[R]Liberté!!(attention, les skavens ne gagnent pas là).

Le matin, encore un jour de labeur, les sbires du maître nous lèvent manu militari, pas de nourriture aujourd'hui, seulement un peu d'eau. Les sous fifres de SQUEEL quand à eux se repaissent de viandes et d'alcool.
Encore une journée à se battre pour survivre. Les esclaves de leur race sont arrogants et se croient supérieur à nous. Nous autres humains vivront sous les fouets et les lames de cette sale engeance. Les esclaves skavens bénéficient d'un petit traitement de faveur. Ils ont le droit de goûté à nos chairs!Hier j'ai vu partir Heinrich, ces esclaves ce sont jetés à la gorge ne lui laissant aucune chance. Je n'ai rien pu faire. Il a disparut sous les crocs de ces bêtes immondes. Combien de jours faudrait-il pour que notre servitude soit rejointe par le doux baiser de la mort?
J'ai perdu la notion du temps, ici tout est rythmé par les coups de fouets de nos tortionnaires. Ils lèvent leurs fouets et sur un geste de la main, nous partons vers les mines. Les mines, combien de mes compagnons ai-je vu muté à cause de leur minerai magique qu'ils appellent Malepierre? Nous creusons, nous creusons toujours avec la même peine, et nous sommes de plus en plus fatigués. Ils en ont besoin de toujours plus pour le fonctionnement de leurs machines infernales.
Mon corps est couvert des marques des fouets et je le vois qui commence à muter. Mais la colère coule dans nos veines. Mes compagnons et moi, nous nous bâterons pour notre liberté. Nous n'attendons qu'un seul instant, le jour où les skavens nous railleront, nous prendront les armes et nous recouvreront notre LIBERTE!!!
Ca y est, la mine résonne des coups de pioches et des cris des mourants. Les roues tournent inlassablement pour remorquer cette saleté de malepierre que les skavens semblent tellement apprécier. La mine, il y fait si noir que même les yeux exercés d'un nain ne pourraient percer la pénombre. Nous levons et abattons nos pioches toujours avec la même peine. Ces lourds colliers d'aciers qui nous pendent aux cous pèsent sur nos corps frêles et fatigués, meurtris par les fouets de nos maîtres. Aujourd'hui Boris et moi devrons porter les sacs remplis de malepierre jusqu'aux roues, elles me font penser à mon pays et à ma famille, lorsque j'étais encore LIBRE. Je travaillais au moulin, vérifiant chaque rouage et prenant soin du grain si précieux en ces temps de guerres. Mais la guerre et loin pour l'instant mais tout le monde se pose la même question: combien de temps les défenseurs de Middenheim tiendront-ils? Les troupes d'Archaon avanceront malgré les pertes.

Un fouet vient me sortir de mon rêve et le peu de réconfort que j'y avais trouvé a disparut quand mes yeux s'ouvrirent sur la réalité. J'étais enfermé, je ne savais pas exactement où j'étais. Je me remis à mener la malepierre vers les roues qui les amènerons vers les quartiers supérieurs où nous ne pouvons nous aventurer. Ces quartiers sont réservés au peuple de Squeel et à ses guerriers. Ici tout est noir, nous sommes entourés par des centaines d'yeux rouges qui nous guettent tout le temps. Ils se jetteront sur nous aux moindres signes de fatigue et de résiliation. Sur un ordre de nos maîtres, nous changeons d'équipes, deux skavens viennent prendre notre place en nous lançant des regards noirs. Nous prenons pelles et pioches pour retourner au plus profond de la mine avec les nôtres. Nous creusons, toujours, toujours, encore un de mes compagnons a disparut à son tour. Je me dit que lui a de la chance, ils s'en va maintenant auprès de sigmar et de ses ancêtres. La journée passe et nous continuons à creuser mais les skavens ont besoin de toujours plus de malepierre et nous nous demandons pourquoi.

Je ne me souviens pas comment nous sommes arrivés ici. Je cherche au plus profond de mes souvenirs et je revois l'image des skavens envahissant le village où je suis née. La milice avait été écrasée et nous nous étions réfugiés dans le temple de sigmar. Le chef de notre village réunissait les hommes forts et vaillants qui restaient pour tenter de repousser ces rejetons du chaos. Nous saisîmes haches fourches piques et toutes les autres armes capable de tuer ou de blesser. Les femmes pleurèrent et ne voulerent pas nous laisser partir. Je dit à la mienne:" Prie pour moi et pour notre enfant, vit et soit heureuse si jamais je ne reviens pas". Nous partîmes. Le prêtre ouvrit les portes et tout en avançant, nous priâmes pour notre salut. Ca y est, nous étions dans le village et nous trouvâmes les skavens en train de se repaître des cadavres de nos camarades. Nous chargeâmes les skavens et nous frappâmes de taille et d'estoc mais il en venait toujours plus. Soudain, un grand skaven s'avança et lança un cri qui nous glaça le sang. Soudain, des centaines de skavens surgirent de nos flancs. Aucuns ne portaient d'armes mais seulement des filets où ils nous y emprisonnèrent. Le maître des skavens ordonna la retraite satisfait de son butin. Ils prirent aussi toutes les vivres qu'ils purent ne laissant rien derrière eux.

Un autre coup de fouet vint me brûler la chair de mon dos. Les maîtres nous fîmes rejoindre les enclos. Ils nous donnèrent du pain de la viande et de la bière. Pourquoi ce traitement de faveur aujourd'hui? Que se passait-il donc? Un émissaire du seigneur Squeel vint parler à nos maîtres. Archaon levait ses armées et Squeel lui avait prêté serment d'allégeance. Il devait attaquer les villages qui se trouvaient en banlieue de Middenheim. Squeel avait donc besoin de toutes ses forces de combat pour les détruire ! Même nous devions participer à cette guerre. Je voyais là une occasion de nous enfuir et je fit donc part de mon plan à mes compagnons.
Enfin, nous montons vers les niveaux supérieurs, une multitude de guerriers armés de lances et de boucliers s'amassent derrière nous, comme dans toutes les batailles mettant en scène des skavens, les esclaves de autres races sont envoyés épuiser les munitions ennemis et peut-être emporter des soldats ennemis en plus. Pour la première fois depuis de nombreuses semaines, je revois le soleil, mais cela n'est pas aussi agréable que je le pensé, il me blesse les yeux et m'éblouit. Après plusieurs minutes j'arrive enfin à rouvrir les yeux et je découvre le village que nous devront attaquer. Nous nous tenons aux abords d'une forêt d'épineux tandis que le village se trouve en contrebas. Déjà, d'énormes canons alimentés par des morceaux de malepierre pure se placent sue les positions surélevées. Mes compagnons et moi fûmes placés aux premières lignes formant une tache parmi la marée de fourrure se trouvant autour de nous. Sur un ordre de Squeel, des skavens nous ôtâmes les chaînes et les colliers entravant nos mouvements. Le seul problème était que des chefs de meutes armés de fouets avanceraient dans notre sillon. En face de nous, la milice se mettait en place, quelques hommes braves s'armèrent des piques, lances et haches pour tenter de défendre leurs foyers et leurs vies.
Ce que les espions de Squeel ne savaient pas c'était qu'une importante force du bien nous attendait. Vite, il fallait que j'expose mon plan à mes compagnons. J'en fis part avant que Squeel ordonne la charge. Il lança un cri qui fit expulser le musc de la peur des esclaves skavens et des plus lâches de ses guerriers. La masse de guerriers chargea en direction du village dans le plus grand désordre tandis que nous, humains, essayèrent de nous libérer de nos tortionnaires dans le feu de l'action tout en avança et en essayant de se placer au milieu de cette marée de fourrure. Le premier rang de guerriers atteignait la milice les écrasants sous le nombre mais furent abattus par moult archers elfes à l'oeil perçant. Leur chef était un certain Lydéric qui abattait deux douzaines de skavens avec épée et arc. Les elfes arrivant à court de projectiles sonnèrent du cor et les chevaliers du loup blanc chargèrent le flanc. Armés de marteaux et de lances, les chevaliers détruirent les rats malheureux se trouvant sur leur passage. Ecrasant la vermine sous le poids de la charge de leurs destriers. Nous de notre coté, nous nous battions comme des tueurs enragés. Frappant tout les skavens passant a portée de bras. Les skavens prirent la fuite et rejoignirent l'arrière garde et les réserves se trouvant dans la forêt.
Nous vîmes là notre seule chance de salut, nous prîmes les armes et nous nous dirigeâmes vers les lignes des elfes. En voyant la notre avancée, ils prirent les épées et attendirent l'ordre de leur commandant. Mais celui si qui avait la vue la plus perçante remarquât que ce n'était pas des hommes rats qui les chargèrent mais seulement des hommes cerclés de cicatrices qui tentaient désespérément de rejoindre une position sûr. Pour ne pas commettre d'erreurs, Lydéric décida tout de même de les capturer et des les enfermer non pas comme prisonniers de guerre mais par précautions. En voyant les elfes prenant leurs armes, nous les déposâmes et nous nous rendîmes. Quand les chevaliers eurent finis avec les skavens les plus acharnés, un éclair d'énergie vert plongea en plein milieu de leur lignes en tuant des centaines ne leur laissant aucune chance de survie. L'éclair vert carbonisât les chevaliers et leurs montures et laissât derrière lui des corps méconnaissables. Les survivants reformèrent la ligne et rejoignirent les elfes.
Soudain, une clameur montât de la forêt, Garadrim points de fer et ses tueurs fondirent sur les complexes machines skavens massacrant les servants.Ils se défendirent bravement (pour des skavens) mais moururent sous les coups des tueurs enragés. En ayant finit avec l'artillerie skavens, les tueurs continuèrent et prirent les guerriers par l'arrière. Les chevaliers du loup blanc et les elfes virent là une occasion de gagner la bataille. Les skavens furent pris en tenaille. Ils furent pris entre le marteau des hommes et l'enclume des nains. Squeel lui même fut tué et sa horde détruite. Je décrivis la scène depuis la hutte où nous étions enfermés car étant faîte de paille et de bois, je pouvais voir à travers les interstices. Quand Squeel fut tué et sa horde exterminée, Lydéric; Garadrim et le chef des chevaliers vinrent nous questionner. Je leurs narrât notre histoire et les trois chefs acceptèrent de nous mener à la cité du loup blanc. Notre emprisonnement était enfin terminé, nous nous retrouvions enfin en homme libre. Lorsque je posai la question pour connaître le sort de notre village, on nous répondit qu'il avait été brûlé et que tous les habitants massacrés par les hordes d'archaon. Tout en pleurant, je me dis que je combattrais aux côtés des forces du bien et vaincrais les forces d'archaon.

Bon il y en a un peu beaucoup mais je voulais pas mettre le texte un morceux.
Malheuresement, les skavens ne gagnent pas mais la prochaine fois, ils gagneront.

Bon alors très honnètement j'ai eut beaucoup de mal à accrocher.
Je n'ais pas relevé de monstruositées au niveau de l'orthographe,mais dans l'ensemble,certaines phrases trop longues et un nombre incalculable(il faut bien le dire),de répétitions alourdissent ton texte.Je pense que déjà,si tu essayais de corriger celà(surtout les répétitions),ce serait beaucoup plus agréable à lire.

Quelques exemples:


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Citation :

J'ai perdu la notion du temps, ici tout est rythmé par les coups de fouets de nos tortionnaires. Ils lèvent leurs fouets et sur un geste de la main, nous partons vers les mines. Les mines, combien de mes compagnons ai-je vu muté à cause de leur minerai magique qu'ils appellent Malepierre

Je pense aussi que le "leur" pourrais être remplacé par "ce".
Voir même remplacer "leur minerai",par cette roche,cela donne un coté dédaigneux qui va bien je trouve.

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Citation :

Enfin, nous montons vers les niveaux supérieurs, une multitude de guerriers armés de lances et de boucliers s'amassent derrière nous, comme dans toutes les batailles mettant en scène des skavens, les esclaves de autres races sont envoyés épuiser les munitions ennemis et peut-être emporter des soldats ennemis en plus.

La phrase est bisarement contruite et ce que j'ai surligné assez maladroit je trouve,enfin je n'aura&is formulé ça comme cela.

Enfin bon,je m'arrète ici...sinon l'histoire est assez amusante,même si une évasionest réellement inimaginable au sein du clan Morstwedd(mon clan).Il est assez dommage aussi de faire mourrir Squeel qui aurait dû s'échapper avec l'aide de quelques infiltrateurs....

Sinon,bonne continuation,essaye de pofiner un peu ce texte

C'est un bon texte, quelques lourdeurs dans le langage (oui normalement il n'y a pas de "u") comme des répétitions.
Le passage où l'homme se rappelle sa vie et l'attaque de son village et étrange au niveau du temps et cela gâche un peu le flashback...

Sinon c'est bien, l'histoire est bien trouvée, elle m'a bien plu.

Frak.

Bon en fait c'était mon premier récit et un autre et en cours avec plein d'action(elfes sylvains attaqué par les homme-bêtes, bretonniens arrive au secour, pris en embuscade par des skavens, elfes et hommes bottent le cul à tout le monde mais ... Je peut pas dire la fin).

Squeel.
Ps: ce récit là promets d'être super bien!!! Enfin c'est juste mon avis.

On l'attend de pied ferme.
Mais penses aussi à espacer un peu plus, ça facilitera la lecture.

Frak.