[R]Eclaireur

Il en était sûr. Il le savait depuis que ses oreilles avaient surpris le rapport de la patrouille qui agissait le long du Grand Océan. Ils auraient aperçu des voiles Elfiques se diriger vers les côtes Bretonniennes. Il fallait envoyer un éclaireur pour vérifier cela, et celui qui s’acquitterait de cette périlleuse mission serait tiré à la courte paille. Bien entendu, ce fut lui qui fut désigné. Il ne dérageait pas.
Pour le moment, il entendait le vent siffler dans ses oreilles tandis que son cheval galopait à pleine vitesse vers le lieu supposé du débarquement Elfique. La vaste plaine herbeuse qui s’étendait à perte de vue devant lui était ponctuée de quelques bois et succédait à l’énorme forêt de Rochebrune. La limite était stricte et nette, étrange déchirure naturelle qui marquait la frontière entre la sombre verdure de la forêt et le teint jauni de l’herbe durant l’été. Au dessus de sa tête, le ciel était lourd et chargé de sombres nuages qui annonçaient la tempête à venir. Cela signifiait que les Elfes n’auraient pas la possibilité de fuir par voie maritime, or c’était la seule option de retraite qui s’offrait à eux. Les oreilles pointues n’auraient le choix qu’entre la victoire et la mort.
Il tira d’un coup sec sur les mors, et son cheval stoppa net sa course. Devant lui se dessinaient les falaises qui séparent brusquement la plage de galets polis des collines verdoyantes du territoire de Guillaume. De là il pourrait remplir sa mission sans craindre d’être repéré par les habitants d’Ulthuan. D’un geste bref, il ordonna à son destrier de gravir la pente. Tous ses sens alertes, le jeune homme s’engagea sur le chemin rocailleux, son souffle se mêlant à celui de sa monture. Les pas réguliers de son cheval faisaient de temps en temps dévaler quelques cailloux du sentier qui venaient s’écraser avec fracas sur les galets en contrebas.
Il stoppa net. Il venait d’apercevoir un casque Elfique à seulement quelques mètres de là. Des éclats de voix lui parvinrent. Il était encore trop loin. Il mit pied à terre avec une précaution infinie. Tenant son cheval par la bride, l’éclaireur avança à pas comptés vers les positions ennemies. Petit à petit, il découvrit le bataillon Haut Elfe. A son grand soulagement, ils n’étaient qu’une poignée. Les éliminer serait aisé pour une force Bretonniene conséquente. Perdu dans ses pensées, il ne prêta pas attention au gros caillou en équilibre sur le bord. Il posa son pied dessus. Brusquement, le caillou partit dans le vide et toucha le sol dans un vacarme assourdissant. Le jeune homme retint son souffle. Il était comme pétrifié. En contrebas, les éclats de voix avaient cessés. De sa position, il pouvait apercevoir les Elfes qui, visiblement nerveux, cherchaient des yeux ce qui pouvait bien avoir provoqué ce bruit. Les adversaires aux oreilles pointues ne tarderaient pas à découvrir sa position. Mais la Dame du Lac devait avoir d’autres desseins en tête car quelque chose parut retenir leur attention. Quelque chose de plus important qu’un éventuel espion.
Mais là ! Il les voyait, les Haut Elfes ! Plus la peine de rester, maintenant, il avait accompli sa mission ! Et alors, pourquoi était-il en train de s’approcher discrètement ? Il ne le savait. En bas, des bribes de discussion lui parvinrent aux oreilles. Mais il n’y avait plus que des voix Elfiques, il y avait visiblement d’autres créatures en jeu. Celles-ci avaient un timbre de voix rauque, grave et puissant. Il avança de quelques centimètres encore. Cette fois, il apercevait un mage Haut Elfe qui devait être le chef de l’expédition, et entendait nettement la conversation qu’il tenait. Mais la courbe de la falaise lui cachait son interlocuteur.
- Ce sont les Slaans, semblait expliquer ce dernier.
- Et bien ils doivent s’être trompés, dit le mage Elfe, car nous sommes ici en pleine Bretonnie.
- Mais nous devions atterrir en Ulthuan !
- Et que venez-vous faire en plein pays Elfique ? s’enquit le mage.
- Nous sommes venus demander de l’aide à ceux qui, comme nous ont connu les Anciens, car la Lustrie est ravagée.
La Lustrie… Le jeune homme croyait bien en avoir entendu parler. Une jungle luxuriante recelant de trésors et de dangers.
- Nous sommes les habitants d’Ulthuan, déclara l’Elfe, et nous sommes venus en Territoire humain pour la même raison que vous !
Dame ! Ils n’étaient donc pas ennemis ! Il fallait tout de suite en référer aux commandants ! Il fit un demi-tour sur lui-même et resta figé sur place.
Deux petits yeux malsains l’observaient. Des Skavens ! Il se dégagea rapidement, saut sur son cheval et partit à bride abattue. Sa monture dérapa et vint s’affaler sur la plage de galets dans un hennissement plaintif. Avant même de s’être remis du choc, le garçon se remit en selle et partit au triple galop vers le campement Bretonnien. Au bout de quelques dizaines de mètres, il tourna la tête et aperçut des dizaines et des dizaines d’Hommes-Rats dévaler la pente et venir s’écraser sur les lignes Elfiques.


***


Fredemond de Brionne sauta sur son cheval. Après un bref coup d’œil pour ses chevaliers rassemblés en unités derrière lui, il ordonna la chevauchée vers la plage. Il comptait tenir les Elfes en respect avec certaines de ses unités tandis que les autres attaqueraient les Skavens. Son éclaireur lui avait expliqué que les habitants d’Ulthuan étaient venus en paix, mais il ne connaissait que trop l’intelligence et la malignité de ces créatures. Et que penser de ces soldats venus de Lustrie ? Il verrait sur place.
La terre tremblait sous le galop de milliers de chevaux Bretonniens et bientôt elle accueillerait les centaines de cadavres de leurs adversaires baignant dans leur propre sang. Gloire à la Dame du Lac !





Je précise que tout cela est un texte qui introduit un rapport de bataille. Je l'ai tiré de mon journal de Batailles.
Voilà, j'attends vos impressions...

Salut.

Ce texte est assez sympa bien qu'un peu expéditif.

Il y a tout de même des choses qui m'ont choquées.
Dans l'ensemble je certaines phrases assez lourde comme:

Citation :

Au dessus de sa tête, le ciel était lourd et chargé de sombres nuages qui annonçaient la tempête à venir.

Citation :

Il le savait depuis que ses oreilles avaient surpris le rapport de la patrouille qui agissait le long du Grand Océan.

Citation :

Devant lui se dessinaient les falaises qui séparent brusquement la plage de galets polis des collines verdoyantes du territoire de Guillaume.

La répétition de "qui",me gène un peu,tes phrases deviennent trop longues et je trouve qu'il est souvent difficile de bien visualiser la scène.

Citation :

De là il pourrait remplir sa mission sans craindre d’être repéré par les habitants d’Ulthuan.

Je trouve cette qualification un peu maladroite.
Tu devais certainement être à cours d'idées pour qualifier les elfes hauts de cette façon,nan?

Citation :

Il ne le savait. En bas, des bribes de discussion lui parvinrent aux oreilles.

Le "aux oreilles" est en trop je pense.

Citation :

Mais il n’y avait plus que des voix Elfiques, il y avait visiblement d’autres créatures en jeu.

Répétition.

Citation :

- Nous sommes venus demander de l’aide à ceux qui, comme nous ont connu les Anciens, car la Lustrie est ravagée.

Qui parle?
Les slanns?
Depuis quand ceux-cis parlent ils autrement que par parabole.
De plus, ils n'ouvre la bouche que très (très) peu.
A moins que la personne répondant à l'elfe ne soit un skinq.
Depuis quand les hommes lézard comptent ils sur les autres races pour les aider?

Citation :

- Et que venez-vous faire en plein pays Elfique ? s’enquit le mage.

Ils n'y sont pas encore,le venez ne convient pas,à remplacer par "vouliez",de plus le verbe "faire",est trop simple je trouve.Préférer "trouver".
Pour ce qui est du fait d'aller en Ulthuan,je me le demande aussi.

Citation :

- Nous sommes venus demander de l’aide à ceux qui, comme nous ont connu les Anciens, car la Lustrie est ravagée.

Les elfes ont conus les anciens? J'étais pas au courant.
Mais je me demande tout de même ce que de pauvres elfes peuvent faire pour aider les favoris des anciens...

Citation :

Il se dégagea rapidement, saut sur son cheval et partit à bride abattue.

Sauta

Citation :

Sa monture dérapa et vint s’affaler sur la plage de galets dans un hennissement plaintif.

"Alla" conviendrait mieux nan?

Avant même de s’être remis du choc, le garçon se remit en selle et partit au triple galop vers le campement Bretonnien.

Répétition

Citation :

....milliers de chevaux Bretonniens ...

Tant que ça?

Citation :

Et que penser de ces soldats venus de Lustrie ? Il verrait sur place.

Citation :

...elle accueillerait les centaines de cadavres de leurs adversaires baignant dans leur propre sang.

Chaos bret,même combat

Bon bah voilà,j'ai un peu(beaucoup) critiqué,mais je n'ais pas la science infuse....
Sinon,un point remarquable,je n'est détécté aucune faute de conjugaison,grammaire ou orthographe.

Bonne continuation.
Je trouve le texte syma sinon et je te met 7.
Par contre,essaye de te mettre la peau du lecteur une fois que tu as terminé ton texte,ça te permettra de pofiner un peu,et ça nous permettrait de comprende plus facilment l'histoire.

Ps:je c'est je suis très pinailleur .
Ps 2:les fautes d'ortographes............je crois que j'en est ais fais plus que toi .




[/quote]

Citation :

Dans l'ensemble je certaines phrases

???

Citation :

Nan

Français ça?

Citation :

ceux-cis

Voyons...

Citation :

conus

Ils ne les ont pas connus, mais leurs ancètres...De plus, ce n'est pas Télépathie, plutôt que parabole que tu voulais dire???

Citation :

détécté

Pas d'accent, où, cherche...

Citation :

pofiner

Paufine tes réponses voyons...

Citation :

comprende

Citation :

facilment

Voyons, c'était facil...

Citation :

je c'est

Moi, je ne sais pas où tu vas trouver tes idées de fautes...

Citation :

ais

No comment...

Citation :

d'ortographes

Et ça, tu l'as bien marqué...

Ton texte était très bien, malheureusement, ces fautes en rendent la lecture difficile, c'est, je te l'avoue, plutôt génant...
Si quelqu'un arrive à trouver des fautes dans cette correction de correction, bravo à lui...

moi aussi j'ai repéré plusieurs truc:

Citation :

Il tira d’un coup sec sur les mors, et son cheval stoppa net sa course.[...] Il stoppa net.

la répétitiotn, je sais c'est au début d'un autre paragraphe, mais ça n'empêche pas qu'on se souvient du premier, donc c'est répétitif!

et je trouve que les action de la nouvelle vont trop vite, ça passe d'un moment, a iun autre, c'est trop succins!
néanmoins, ça me plait, je te mets 7, mais la prochaine fois, essaye de faire plus détaillé, malgré que le décort soit bien décrit, puiqu'on se l'imagine facilement.

Et voici mon texte, auto-corrigé par moi. Je m'excuse auprès de Yh-dée pour n'avoir que peu tenu compte de ses -nombreuses- remarques. Mais je n'ai pas fait la sourde oreille pour autant! Merci pour vos réponses, en tous les cas!


Il en était sûr. Il le savait depuis que ses oreilles avaient surpris le rapport de la patrouille qui agissait le long du Grand Océan. Ils auraient aperçu des voiles Elfiques se diriger vers les côtes Bretonniennes. Il fallait envoyer un éclaireur pour vérifier cela, et celui qui s’acquitterait de cette périlleuse mission serait tiré à la courte paille. Bien entendu, ce fut lui qui fut désigné. Il ne dérageait pas.
Pour le moment, il entendait le vent siffler dans ses oreilles tandis que son cheval galopait à pleine vitesse vers le lieu supposé du débarquement Elfique. La vaste plaine herbeuse qui s’étendait à perte de vue devant lui était ponctuée de quelques bois et succédait à l’énorme forêt de Rochebrune. La limite était stricte et nette, étrange déchirure naturelle qui marquait la frontière entre la sombre verdure de la forêt et le teint jauni de l’herbe durant l’été. Au dessus de sa tête, le ciel était lourd et chargé de sombres nuages qui annonçaient la tempête à venir. Cela signifiait que les Elfes n’auraient pas la possibilité de fuir par voie maritime, or c’était la seule option de retraite qui s’offrait à eux. Les oreilles pointues n’auraient le choix qu’entre la victoire et la mort.
Il tira d’un coup sec sur les mors, et son cheval stoppa net sa course. Devant lui se dessinaient les falaises qui séparent brusquement la plage de galets polis des collines verdoyantes du territoire de Guillaume. De là il pourrait remplir sa mission sans craindre d’être repéré par les habitants d’Ulthuan. D’un geste bref, il ordonna à son destrier de gravir la pente. Tous ses sens alertes, le jeune homme s’engagea sur le chemin rocailleux, son souffle se mêlant à celui de sa monture. Les pas réguliers de son cheval faisaient de temps en temps dévaler quelques cailloux du sentier qui venaient s’écraser avec fracas sur les galets en contrebas.
Il se figea soudain. Il venait d’apercevoir un casque Elfique à seulement quelques mètres de là. Des éclats de voix lui parvinrent. Il était encore trop loin. Il mit pied à terre avec une précaution infinie. Tenant son cheval par la bride, l’éclaireur avança à pas comptés vers les positions ennemies. Petit à petit, il découvrit le bataillon Haut Elfe. A son grand soulagement, ils n’étaient qu’une poignée. Les éliminer serait aisé pour une force Bretonniene conséquente. Perdu dans ses pensées, il ne prêta pas attention au gros caillou en équilibre sur le bord. Il posa son pied dessus. Brusquement, le caillou partit dans le vide et toucha le sol dans un vacarme assourdissant. Le jeune homme retint son souffle. Il était comme pétrifié. En contrebas, les éclats de voix avaient cessés. De sa position, il pouvait apercevoir les Elfes qui, visiblement nerveux, cherchaient des yeux ce qui pouvait bien avoir provoqué ce bruit. Les adversaires aux oreilles pointues ne tarderaient pas à découvrir sa position. Mais la Dame du Lac devait avoir d’autres desseins en tête car quelque chose parut retenir leur attention. Quelque chose de plus important qu’un éventuel espion.
Mais là ! Il les voyait, les Haut Elfes ! Plus la peine de rester, maintenant, il avait accompli sa mission ! Et alors, pourquoi était-il en train de s’approcher discrètement ? Il ne le savait. En bas, des bribes de discussion lui parvinrent aux oreilles. Mais il n’y avait plus que des voix Elfiques, il y avait visiblement d’autres créatures en jeu. Celles-ci avaient un timbre de voix rauque, grave et puissant. Il avança de quelques centimètres encore. Cette fois, il apercevait un mage Haut Elfe qui devait être le chef de l’expédition, et entendait nettement la conversation qu’il tenait. Mais la courbe de la falaise lui cachait son interlocuteur.
- Ce sont les Slaans, semblait expliquer ce dernier.
- Et bien ils doivent s’être trompés, dit le mage Elfe, car nous sommes ici en pleine Bretonnie.
- Mais nous devions atterrir en Ulthuan !
- Et pourquoi désiriez-vous aller en plein pays Elfique ? s’enquit le mage.
- Nous sommes venus demander de l’aide à ceux qui, comme nous ont connu les Anciens, car la Lustrie est ravagée.
La Lustrie… Le jeune homme croyait bien en avoir entendu parler. Une jungle luxuriante recelant de trésors et de dangers.
- Nous sommes les habitants d’Ulthuan, déclara l’Elfe, et nous sommes venus en Territoire humain pour la même raison que vous !
Dame ! Ils n’étaient donc pas ennemis ! Il fallait tout de suite en référer aux commandants ! Il fit un demi-tour sur lui-même et resta figé sur place.
Deux petits yeux malsains l’observaient. Des Skavens ! Il se dégagea rapidement, sauta sur son cheval et partit à bride abattue. Sa monture dérapa et vint s’affaler sur la plage de galets dans un hennissement plaintif. Le jeune homme tomba face contre terre sur l'étendue de galets. Les Elfes et les Hommes Lézards le dévisagèrent, surpris, puis en colère. Mais un sifflement sinistre retentit du haut de l'affleurement rocheux, alors même qu'une cloche se mit à retentir, froide, sombre. L'éclaireur tira les rènes de sa monture blessée. Les Elfes faisaient face aux skavens, et pendant que leurs archers se mettaient en position, les hommes lézards se mirent à avancer vers lui. Il paniqua. Affolé, il lâcha les rennes, tenta de reculer et trébucha sur les jambes de sa monture, tombeant à nouveau, pendant que les premières volées flèches elfiques s'envolèrent dans les airs, et que la cloche infernale achevait son treizième coup. Un saurus leva son arme. le cheval prit peur et hénnit violemment. le reptile n'avait jamais entendu ce cri, et stoppa net dans son élan. Puis il se ressaisit et abattit son arme sur le destrier, sui s'était relevé. Celui-ci fut blessé à la cuisse, et se cabra de douleur. Le couinement des skavens abattus par des traits Elfiques résonnaient dans les oreilles du jeune homme alors qu'il tentit de reprendre le contrôle de sa monture affolée. Le saurus s'apprêtait à frapper de nouveau, mais le Mage d'Ulthuan lui hurla quelque chose dans une langue que l'éclaireur ne connaissait pas. Le monstre au dos couvert d'acailes se détourna du Bretonnien pour faire face aux hommes rats qui annoncaient leur charge en hurlant. Il adressa une dernière prière à la Dame du Lac, et réussit enfin à dompter son cheval. Le garçon se remit en selle et partit au triple galop vers le campement Bretonnien. Au bout de quelques dizaines de mètres, il tourna la tête et aperçut des dizaines et des dizaines d’Hommes-Rats dévaler la pente et venir s’écraser sur les lignes Elfiques.


***


Fredemond de Brionne sauta sur son cheval. Après un bref coup d’œil pour ses chevaliers rassemblés en unités derrière lui, il ordonna la chevauchée vers la plage. Il comptait tenir les Elfes en respect avec certaines de ses unités tandis que les autres attaqueraient les Skavens. Son éclaireur lui avait expliqué que les habitants d’Ulthuan étaient venus en paix, mais il ne connaissait que trop l’intelligence et la malignité de ces créatures. Et que penser de ces soldats venus de Lustrie ? Il verrait sur place.
La terre tremblait sous le galop de milliers de chevaux Bretonniens et bientôt elle accueillerait les centaines de cadavres de leurs adversaires baignant dans leur propre sang. Gloire à la Dame du Lac !

MDR,Roujio......

C'est vrais que je me permet de critiquer alors que mes fautes sont légions.Mais j'essaye de faire avancer la chose........

Citation :

Dans l'ensemble je certaines phrases


???

J'ai oublié un mot,je devais penser à autre chose....ça s'appelle de l'écriture automatique.

Citation :

Nan


Français ça?

Non

Citation :

ceux-cis


Voyons...

Alors là j'ai rien à dire,je ne sais même pas comment ça s'écrit.

Citation :

Ils ne les ont pas connus, mais leurs ancètres...De plus, ce n'est pas Télépathie, plutôt que parabole que tu voulais dire???

Les ancètres des elfes qui étaient des elfes ont connus les anciens??
Les slanns parlent effectivement par télépathie,mais aussi par parabole(voir LA hommes lézards).........

Citation :

détécté


Pas d'accent, où, cherche...

-Re oups(décidément)
-c'est vrai,y'en a??
-flemme....dodo

Citation :

pofiner


Paufine tes réponses voyons...

Faut surtout que je paufine mon orthographe.

Citation :

facilment


Voyons, c'était facil...

Facile de chercher la ptite bête surtout..

Citation :

je c'est


Moi, je ne sais pas où tu vas trouver tes idées de fautes...

Je ne sais pas non plus.

Citation :

ais


No comment...

J'hésite toujours entre "ais" et "ais",je ne sais pourquoi.

Citation :

d'ortographes


Et ça, tu l'as bien marqué...

L'orthographe n'est pas mon fort mais il sagit ici en majoritée(?) de fautes d'inattention(?) où de fautes de frappe.

Citation :

Si quelqu'un arrive à trouver des fautes dans cette correction de correction, bravo à lui...

Un grand bravo à moi!! :king:

Citation :

Ps 2:les fautes d'ortographes............je crois que j'en est ais fais plus que toi .

Parfois,on ne voit que ce qui nous arrange.....
Comprenne qui pourras....

Je lirais le texte plus tard,et j'éditerais dans ce message.[/quote]

Citation :

Alors là j'ai rien à dire,je ne sais même pas comment ça s'écrit.

ceux-ci ...

Citation :

-Re oups(décidément)
-c'est vrai,y'en a??
-flemme....dodo

on dirait du moi...

Citation :

Je ne sais pas non plus.

ben moi non plus...

c'était nul...

Citation :

J'hésite toujours entre "ais" et "ais",je ne sais pourquoi

c'est vrai qu'entre AIS et AIS, y'a du choix...

Citation :

Un grand bravo à moi!!

Bravo!

-Pour la Dame!-

Il reste aussi

Citation :

je n'est

qui s'écrit "je n'ai" plutôt, non???
Par contre, je ne retrouve plus le ais, je pense qu'une certaine personne de mauvaise fois l'aurait, comment dire, édité...

Roujio, assassin en devenir: 1
Yh-Dée:0 (mauvaise Yh-Dée de s'attaquer à moi...)

ah!
ça s'est vachement amélioré, je dirai même presque parfait!

Citation :

abattit son arme sur le destrier, sui s'était relevé

ça serai pas "qui s'était relevé"?

bechou: 1
Roujio, assassin en devenir: 1
Yh-Dée:0 (mauvaise Yh-Dée de s'attaquer à moi...)

j'avais oublié de voiter la dernière fois, là je te mets 10, sans hésiter!

Yh-Dée

Citation :

Bon bah voilà,j'ai un peu(beaucoup) critiqué,mais je n'ais pas la science infuse....

Roujio:

Citation :

Par contre, je ne retrouve plus le ais, je pense qu'une certaine personne de mauvaise fois l'aurait, comment dire, édité...

Hum,me corriger est une chose,mais de là à "m'insulter" il y a une limite.Ouvre les yeux,et reste poli......

Citation :

J'hésite toujours entre "ais" et "ais",je ne sais pourquoi


c'est vrai qu'entre AIS et AIS, y'a du choix...

M'en fout j'étais fatigué....

Citation :

Roujio, assassin en devenir: 1
Yh-Dée:0 (mauvaise Yh-Dée de s'attaquer à moi...)

Quel modeste tu fais........

Effectivement,le texte est bien mieux comme ça,mais malheureusement je t'avais déjà noté....

Citation :

bechou: 1
Roujio, assassin en devenir: 1
Yh-Dée:0 (mauvaise Yh-Dée de s'attaquer à moi...)

En effet, la modestie a toujours été mon plus grand atout,

Citation :

"m'insulter" il y a une limite.Ouvre les yeux,et reste poli...

Désolé, ne le prend pas mal...

Très beaucoup mieux ce texte, dommage que on ne puisse modifier son vote...