une avaient réussit à rentrer dans l'avion, elles attaquaient l'équipage. Un skaven était entrain de se faire manger, elles étaient carnivore et avaient faim. Alors j’eus une idée.

Ditz : Ouvrez la porte !
Artilleur : Pourquoi ?
Ditz : Obéissez !

À contre cœur, l’équipage ouvrit la porte. Je mis ma ceinture puis je fis monter le ratvion. L'équipage tomba, poursuivit par la nuée de créature volante. Pendant sa chute, il se fit dévorer. Mais j’étais en vie

Ditz : J'ai fais du bon boulot aujourd'hui.

J'erre à travers les tanières en évitant les patrouilles ,malheureusement l'odeur des litières est écœurante, j'ai beau me boucher le nez rien n'y fait. Je me demande toujours à quoi cela sert-il de s'installer là ? Encore une patrouille, je me cache dans un recoin sombre et attrape la dernière vermines que j'assomme et prend l'armure et sa place. Celui de tête me semble anxieux, je pense que c'est le grand dent, il porte un petit pistolet à malepierre à sa ceinture. Ile me lance :

«Allez Raticus cours-viens vite, nous arrivons à la zone-endroit des saboteurs.»

Je les rattrape et nous pénétrons dans une autre tanière beaucoup plus grande que les autre. Ici la tanière est constituée de plusieurs alvéoles regroupant chacune plusieurs litières. Je me glisse dans une de ces alvéoles pour observer la patrouille qui progressent jusqu'à l'autre porte, beaucoup plus massive que celle par laquelle nous sommes entrés. Soudain, une dizaine de jezzails leurs tirent dessus, les membres de la patrouille s'effondrent rapidement. J'ôte l'armure de la vermine que j'ai capturé et me dirige vers la sortie en toute discrétion. Au même moment, 5 guerriers sortent d'une tanière pour cacher les corps, une idée germe peu à peu dans mon esprit. Je sort à découvert en lançant :

«J'étais sûr qu'il restait des saboteurs»

tout de suite l'un des guerriers sort un pistolets à malepierre en disant :

«qui est tu ?»
«je suis un saboteurs-espion»lui répondis je
«Niarf niarf niarf tu en discuteras parleras au chef en attendant suis nous.»

Et ils m'emmènent à travers la grande salle jusqu'à un escalier dissimulé dans l'ombre. Deux guerriers attendent en haut armés de jezzails. L'un deux aboie un ordre à un esclaves qui s'en va pour revenir quelques minutes plus tard et glisse un message à l'oreille du garde, celui-ci me dit :

«Le chef-commandant te recevra demain à la neuvième heure.»

Un autre guerriers arrive arrive et me guide à travers la salle, en m'expliquant que nous sommes dans la tanière des contre maitres. Il m'indique une litière sur laquelle je m'allonge et m'assoupis quelques minutes plus tard dans un sommeil sans rêve.


merci pour le laps de temps supplémentaire

EDIT alexy999: Tu ne crois pas que tu en fais un peu trop là ? Entre les vermines qui savent comme par hasard où se trouvent la zone des "saboteurs", dix jezzails leur tirent dessus à dix alors qu'on ne sait absolument pas ce qu'ils viennent foutre là ni leur utilité et les guerriers qui visiblement n'en ont rien à foutre, tu te présentes et hop on te fixe un rencard ... c'est la dernière fois que je te rattrape, la prochaine fois refus de texte et tant pis pour toi si ton texte est refusé un samedi soir parce que tu ne l'as pas posté plus tôt ...

Pour que vos récits concordent, voici une image de ce à quoi ressemble notre ami le fishtick !

Spoiler:

De même, à l'intention de Clunny et de Watman, les plans du ratvion !
Le câble de treuillage dont il est question se trouve sous le ventre de l'appareil, accrochez y le coffre, pas besoin de le charger à bord.

Spoiler:

Joueur Minimindji:

Réflexe ! L'ogre a jailli derrière toi sans que tu ne te rendre compte de rien du tout. Là où tu te trouvais précédemment, le bois est défoncé, il ne peine même pas à retirer sa lourde masse du pont. Ce mercenaire doit bien pesé une bonne demi tonne, de même qu'il fait le double de taille, chapeau de pirate non pris en compte. La bataille autour de toi n'a plus vraiment d'importance, c'est entre toi et lui à présent ...

Joueur Skriff:

L'hydre te regarde presque avec attendrissement ... elle se demande à quelle tête est ce le tour de manger. L'une d’entre elles t'a gentiment attrapé par la queue et te sors hors de l'eau pour te présenter à la gueule béante de sa voisine. Mais toi, ce n'est pas la gueule grande ouverte et garnie de crocs jaunes affûtés comme des rasoirs qui attire ton attention, mais plutôt l'ombre qui grandit de plus en plus vite sous la surface. En un instant, le monstre a jailli, il engloutit l'hydre d'une seule bouchée avant de replonger. Toi, tu n'as strictement rien compris et tu retrouve à nouveau sur le pont, sur tes fesses endolories. Quand tu regardes autours de toi, tu vois que la bataille est gagnée, il ne reste que des tas de cendres là où se trouvaient le mage et les défenseurs, un fiasco tu crois te rappeler que ça s’appelle. Mais l'un des nombreux guerriers affairés à charger la barge de butin donne soudain l'alerte:

"Bateau choses-mortes en approche !"

En effet le navire qui avait abordé le "Rigoureux" a rompu le combat, mais il espère sans doute couler ta barge au passage, les deux autres barges ont déjà mit les voiles depuis longtemps, si vous ne faites pas vite chauffer le moteur, la nef mort-vivante va vous rattraper avant que vous n'ayez atteint le Rachitique.

Joueur Clunny:

Ton parle-loin personnel vient de s'activer, c'est l'amiral Karlzor en personne. Il te somme de trouver un lourd coffre de plomb dans la cale et de le ramener sur le pont avec l'aide de tes guerrier car il est bien trop lourd pour toi, le ratvion est en approche pour treuiller le paquet.

"Mes guerriers ?"

Mais il a déjà coupé court à la conversation, alors que tu regardes tous les corps d'hommes rats autour de toi, tu te demande si tu n'as pas fait une grosse bêtise. Mais tu n'as pas encore le temps d'approfondir la question que la bête surgit, cette chose parvient à se maintenir hors de l'eau, sa tête surplombant le pont d'au moins six mètres. Toi, tu es là, tout penaud devant les dix rangées de dents effilée du monstre, il te regarde bizarrement, comme si tu étais la dernière chose encore en vie sur le bateau ... ah oui zut, en fait tu es la dernière chose encore en vie sur le bateau. Alors que tu t'apprête à te plonger dans une profonde réflexion sur le sens de la vie, le Ratvion arrive.

Joueur Watman :

"Héhéhé, je suis le meilleur !"

Mais étrangement, tu entends un bruit étrange, un bruit qui t'est étranger ... Rien de particulier sur les cadrans, alors que tu t'apprête à regarder par le cockpit en quête d'un quelconque défaut aux ailes ou au moteur, tu te rends comptes que ton copilote est toujours là. Il claque violemment des dents et n'a pas l'air de vouloir ressortir ses griffes fermement enfoncées dans le cuir de son siège. Alors que tu pousses un profond soupir, tu es contacté par parle-loin, tu t'apprête à dire ta façon de parler à ton employeur mais c'est l'amiral Karlzor en personne qui te parle. Il veut que tu sorte un câble de treuillage et que tu réceptionne un lourd coffre de plomb à bord du "Rigoureux".

Alors que tu te rapproche, tu remarques qu'une gigantesque créature a jailli des flots et qu'elle regarde attentivement ce que tu devines être l'un de tes compagnons ... tu n'as plus qu'une ratling et il faut choisir, vas tu laisser les commandes à ce trouillard pour maintenir la bête en respect à l'aide de la mitrailleuse ou rester bien à ta place et laisser l'engin de mort à ton ami aux mains tremblantes ? Tu pourrais aussi très bien battre en retraite mais quelque chose te dis que si tu abandonnes ta mission tu seras accueilli à bord du rachitique à coups de canons à malefoudre ...

Joueur Baptiste & GA123 :

Le prêtre de la peste décide donc de suivre ce conduit, après cinquante mètres de dur labeur qui ont semblé être une éternité, tu arrives enfin en face d'une bouche d'aération, non sans t'être trompé de chemin une bonne treizaine de fois. De l'autre côté, tu aperçois une salle des tanières, tu as changé de zone. Il y a deux guerriers qui discutent, des déserteurs sans doute.

"Tu as fais quoi du coureur que tu as choppé à deux pas d'ici ?"
"Tu veux parler de celui qui s'est fait avoir par mon petit piège ?"
"Oui, celui qui s'est pris la porte sur la tête."
"Oh, je l'ai tapé dans un coin sombre, personne ne le trouvera là bas. Il divaguait en boucle une histoire de vermines de choc qui savaient où on était, d'une dizaine de jezzails qui les auraient tués à bout portant et de lui même qui essayait de nous embobiner ... mais je l'ai reconnu, c'est bien le gars dont tous le monde parle, le saboteur qui agit de son côté."
"Waouh, il a fumé quoi celui-la ? Et depuis quand quelqu'un a des jezzails à bord de ce foutu tas de tôles ?"
"Je sais pas, si il y en a on ne les trouvera jamais, il y a des armes pour deux mille guerriers et un peu moins pour les esclaves, alors trouver une caisse de jezzail dans ce bardas inutile hahaha !"

Le disciple de la peste attendit sagement qu'ils ne s'éloignent pour sortir du conduit car il pouvait y avoir bien d'autres traître dans les alentours, il ignorait aussi où cet imbécile d'assassin avait été caché. Que faire, le chercher ou tenter de rattraper le guerrier sans savoir combien ils sont en tout ...

De son côté, l’exécrable infiltrateur commençait à se réveiller. C'était froid, extrêmement froid et humide. Rien à voir avec le semblant de lit où il croyait s'être endormis ... ce rêves avait l'air tellement réel, et puis il avait un de ces mal de crânes. Soudain, les parois commencèrent à émettre un étrange grincement, il avait l'impression que ... et merde les parois se rapprochent mais où est ce qu'il est ? et plus important encore, COMMENT SORTIR D'ICI AVANT DE FINIR EN PÂTE A TARTINER ???

"-Emportez le plus de butin que vous pouvez et courez-fuyez vers le bateau !!! Criai-je aux membres de l'équipage...
Mais mes guerriers étaient déjà en train de fuir, ils n'avaient pas attendu mes recommandations...
"-Hé, mais, attendez-moi bordel ! Lancai-je car une vingtaine ou presque étaient sur le bateau...
-Désolé"chef"... Me dit un de mes guerriers... Et ils partirent à toute allure... Avant de se faire happer par un très gros,truc... Ça ressemblait à ces gros serpents de mer, mais celui là, il était pas juste gros, mais très gros... Ça avait une langue énorme pour pouvoir ligoter des amuses-gueules, ça avait des écailles qui brillaient pour attirer son garde-manger...
Bref, c'était taillé pour la chasse.
Pendant que certains de mes hommes essayaient désespérément de nager jusqu'au bateau où je me trouvais, je demandais au pilote(qui était resté sur le bateau sans faire exprès)s'il savait comment ça se conduisait...
"-Euh, non, je ne sais pas comment ça se conduit, mais je crois que si je récupère quelques morceaux du bateau qui a échoué-couler, je peux faire un moteur relativement rapide comme le moteur de la ratas...
-Euh, oui bon, on va essayer de chercher des morceaux et en attendant, personne à part moi et le technomage n'a une fronde-lance-pierre ou quelque chose qui peut attaquer à distance et pour les ralentir ?
-Euh, chef ? Moi je n'ai pas d'arme pour la distance...
-Mais qu'est-ce-que j'fiche là moi...
-Chef, chef, il y a des canons-gros-jezzails sur le navire !"
Nous comprenâmes assez vite comment cela marchait,après quelques homicides involontaires(ou pas ?)...
Une tête de skaven bien placée arriva à faire un trou dans la coque, ce qui fit zigzaguer quelque peu le navire... Il allait moins vite.
Pendant ce temps, quelques uns récupéraient les quelques morceaux du moteur restant et le technomage s'évertuait à faire une machinerie basique...
"-Alors, si je met ça là, et ceci ici je peux...
-Bon,c'est fini ?
-Oui, il manque juste du carburant...
-Bon bah, moi, je retourne à mon jezzail... Fouillez le bateau, il y a peut-être quelque chose pouvant servir de carburant !"
Aussi tôt dit, aussi tôt fait : tout skavens délégués au ramassage du moteur foncèrent vers la cale...
Pendant qu'une tête de zombie partait à l'eau suite à un de mes nombreux tirs, un rat me demanda :
"-Une banane, ça marche comme carburant ?
-Mais,j'en sais rien-que dalle moi ! Mettez tout ce que vous voulez !"
Notre "moteur" fonctionnant à diverses choses et autres trucs, la course-poursuite à dix skamètres à l'heure commença...
Leur navire se décomposait sur place et le nôtre carburait aux bananes et aux pastèques...
Finalement, je me dit que, avec tout les tirs subit, leur navire ne devait plus comporter grand monde...
Alors, nous bifurquâmes et allèrent droit sur eux, tandis qu'ils peinaient à avancer...
Et ce fut le plus excitant abordage que j'accomplis de toute ma vie...
À vingt skavens contre quatre morts-vivants et un corps de squelette sans tête...
C'en était d'un humour mordant...
Nous capturâmes le squelette, pensant que, si c'était le plus grand, on aurait une plus grosse récompense...
Les autres se firent jeter à l'eau comme le reste de l'équipage.
Nous ramenâmes donc au sous-marin, deux navires étrangers...

Oh oh, vite une issue euh.... la bouche d'aération ? Comment l'atteindre hum vite-vite les murs se rapprochent. Comment faire pour atteindre cette stupide bouche d'aération ? La pièce est sans mobilier susceptible de m'aider : un lit qui se rabat contre le mur et c'est tout (tu es dans un broyeur à ordure au cas où tu n'aurais pas saisis, je vois mal ce qu'un lit repliable vient faire ici ...). Ah je crois que j'ai une idée j'essaie de retirer le lit mais c'est peine perdue. Les murs sont à présent à 2 mètres l'un de l'autre et on ralentit. Je saute sur l'un pour rebondir dessus et m'agripper à la bouche d'aération. Je sors ma lame de malepierre, ouvre la bouche d'aération. J'y pénètre et découvre que les murs se sont arrêtés. Je continue dans le conduit et descends dans une salle vide. J'ouvre une porte et me retrouve dans un couloir vide aussi. Je cours, ouvre plusieurs portes, toute les salles sont vides. Une grande porte apparaît au bout d'un couloir, hum je l'ouvre ou pas ? Je préfère faire le tour d'abord au cas où je doive fuir. Je trouve de nombreuse salles vides, des postes d'observation, des caches d'armes et de petites tanières. Je pense que je peux y aller, j'ouvre tout doucement la porte et ce que j'aperçois me fait frissonner : plusieurs dizaines de guerriers armés se tenaient prêts. Je me demande ce qui se passe. Je suppose et surtout j'espère que c'est un entraînement. Ou alors ils se préparent à attaquer, j'ai entendu dire que le navire allait aborder dans un port nain. J'écoute ce qu'ils disent :

«Rasicus, viens ici ! » crie un guerrier

Le dénommé Rasicus accourt. Le guerrier me pointe du doigt et Rasicus s'avance vers moi. Je crois qu'ils veulent me capturer. Je réagis mais la masse aussi a compris je crois. Je me fais assommer de nouveau. Quelle honte !

L'amiral Karlzor m'avait demandé d'aller chercher un coffre. Il allait peut être me récompenser. Et puis si il me demandait pourquoi l’équipage du ratvion était mort je lui dirais qu'ils étaient tombé du ratvion, par accident. Il ne fallait pas que le copilote lui dise la vérité. J’hésitais à tuer mon copilote, après tous un skaven de plus ou de moins ce n'est pas très important, mais j'avais besoin de lui.

Ditz : On est d'accord, l’équipage est mort par accident.
Copilote : Oui-oui, mais... on partage la récompense
Ditz : Oui, on partagera. Bon, je vais à la ratling, pilote le Ratvion

Il croyait vraiment que j’allai partager la récompense ! Il me prenait pour qui ! Une fois arrivé au Rachitique je le ferais assassiné. Je me mit derrière la ratling, attachais ma ceinture, on ne sait jamais. Je vis le monstre, il était énorme. Je commençais lui tirer dessus, il tourna la tête et s'approcha. J'allais mourir ! Soudain, il plongea.

Ditz : Hourra, on a gagné ! Va te caché, avant que je te tue ! Minable ! Faut pas me cherché moi ! J’étais un jezzail avant !

Mais,il sauta et arracha et morceau de l'aile du ratvion. Avant que je n'est eu le temps de réagir il était reparti dans l'eau. Mais il se préparais à revenir pour finir d'arracher l'aile. Il sauta, mais je mis attendais. Je lui lançais un éclair magique. Il poussa un cri de douleur et parti se cacher dans les profondeur de la mer. Il n’était pas mort mais il était blesser. Cette fois c’était fini, il n'allais plus revenir. J'entendis un bruit, une des hélice venait d’arrêter de tourner. Le ratvion chutait. Nous allions mourir !

Ditz : Je dois monter sur le toit pour la réparer. Essaye de ne pas me faire tomber.

N’écoutant que mon courage je montais sur le toit du ratvion. Une dent, aussi grande qu'une couteau et aussi tranchante qu'un rasoir choses-hommes bloquait l’hélice. Elle avait du rester accroché quand le monstre marin avait arraché un morceau du ratvion. Je la tirais de toute force, elle était coincé. Avec mes outil de bricolage j'essayais d’élargir le trou que la dent avait fais dans le ratvion pour pouvoir l'arraché. Après quelque seconde éprouvante, le ratvion n’était plus qu'a une dizaine de mètre de l'eau, je parvint à la retirer. L’hélice se remit à tourner. Nous étions sauvé ! Le pilote stabilisa le ratvion et je pus rentrer dedans. J'avais gagner une dent, j'allais pouvoir me faire un couteau.

Ditz : Le ratvion est sauvé, va vers le bateau nous allons accomplir notre mission !
Copilote : Oui mon commandant !

Le copilote positionna l'avion au dessus du bateau. Je m'accrochais au câble de treuillage, et sautais du ratvion. Après quelque seconde de chute, je m'y écrasais violemment . Il était recouvert de cadavre, de sang, d'armes. Un vrai carnage. Mais il y avait aussi deux guerriers, l'un d’eux était vieux et blessé, il y avait aussi un crane qui semblait vivant.

Ditz : Bien. Il semblerait que nous soyons au moins parvenu-arrivé à destination. Quel beau massacre y-a-t-il eu ici!
Tarkan : Bon, il semblerait que l'aide soit arrivée. Mais avant de partir, nous avons une petite chose à faire. Il faut que l'on aille dans la cale pour...
Ditz : Oui-oui, je sais! On doit aller chercher un coffre. Sinon, pourquoi serais-je venu ici? Sûrement pas pour sauver de la vermine de votre espèce! Comme si un technomage si puissant que moi perdrait son temps pour porter secours à de vulgaires guerriers!

Nous nous dirigeâmes jusqu'au coffre en plomb qui était dans la cale. Nous nous mîmes à le soulever de toutes nos forces. Il était très lourd, mais de quoi était il rempli ? Le crane criait, chantait, nous encourageait. Mais il nous cassait les oreilles. J'avais envie de le tuer ! Mais il était déjà mort. Nous accrochâmes le coffre au câble.

Le vieux guerrier : Bon aller les p'tiots, ça vous dit d'l'ouvrir un peu c'te coffre et d'voir c'qu'y a d'dans? Vu l'poids qu'y fait, doit être bien rempli, pour sûr !

Il allait ouvrir le coffre-trésor. L'amiral Karlzor nous avait interdis de l'ouvrir. Le guerrier allait nous faire tuer ! Je devais faire quelque chose. Je sortis mon pistolet et le tuais d'une balle dans la tête. Puis je me téléportais dans le ratvion

Ditz : Accélère ! Il faut qu'on parte le plus vite possible !
Copilote : Pourquoi ?
Ditz : Obéit !