[R] De la Terre à Morrslieb ( Terminé)

Voici donc le début de mon nouveau récit. Le texte d' intro est completement inventé, ne courrez pas chercher votre codex pour savoir si c' est vrai, ça l' est, sauf pour le nom de l' auteur,cf le dos du codex que vous feuilletez furieusement en espérant trouver cette fichu citation...


" Morrslieb, la lune verte dont l' orbite change sans cesse, était de nouveau pleine pour treize jours. Pour la plupart des populations du Vieux Monde, ce ne pouvait être qu' un présage funeste, synonyme d' invasions du chaos, de bains de sang et d' une lutte acharnée pour la survie de leurs espèces; mais il est une race, tapie sous les villages, sous les villes des autres occupants de ce monde, dont le cœur se réchauffait à la vue du sublime satellite. Cette race avait cru, prospéré entre les jambes des habitants, et bientôt, elle avait acquis la conscience. Le premier rat qui leva la tête vers le ciel et vit Morrslieb y reconnu sa mère ainsi qu' une source de puissance qui ne pourrait être égalée. Avant même que les skavens ne préparent l' invasion du monde d' au dessus, ils songeaient déjà à poser la patte sur leur lune treize fois sacrée.
Il y eu des guerres et des paix parmi les peuples du dessus, et pendant ce temps là, la race skaven se fit plus forte, édifiant un empire sous les pieds de ceux qui seraient bientôt leurs esclaves, et jamais ses membres ne cessèrent de regarder Morrslieb, car jamais ils n' oublièrent qu' elle leur avait donné un passé et un présent, et il sera un temps ou ils se rappelleront qu' elle sera aussi leur avenir. Et, alors, les peuples du dessus connaitront l' enfer."

Essai sur l' origine et la vraie nature des hommes rats; Bagrian, érudit impérial. Texte gardé secret par le Conseil des Treize et annonçant la suprématie des skavens.


Kritislik se leva, annonçant le début de la réunion mensuelle du Conseil. Les douze membres, complétés par un treizième siège symboliquement vide en l' honneur du Rat Cornu, s' assirent afin de discuter de l' avancée du Grand Projet de Domination du Dessus mis en place par la toute première réunion des Treize.
" Il est clair-clair que notre domination totale approche, commença le Seigneur Devin, mais à chaque-chaque fois elle doit être repoussée. Il manque quelque chose-chose."
Le seigneur Morskittar se leva, furieux.
" Si les clans arrêtaient leurs petites-petites intrigue un peu plus de cinq minutes, il serait plus facile-facile d' agir de concert!"
Il foudroya du regard le Seigneur Nurglitch, qui haussa les épaules.
" Comment prêcher l' unité-unité pour un avenir de pillages et de ruine des autres races-races si il y a déjà des dissensions entre nous?!"
L' Archi-Seigneur de la peste se leva à son tour.
" Il est dans notre nature-nature de comploter. Le Grand Rat Cornu, qu' il soit mille fois béni-béni, nous a créer ainsi, et nous devons faire-faire avec. Chassez le naturel et il revient au galop-galop. Mais je me doit de rappeler à mon honorable confrère que son armée aux portes-portes de ma citadelle est loin d' être invisible!! De plus-plus..."
"Il suffit, Seigneur Nurglitch, assez-vous. Vous aussi-aussi, Seigneur Morskittar. Vous règlerez vos différents sur le champ-champ de bataille! Il nous faut tenir compte de notre nature propre-propre, c' est certain. Cependant, le nombre-nombre de guerres intestines est en constante augmentation..."
Le Seigneur Vrisk Gratte le Fer se tassa dans son fauteuil sous l' œil sévère de Kritislik.
" ... et cela ne nous arrange guère. Mais nos seules-seules armées ne suffisent pas, et nous consommons plus-plus de malepierre que nous n' en extrayons. Si cette précieuse-précieuse ressource venait à nous manquer, nous ne pourrions plus rien-rien faire. Il nous faut-faut de plus prendre une décision en ce qui concerne le retour-retour de Nagash au Nagashizzar."
Le Seigneur Creuse les Terriers se leva.
" Laissons-le où il est! Il n' y à là-bas presque plus-plus de malepierre. Qui plus est, Nagash est trop faible-faible pour tenter quoi que ce soit, d' après les espions-espions qui y ont été envoyés, non?'
Creuse les Terriers se tourna vers le seigneur Sneek.
" Il est clair qu' il ne peut rien faire-faire pour le moment. Le Seigneur Liche est impuissant, je confirme-confirme..."
" Impuissant ne signifie pas mort-mort. Son cas peut donc-donc attendre -un peu -, mais cela-cela ne résous pas le problème de la trop-trop faible cadence d' exploitation de malepierre. Je crois savoir-savoir comment remédier à cela..."
Les onze autres membres du Conseils étaient désormais pendus aux babines du Seigneur Devin.
" Le Grand Rat Cornu, qu' il soit encore une fois béni-béni, m' a parlé pendant le passage-passage de la Lune Verte, il y a deux jours-jours."
Le seigneur Verminkin se leva.
" Alors-alors? Que vous a t' il dit? Que devons-nous faire-faire?"
Kritislik afficha un sourire dément.
" Il nous faut Morrslieb."

Voila! Suite dans vraiment pas longtemps (mais là, je sèche un peu. J' ai deux tonnes d' idée, il faut que je trie et que je choisisse...). Vos commentaires, etc, seront les bienvenus!

Trés bon début; j'imagine la façon dont Kritislik informe les autres de ce qu'ils doivent faire avec style . Vivement la suite ! !

Nurglitch se leva.
" Si telle-telle est la volonté du Rat Cornu, alors il n' y a même pas à débattre de la question. Mais il reste-reste un problème fondamental: comment enverrons-nous sur la Lune de Malepierre nos esclaves, et surtout, comment récupèrerons-nous le minerais-minerais extrait? Les précédents débats du Conseil à ce sujet ont lamentablement échoués, et ont aboutis à des tentatives farfelues-farfelues au possible..."
" J' ai réfléchi aux problème, et voyez-vous, le Rat Cornu a eu la bonté de m' éclairer sur ce point-point. Nous irons sur Morrslieb dans une gigantesque fusée de métal-métal, et nous ferons faire le même-même voyage à la malepierre extraite, mais dans le sens-sens inverse."
L' Archi-Seigneur de la Peste se rassit, éberlué. Le Seigneur Devin prit le temps d' examiner chacun des seigneurs assis autour de la table de malepierre polie.
" Seigneur Morskittar, vous et votre clan serez bien sûr-sûr chargés de la construction de la fusée-fusée."
" Ce sera un honneur, mais... nos fusées-fusées actuelles ne sont que des bombes! De plus, il nous est impossible d' atteindre une distance aussi-aussi éloignée..."
Kritislik lui jeta un regard noir.
" ... mais nous ferrons ce que nous-nous pourrons."
" Bien-bien. Les autres clans sont priés d' apporter toute l' aide nécessaire au clan Skryre pour la réalisation du projet-projet. Il est clair que nous auront besoin-besoin d' une main d' œuvre forte..."
Le seigneur Verminkin sourit.
" ... a bas prix ( le museau du Seigneur du clan Moulder perdit toute couleur), ainsi que de beaucoup-beaucoup de malepierre, d' esclaves et d' or, au nom du Conseil, bien sûr."
Les visages des autres seigneurs se décomposèrent radicalement. Toute la gloire reviendrait au clan Skryre, comme d' habitude, et eux seraient rackettés au nom du Rat Cornu. Et en plus ils n' avaient pas la possibilité de poser leur véto puisque c' étaient les deux seigneurs les plus puissants qui avaient prit cette décision.
" Si ce plan réussi-réussi, la malepierre sera bien entendue partagée entre tous-tous les seigneurs de la ruine, puisque Morrslieb nous appartient à tous-tous."
Ce fut au tour du visage de Morskittard de se décomposer, tandis que les autres skavens autour de la table échangeaient des sourires ravis.
" Personne ne voit d' objection? Non-non? De toutes façons, je m' en fiche-fiche. Je pose la question par pure-pure formalité. Et bien il me semble que nous avons tous-tous du travail. Allons."
Pakrit le Gras se leva.
" Attendez, attendez une minute-minute... Que compte faire-faire l' ordre des prophètes gris pour soutenir le clan Skryre? Il me semble que vous avez éludé-éludé la question..."
Kritislik pâlit.
"Eh bien, je... nous... enfin, nous ferons des prières-prières au Rat Cornu et..."
" Oui-oui, enfin, ça, c' est le minimum syndical, il me semble... Parlons plutôt d' aide-aide financière..."
"Nous ferons... ce que nous ferons-ferons! Allez, maintenant, zut!"
Les seigneurs se levèrent et quittèrent la salle, laissant le Seigneur Devin maudire ses confrères beaucoup trop observateurs à son goût. Comment allait-il s' y prendre pour les évincer s' ils se rebellent pour un peu d' argent? Grommelant sur la piètre qualité des autres seigneurs qui osaient le prendre à parti, Kritislik se leva de son siège et alla se poster à l' autre bout de la table, face au siège vide dédié au Rat Cornu.
" Et maintenant, je fais quoi-quoi? Vous ne m' avez guère laissé d' explications, oh puissant seigneur de tous-tous les rats... J' ai un peu l' impression que vous m' avez laissé tomber-tomber."
Le Seigneur Devin se dirigea vers la sortie. Les gardes étaient déjà partis, il devrait ouvrir la lourde porte seul. Pestant contre ces foutus albinos qui ne faisaient pas leur boulot, le skaven se prépara à enfoncer la porte avec un sort lorsque une puissante bourrasque le déstabilisa.
" Et bien, mon fils-fils, je trouve que tu ne t' en est pas trop-trop mal tiré, niark, niark , niark..."
La voix venait de derrière son dos. Elle était nasillarde et ressemblait au couinement de milliers de rongeurs, mais elle était aussi forte et terrifiante. Le Seigneur Devin se retourna et failli avoir une syncope: en lieu et place du treizième siège se trouvait une fissure béante dans la réalité, et au milieu de cette fissure, un œil rouge, immense, perçant et d' une dureté à faire trembler de peur les plus aguerris des soldats des autres races. Le Seigneur des prophètes gris tremblait comme une feuille tandis que l' œil le dévisageait.
" Je ne t' ai pas donné-donné les meilleurs subordonnés qui soient, mais jusqu' a récemment, je ne savait pas moi-même qui j' allait honorer-honorer de ma présence et considérer comme mon champion le plus-plus digne d' attention... Vous m' avez tous bien-bien servis, mais ton esprit tortueux me plait. Tu as surpassé les autres-autres, niark, niark, niark..."
Kritislik se jeta à plat ventre, la queue entre les jambes.
" Rat Cornu? Est-ce vous, ôh plus-plus puissant des dieux?"
" Et qui veut tu que ce soit d' autre-autre? Niark, niark! Décidément, j' ai bien fait de vous créer ainsi. J' me marre bien-bien avec vous comme pantins! Mais soit un peu sérieux, veut-tu, ta tenue manque-manque de rigueur. Lève-toi, Kritislik, et écoute-écoute. Je vais te dévoiler-dévoiler comment aller jusqu' a votre mère à tous..."
Le Seigneur passablement effrayé se releva et réussi à regarder droit dans la fissure warp. Il réussit même à poser sa question.
" Notre mère, plus-plus grand des puissances démoniaque? Que voulez-vous dire-dire?"
" Tu ne sait donc-donc pas que celle qui donna naissance à votre race grâce à moi est votre Lune-Lune Verte? Hum, c' est un fâcheux contre-temps, tu ne sait apparemment rien-rien de l' histoire de ton peuple. Il faudra que j' y remédie... plus tard-tard. Je vais t' indiquer comment construire-construire la machine qui mènera ton peuple-peuple à Morrslieb. Lorsque vous y serez, plus rien-rien ne pourra vous arrêter."
" Je vous écoute, Dieu des dieux..."


Les ateliers du clan Skryre étaient en pleine effervescence. Tous les esclaves et tous les technomages avaient été réquisitionnés afin de construire la fusée au plus tôt, et les plus éminent des Seigneurs technomages se creusaient la tête face à l' insoluble problème: comment envoyer un objet aussi massif dans l' espace?

La suite plus tard... Commentaires?

STOP!!! Mon clan est soumis au clan pestillien et chacun des clans de ce qui sont ici sont soumis aux 11 seigneurs
(le 12eme est un prophete on s'en fout -aie! non, pitier Slagash...). Soyons sous tes ordres: on a qu'a dire que les 11 clans vont racketter leurs subordonnes par des manieres plus ou moin catolique et pendant ce temps la tu raconte la construction! Ca ferait un petit concours! Remarque, moi, je serais content de prendre mon clan Skymors (creations d'unites en cours!!!).

Sinon c'est parfait. Sujet qui pourrai devenir completement impossible mais tres bien tenu par les couil.... Tres bien limiter.

Parce que tu as besoin d' ordres pour racketter les clans subordonnés? T' es sur que tu vas bien? T' as perdus tes poils skavenien en deux jours? Arg, un skaven-garou avec des souches glabres! T' as des liens avec le clan Moulder et t' est traficoté, c' est la seule explication... Il est trop laxiste envers ses subordonnés, le clan pestilens.

Je te rassure, je ne partirais pas dans toutes les directions et je ne vais raconter que la construction et l' hypothétique lancement de la fusée de Tintin...
Ton idée est carrément canon: concours: écriture des déboires des différents clans pour fournir tout ce qu' il faut au Conseil, avec bien sur des règles pour étayer tout ça... ' Faut en parler à notre vénéré Rat-Quisiteur. Mais vu le taux de participation au dernier concours... Au moins, tu y serais... et j' enverrais surement un truc aussi. Mais si on est seuls, tout ceci va faire long feu. Hum.
( Je tiens ici à assurer ma défense: lors du concours I, je n' avais même pas le nouveau codex, donc préparer une liste d' armée se serait révélé ardu. Milles pardons, oh grand Slagash qui à pourtant daigner nous botter les fesses et nous rappeler dans un message que le concours était d' actualité...)


La suite du texte, veuillez pardonner le HS...


La salle de réflexion des technomages était silencieuse au possible, et ce malgré la centaine de skaven qui s' y trouvaient. Morskittar leur avait donné l' ordre de ne pas sortir d' ici tant qu' ils n' avaient pas trouvé une solution et avait fait placer des gardes aux issues. Le Seigneur du clan Skryre se trouvaient parmi eux, réfléchissant intensément à une bonne excuse pour sortir de la salle quand les portes s' ouvrirent. Le Seigneur Devin Kritislik entra, amenant avec lui quatre esclaves portant une litière sur laquelle était calé un imposant coffre d' ébène.
" Seigneur Kritislik?! Euh, vous arrivez un peu-peu tôt, nous n' avons pas de solution pour la fusée-fusée..."
" J' en apporte justement une. Quelle chance-chance vous avez, hein?"
" Vous en...??"
Morskittar avait les yeux exorbités et bafouillait. Depuis quand, par le divin Rat Cornu, un fichu prophète gris, aussi doué soit-il, pouvait- il comprendre quoi que ce soit aux rouages et aux moteurs?
Le Seigneur des prophètes gris fit signe aux esclaves de poser délicatement la litière sur laquelle reposait le coffre contenant les plans offerts par le Rat Cornu. Un esclave maladroit fit pencher la litière plus que de raison et le précieux coffre s' écrasa sur le sol, libérant son précieux contenu.
"Imbécile! Ramasse, et plus vite-vite que ca!"
Le skaven se précipita pour ranger les parchemins dans la boite, tremblant de peur. Quand il eu finit, Kritislik lui planta un couteau dans la gorge et arracha une grande bouchée de chair du corps de l' esclave maladroit.
" Che dijait donch, ..."
Le Seigneur Devin avala.
"... j' ai les plans. Les seuls-seuls possibles. Donnés en patte-patte propre par le Rat Cornu!"
Morskittar s' étrangla. Par le Rat Cornu, et en main propre? Le Seigneur Kritiskik avait perdu la tête!
" Mon... Montrez-les moi, je vous dirais ce que je peut en faire-faire..."
Le Seigneur Devin se fit apporter le coffre. Les trois esclaves déposèrent très délicatement leur fardeau aux pieds des deux Seigneurs de la Ruine et le Seigneur des prophetes gris l' ouvrit, prit l' un des nombreux parchemins qui y étaient entassés et le donna à l' éminent technomage.
" Incroyable... C' est révolutionnaire!"
Tous les technomages de la salle, qui jusqu' ici tentaient une approche discrète, se jetèrent les uns sur les autres afin de regarder par dessus l' épaule de leur Seigneur.
" Nous commencerons la construction au plus tôt-tôt, soyez en sûr-sûr."
Le Plus Grand des prophètes gris sortit de la salle, laissant à Morskittar le soin de remettre de l' ordre dans l' amphithéâtre.


"Plus-plus haut, le levier, plus haut, par le Rat Cornu! Tu ne facilite la tâche-tâche à personne, là!"
L' esclave qui portait la pile de plaques de tôles pestait contre son compagnon d' infortune chargé de maintenir l' équilibre de toute la cargaison avec son levier. Le second ouvrier forcé remonta un peu son bâton, stabilisant la charge sur les épaules de son coéquipier.
" Bah voila, grogna le porteur, quand tu veut..."
" La ferme, haleta le second esclave, je fait ce que je peut-peut!"
Une ombre se dessina sur le sol, tout autour des deux travailleurs.
" Attention!!"
" Que?"
La huitième grue s' était écroulée sous le poids des barres de maintient de la fusée, tandis que les numéros quatre et sept ployaient et menaçaient de rompre elles aussi.
" Les rats-ogres! Stabilisez les grues, bon-sang! Vite-vite! Elles vont tomber-tomber!!"
La septième grues penchait dangereusement vers la droite. Le technomage hurlait à plein poumons.
" Mais vite, bande de demeurés!! Vite-vite, par le Rat Cornu!! A gauche, à gauche-gauche!! NON, L' AUTRE GAUCHE, IMBÉCILES!! NOOON!!"
Les douze rat-ogres agrippés aux roues de la septième grue furent projetés dans ses madriers tandis qu' elle se renversait, écrasant officiellement au passage vingt-huit esclaves portants des seaux de rivets, quinze esclaves riveteurs, le dépôt où l' on entreposait les matériaux, tout le flanc droit de la fusée ainsi que deux technomages passablement terrifiés.
Ikit la Griffe jeta un coup d' œil au chantier depuis le baraquement de commandement.
" On n' y arrivera jamais-jamais!"
Une autre grue se renversa, et Ikit se jeta par la fenêtre de son abri afin d' éviter d' être écraser avec. Peine perdue puisque la cargaison de la grue vint l' écraser. Ikit envoya valser les madriers et se releva.
" J' en ai marre, marre, MARRE!! J' en peut-peut plus!"

Autant le début me plaisait bien autant la, j'arrive pas trop a accrocher :/ je sais pas, pitetre l'idée de la fusée (d'un autre coté il n'y a pas 36 solutions pour allez sur Morrslieb), ou le manque de combat mais voilà, j'adhère pas . Ca reste néanmoins un bon texte, avec une bonne idée .

Avec tounnek sa ferait trois ...

Clan pestillien laxiste?! "vous ne voulez voulez pas obeir? Empoisonnez les tunnels!!!" mais je ferais surement le clan Skymors. Je disais donc racontons les intrigues et les coups bas!
TOUNNEK!!! DES IDEES!!! (reponse, oui-oui oh grand maitre)

Alors comme ca t' est pas emballé, Touneek, hein? Bon, je t' accorde qu' il ne risque pas d' y avoir de combats épiques ( encore que...) ni de bourrinage ultra-violent ( là aussi, c' est pas dit...) mais bon, il faut savoir rester calme et mesuré, parfois. Après, c' était soit la fusée, soit... hééé, tu vient de me donner une idée... Pardon, rectification du skaven: je viens d' avoir une idée. Après, p' t être que ca te bottera pas non plus. Mais bon.

Pour le concours, polo, tu compte en lancer un dans la section appropriée ou on envoie nos textes dans un poste de la section récit fait pour? J' attend que tu décide (ce qui est rare de ma part, soit en sûr...), et je suis derrière toi! (Loin derrière, en train de préparer mes couteaux de lancer. Comment ca, c' est déloyal? Depuis quand y a t' il quoi que ce soit de loyal chez les skavens?)

Euh... Pour la suite, il faudra attendre un petit peu... "Ma" nouvelle idée va me demander quelques réflexions... Ch' uis désolé. Si-si.

Pour le concours non merci je suis pas trop écriture, surtout sujet d'invention m'enfin je soutient et je lirai vos oeuvres avec plaisir .

Citation :

TOUNNEK!!! DES IDEES!!!

[HS] On écorche mon [divin ( ou pas)] nom et en plus on me donne des ordres, allez hop mon javelot rouillé dans la tete a polo et on n'en parle plus. [/HS]

Citation :

Après, c' était soit la fusée, soit... hééé, tu vient de me donner une idée...

C'était, bien sur, absolument (pas) prémédité hein ... on est d'accord.

On ecris du genre...
De la terre a Morslieb, ce qui se passe du cote du clan....... .

Voui, ca me semble très bien. Mais il va falloir rameuter quelques personnes parce que apparemment on ne peut pas compter sur Touneek. Beuh! ( Mais non, Toun' (super, le diminutif...), je ne veut pas te culpabiliser. Surtout pas, hein... N' oublie pas que je ne veut pas te culpabiliser, ne l' oublie pas, hein, surtout... et nous (oui, j' inclus polo, ch' uis sûr qu' il est d' accord) qui comptions sur toi! Comment ose tu? Mais je ne veut pas te culpabiliser.)
On fait un classement des œuvres? La palme d' or du clan qui en bave le plus?
Est ce qu' on donne des restrictions? Genre "au moins vingt-sept esclaves doivent mourir de façon atroce"?

Suite du texte


Morskittar entra dans l' immense grotte-atelier pour découvrir un chantier au bord du chaos. Trois autres grues venaient de s' effondrer et les huit dernières penchaient dangereusement. Tous les skavens présents, du technomage haut-gradé aux simples esclaves, tentaient par tous les moyens de sortir plus ou moins en bon état de l' avalanche de gravats, de matériaux et de corps que provoquaient chacune des chutes de grue.
Le seigneur du clan Skryre se massa les tempes, passablement énervé. Ikit la Griffe se dirigea vers lui, agité de tremblements incontrôlables.
"Ah! S-s-seigneur Morskittar... Nous r-r-r-rencontrons quelques p-problèmes sur le c-chantier-chantier. Vous êtes s-s-sûr-sûr de vouloir continuer? Parce-ce-ce-que, m-m-moi..."
Ikit tomba à genoux et se mit à hurler de rage.
" Je craque! T-t-trois jours, et j-je craque! Rien ne se p-passe-passe comme prévue! Tout ce casse la g-g-g, la g-g... la figure-figure... 'Y a pas un endroit où ca v-va! Pas UN!!"
Le seigneur Morskittar jeta un oeil à la fusée, et dut se rendre à l' évidence: il ne pourrait rien tirer de ce tas de métal.


"Niark,niark, niark! Niark, niark, niark, niark!"
"Ce n' est pas drôle, oh, grand tout-puissant! Pas du tout-tout!"
Le Rat Cornu hurlait de rire dans la caverne personnelle de Kritislik.
" Mais si, ca l' est! Niark, niark! Ça a dépassé toutes-toutes mes espérances! Te donner de faux plans était vraiment une bonne-bonne idée!"
" Vous vous rendez compte que ma crédibilité vient d' en prendre un sacré-sacré coup, par votre faute? Non mais je rêve-rêve..."
" Je t' ai fait une mauvaise-mauvaise blague, c' est vrai... Mais ce n' est pas ma faute-faute. Ça ne peut pas l' être, pas vrai-vrai? Niark, niark... Bon, passons. Voici les vrais plans."
" Et qu' est-ce qui me garantis-garantis que ce sont les bons, cette fois-fois?"
" Rien-rien du tout. Mais tu vas les prendre-prendre et demander que l' on construise cela en mon nom-nom."
" Qu' est-ce, cette fois-ci?"
"Un portail."
Kritislik se demanda si son dieu n' avait pas perdu la tête.
" Et si le Conseil refuse-refuse?"
" J' irais personnellement leur botter-botter l' arrière-train. Mais ils accepterons, ne t' en fait-fait pas..."

"Encore un de vos plans? Non-non, ca suffit! On a assez-assez donné! Votre fusée du Rat Cornu, c' était du flan-flan!! Et vous voulez que l' on recommence? Mais vous êtes fou! Nos intérêts-intérêts passent avant vos problèmes mentaux, Seigneur Kritislik, et ce avec tout-tout le respect que je vous doit!!"
" Le grand Rat Cornu m' a fait une farce-farce. C' est certes de mauvais-mauvais goût, mais il veut que ces plans-plans-ci soient utilisés."
Morskittar fronça les sourcils puis se rassit.
" C' est la dernière-dernière fois, seigneur Kritislik. Mais je veut des garanties-garanties."
"Et bien, vous avez ma parole-parole que..."
" Non-non. Je veut une garantie-garantie palpable. De l' or, de la malepierre, le service de vos prophètes pour pas cher-cher, comme vous voulez, mais je veut des compensations pour l' application de vos folles-folles élucubrations."
Le seigneur Nurglitch se leva.
" Il me faut ajouter que les demandes du Conseil sont trop-trop élevées. Les clans qui me sont inféodés souffrent beaucoup-beaucoup des restrictions que j' ai imposées et les délais de livraison-livraison des matières que je suis censé apporter au Conseil sont si courts-courts que les esclaves frais meurent d' épuisement. Il faudra réviser le partage des profits-profits en ma faveur."
Sneek se leva à son tour.
" Tous les clans souffrent-souffrent de ces bêtises. Avantager tel ou tel clan pour le partage serait absolument idiot-idiot. Mais je suis d' accord avec le seigneur Morskittar: il nous faut des compensations-compensations, sans quoi, je retirerais mon soutient-soutient à cette affaire.."
" Normalement-normalement ces plans devraient être les bons. Si nous parvenons à atteindre Morrslieb, les compensations-compensations viendront d' elles même."
" Et si cette tentative se solde par un nouvel échec-échec? "
Le seigneur Devin Kritislik soupira.
" Nous aviserons de ce qu' il conviendra de faire-faire."

Le technomage jeta un coup d' œil aux plans et releva le museau.
" Ils veulent-veulent qu' on fasse ÇA? C' est n' importe quoi! Pas-pas de moteur, pas d' hélices, pas de vérins... Comment ça peut fonctionner-fonctionner?"
Ikit la Griffe secoua la tête.
" Je sait pas Knit, je sait pas. Mais on doit le faire-faire. C' est un ordre."
Le dénommé Knit se pencha de nouveau sur les plans.
" Bon, ca n' a pas l' air bien-bien méchant, après le chantier de la fusée-fusée... Ce "portail" n' est pas plus-plus grand qu' une cloche hurlante, pas besoin de pleins-pleins de grues et pas de risques que ca tombe trop vite par terre-terre."
Ikit regardait les plans, anxieux.
" Ouais-ouais. Mais ca ne me dit rien-rien qui vaille. On dirait un portail chaotique..."
" Comme ceux-ceux qui s' ouvrent dans les Désolations du Chaos?"
Le technomage se plongea dans la lecture des plans.
" Naan. Ca y ressemble, ca oui-oui, mais qu' est-ce qui ressemble plus-plus à un portail qu' un autre portail? Bah rien-rien. Tu te fait du mourons pour pas grand chose-chose, Ikit."
" Si tu le dit..."

Kritislik arriva sur le chantier et se dirigea vers Morskittar.
" Alors-alors?"
" Ça à l' air de tenir-tenir, Seigneur Devin, mais de là à ce que cela fonctionne... Je reste assez-assez sceptique."
Le portail s' élevait à prés de huit fois la hauteur d' un rat-ogre et était presque terminé. La partie la plus délicate, la gravure des runes, restait à accomplir. Après, il suffirait de sertir les blocs de malepierre dans les endroits prévus pour que le portail s' ouvre vers la Lune Verte.
Les technomages se lançaient déjà à l' assaut des parois du portail magique afin de graver les runes nécessaires, et le bruit des chalumeaux et des graveurs ne tarda pas à emplir la caverne.
"Revenez dans deux jours-jours, nous aurons finis-finis les runes, je pense. Nous n' enchâsseront les blocs-blocs de malepierre que quand tout le monde sera réunit pour assister à l' ouverture hypothétique du portail-portail."


" Vous êtes sûr-sûr de vous, au plus-plus puissant des dieux? Parce que si ce portail venait à ne pas-pas s' ouvrir..."
Kritislik vit l' œil du Rat Cornu se plisser à travers la déchirure irréelle.
" Douterais-tu de moi?"
Le seigneur Devin se jeta par terre et se prosterna.
" Loin-loin de ma personne une telle idée-idée, oh grande puissance divine, mais disons que je me méfie un peu-peu tout de même..."
Le Rat Cornu éclata de rire.
" Il ne serait pas dans mes intérêts que cela échoue-échoue."
Kritislik se releva en époussetant sa toge.
" Tant mieux! Parce que ce ne serait pas dans mes intérêts-intérêts non plus."
" Bien. Maintenant, trêve de bavardages inutiles-inutiles. Écoute-écoute attentivement, je vais te révéler l' histoire de tes semblables..."


Quelques changements et la suite plus tard. Vos commentaires, svp...

Bonne suite, ça me réconcilie avec ton texte #pourvu que le portail ne s'ouvre pas vers un warp infesté de puta*n de démons #.

Touneek, qui attend la suite.

Allez mon ptit touneek. J'ai pas ecorcher que ton nom!

Tres bien... Mais attend l'aide du clan Skymors qui arrive dans moin d'une semaine! (sauf si tu veux que je commence avec un clavier americain!)...

PS: et te fais pas chier a l'envoyer a game. Sire lambert, vous croyez qu'il voudra bien?

Tu as donc moins d' une semaine pour penser à un texte tellement génial qu' on va tous s' en prendre plein le museau. Plus deux jours pour nous envoyer au moins le début. J' enverrais surement mon texte aprés toi, il faut d' abord que je m' extirpe de celui-ci .
Je ne compte pas envoyé mes textes à GW ou à quoi que ce soit d' autre. Je les trouve très bien sur ce forum. Et si je doit prendre encore des coups de couteaux, tant mieux! euh... non... tant pis!
Touneek est réconcilié avec mon texte?! Hourra! Le poison que j' ai versé dans son verre commence déjà à lui grignoter le cerveau! Avec le fric qu' il m' a couté... Par contre, tu viens de faire tomber à l' eau la suite... Je comptait vraiment faire venir des démons. Excuse-toaaaaaaaaa!! Je vais devoir trouver autre chose... Polo, t' as toujours le javelot rouillé de Touneek? Bien, approche, voir. Moi j' en ai déjà plus...

La suite de texte, dans la joie et la bonne humeur, Touneek ne me regarde pas comme ça, tu l' as bien cherché le javelot planté dans le C... (Cilimandjaro? Bah non, c' est un K, normalement...).


La caverne grouillait littéralement de vie. Tous les plus puissants skavens avaient étés invités pour l' essai du portail, et la côte s' élevait à mille contre un que le portail ne s' ouvrirait pas. A vingt contre un, il exploserait, même.
Les Conseil des Treize avait la place d' honneur: loin derrière la foule des chef, les Douze Seigneurs de la Ruine attendaient l' ouverture au moins de la cérémonie, perchés sur des balcons de pierre. A l' avant de la foule, les esclaves les plus méritant s' étaient vu confiés la lourde et glorieuse tâche qui consisterait à marcher sur Morrslieb.
Morskittar se leva et hurla.
" Enchâssez la malepierre!"
Quatre technomages apportèrent les blocs nécessaires et se retirèrent vers le fond de la caverne, laissant aux esclaves le soin de caler les pierres magiques dans les compartiments du portail.
Le dernier bloc de malepierre fut installé, et tous les hommes-rats firent silence. Kritislik priait mentalement.
" Pourvu-pourvu qu' il s' ouvre. Pourvu-pourvu qu' il s' ouvre. Pourvu-pourvu qu' il s' ouvre..."
Un bruit strident se fit entendre. Le portail s' ouvrait petit à petit. Le seigneur devin décapita un esclave de joie.
On pouvait désormais distinguer à travers le portail une plaine de rocs verts et miroitants qui semblait s' étendre à l' infini. Le seigneur Devin se leva.
" Morrslieb est à nous-nous!"
Les esclaves furent poussés à l' intérieur du passage et les skavens massés dans la caverne les virent apparaitre sur l' image renvoyée par le portail. Ils ne semblaient pas plus malades que d' habitude. Bien au contraire, ils semblaient même heureux qu' il ne leur soit rien arrivé.
Confiants, les chefs et seigneurs les plus influents des clans skavens se jetèrent à la suite des esclaves, tous désireux de s' approprier une parcelle de la Lune Verte. Les Seigneurs de la Ruine s' approchèrent eux aussi du portail, mais alors que leurs subordonnés empruntaient le passage Terre-Morrslieb sans hésitations, les Douze se contentèrent d' examiner le paysage sous toutes ses coutures. Ce fut Pakrit le Gras qui remarqua le premier les vestiges lointains d' une pyramide verdâtre.
" Morrslieb est peut-être déjà habitée-habitée. Après tout, nous y sommes bien-bien..."
Sneek, qui avait la vue la plus perçante, se rapprocha de l' endroit désigné par Pakrit.
" Il y a là des constructions, c' est indéniable-indéniable. Mais elles semblent en très mauvais-mauvais état. La pyramide que distingue le seigneur Pakrit est à moitié éboulée-éboulée."
Morskittar s' approcha à son tour.
" Rien-rien ne nous empêche d' y envoyer les esclaves. Après tout-tout, ils sont là pour ça."
Kritislik haussa un sourcil.
" Mais pour cela-cela il faudrait les prévenir. Or les sons ne semblent pas passer-passer à travers les portail. Donc, l' un de nous doit-doit y aller..."
Le seigneur Nurglitch se tourna vers le seigneur Devin.
" L' un de nous? Moi, je dirais que nous devrions tous-tous y aller et tous-tous prendre le risque."
Les Douze s' engouffrèrent dans le portail.
" C' est un peu triste-triste, non?"
Verminkin fut le premier à émettre son jugement sur l' aspect de Morrslieb. Les autres grands seigneurs hochèrent la tête.
" Ça pour être triste-triste..."
La surface de la Lune Verte n' était composée que de malepierre pure. Cependant, même un contact prolongé avec la substance ne causait pas de séquelles, ce qui était un avantage indéniable pour l' exploitation de la lune. Mais mis à part la pierre magique, il n' y avait strictement rien: pas d' arbres, pas d' herbes, juste des cailloux, des rochers, de très gros rochers,d' énormes rochers et des cratères.
" Un peu monotone... c' en devient presque-presque déprimant."
" Tout à fait d' accord-d' accord avec vous, seigneur Fourrage-les-hommes. Mais je vous rappelle qu' il nous faut-faut déterminer la nature des constructions que l' on apercevaient à travers-travers le portail."
Les esclaves rassemblés et les chef calmés, il fut décidé que l' on monterait une expédition vers les pyramides. Tous les esclaves ainsi que les sept chefs les moins puissants furent envoyés enquêter sur les étranges édifices sans plus tarder. Il devaient être rejoint aux pieds des constructions pyramidales par plusieurs troupes de guerriers des clans ainsi que de nouveaux esclaves. Pendant ce temps, les autres chefs et le Conseil quitteraient Morrslieb via le portail et prépareraient des équipes d' extraction afin de commencer dans les plus bref délais l' exploitation de la précieuse ressource.

Le Conseil des Treize était de retour dans sa salle de réunion. Kritislik s' adressa le premier aux autres Seigneurs de la Ruine.
" Et bien, c' est une victoire-victoire sur tous les fronts. Nous voici en possession du plus-plus important stock de malepierre de l' univers, rien-rien que ça! Et sans risques-risques!!"
Nurglitch se leva à son tour.
" Il faut fêter-fêter cela! Esclaves pour tous-tous!"
Les portes s' ouvrirent à la volée.
" Mes seigneurs, mes seigneurs! Les communications par parle-loin avec le groupe-groupe de reconnaissance et les excavatrices deux et quatre ont étés coupées-coupées!"
Kritislik se retourna vers le nouvel entrant passablement nerveux. Bien entendu, si cela avait été facile, ce ne serait pas amusant...
" Qu' ont-ils dit dans leur dernier-dernier rapport?"
" Le groupe-groupe de reconnaissance était en train de s' enfoncer dans les tunnels découverts sous-sous la pyramide. Quant aux deux équipes-équipes excavatrices dont nous n' avons plus-plus de nouvelles, elles venaient de rencontrer un problème-problème mineur. Toutes les deux avaient mis à jour des tunnels à environ-environ trois mètres sous la surface-surface du sol."
" La communication-communication par parle-loin est peut-être impossible-impossible dans ces tunnels? Ou alors..."
" Sans vouloir vous offenser-offenser en vous coupant la parole, monseigneur, je doute que ce soit cela-cela. Tous ont envoyés un dernier-dernier message à peu prés simultanément. Juste avant qu' on ne les perdent-perdent, les parles-loin ont envoyés leurs signaux sonores de détresse-détresse. Ils se sont fait attaquer-attaquer, Seigneur."

La suite plus tard! Vos commentaires sont bien sûr les bienvenus. Par contre gardez pour vous vos prédictions quant à ce qui va se passer ensuite, sinon ça gâche un peu mon boulot si vous tombez juste ( et là c' est vraiment pas dur de comprendre ce qui ce passe...). Je n' attaque personne, juste ca fait déjà deux fois que l' on me fait le coup sur ce forum, et je commence à sécher niveau idées pour changer de suite. Mais vos commentaires sont les bienvenus.

Citation :

Par contre, tu viens de faire tomber à l' eau la suite... Je comptait vraiment faire venir des démons. Excuse-toaaaaaaaaa!!

Je suis désoulé .

Citation :

le javelot planté dans le C...

...irque de Gavarnie ?

Sinon bonne suite, l'idée est bonne et, comme d'hab, c'est bien écrit .

Esclaves VS predator II!
D'la baston! J'veux des truks bizzards et j'veux avoir peur!!!

voix off:" A droite du ring, seize kilo, un mètre vingt, un champion taillé pour gagner! Plook, le super esclave survivant, 30967 combats, 0 victoires, 4 matchs nuls et une jambe boulottée par un rat-ogre! Aaaa gauche mesdames, mesdemoiselles zé messieurs, 190 kilos de muscles,pour 2m 30. Une belle bête, ma foi, 943679 combats, 943679 victoires, quatorze adversaires et deux arbitres dans l' estomac, voici... Prédator II !!! On les ovationne bien fort! Bonne chance à tout les deux!" Public:

OK, c' est peut-être un peu surréaliste... Va-y Plook! Ah bah trop tard il est déjà mort.
Et Prédator sur Morrslieb... Il s' est égaré en cherchant Alien VI ??

Fini les plaisanteries, suite du texte, merci pour votre soutient les gars, ça m' aide à tenir. J' vous jure. Même attaché à une fusée funeste? Mais bien sûr. Détachez-moaaaaaaaa... Boum.



Kritislik se tournait désormais vers les autres membres du Conseil.
" Que faisons-nous? Les guerriers que nous avons envoyés vont arriver à la pyramide d' une minute-minute à l' autre."
Verminkin eut un sourire narquois.
" Que fait-on ? C' est simple : on suit leur évolution dans les galeries-galeries grâce au parle-loin! On récoltera des renseignements concrets-concrets de cette manière. Il y a combien de guerriers-guerriers ? Une petite centaine ? C' est négligeable. Leur sacrifice se fera à la gloire-gloire du Rat Cornu. En gros, on attend-attend."
Tous les Seigneurs de la Ruine furent d' accords sur ce plan.

"Compagnie... Halte! ...Hé, j' ai dit halte!! C' est ici, notre objectif-objectif!!"
La troupe de guerriers des clans stoppa sa marche et se retourna. Visiblement, les soldats skavens n' avaient pas la moindre envie de rentrer dans ces tunnels.
" Bon,écoutez-moi: on rentre, on tape, on tue-tue, on mange et on repart. Des questions-questions?"
Un guerriers des clans s' avança.
" Euh, ouais chef-chef. Bon, pour la stratégie, j' ai tout compris-compris, mais qu' est- ce qu' on y gagne-gagne? Pas' que, moi, j' ai pas que ça à faire-faire..."
Ses camarades approuvèrent vivement.
" Le droit de pas vous faire botter-botter les fesses-fesses, ça vous va?"
Le skaven rentra dans son rang.
" Ok, chef-chef, ça me va."
Les guerriers se renfrognèrent mais mais ne bronchèrent pas. Le chef avait un pistolet et des bagues plein les doigts, et l' un comme l' autre étaient dangereux.
Le chef afficha un sourire satisfait.
" Bon,bon,bon. Et bin on y va. Passez devant-devant."
La troupe de cent-vingt guerriers s' enfonça dans le boyau obscur.

C' est bon, j' ai de l' idée! Mais j' ai pas le temps d' en mettre plus... Ça m' étonnerait que vous ayez quoi que ce soit à dire sur ce bout de texte, mais vos commentaires sont bienvenus s' il y en a...

Merci Touneek pour ta fusee... mais il est partit un peu loin... Sur morrslieb?
Skarogne, on a un probleme...

La suite!!!

Kzzttt "... Ici Peyrit, appel la terre... Suis sur Morrslieb... faite-moi descendre!!... Polo, tu paie rien pour...Aaarg" liaison interrompue.
Apparemment, Morrslieb est vraiment habitée. Peyrit n' étant pas en mesure de continuer la communication par parle-loin, il n' est pas non plus en mesure d' écrire la fin de son texte. Pour les plaintes au service technique, adressez-vous à Touneek. Un second Peyrit sera livré dans les 48 heures. En cas de non-satisfaction, veuillez renvoyer votre produit, le Peyrit gratuit vous sera alors remboursé.

Hum... Désolé... J' ai vraiment pas le temps... Demain, promis.

EDIT du Corrupteur: Et le lendemain, arrivage d' un Peyrit tout neuf.

La suite du texte donc. Je vais essayer de faire ça d' une seule traite, mais je ne promet rien.


" 'Y fait noir-noir, chef..."
Le chef soupira.
" T' es sûr? J' avais pas-pas remarqué, dis-donc... Bien entendu qu' il fait noir-noir, abruti!! On est sous terre-terre!!"
" Bah non..."
" Comment ça, bah non??"
" On est sous Morrslieb, chef-chef."
Le chef Pan' Kayke soupira de nouveau.
" Ô divin-divin Rat Cornu, mais pourquoi m' a t' on donné-donné un Grandes-griffes aussi débile-débile..."
" J' pense-pense pas qu' il sache, chef. D' vriez plutôt-plutôt demander au Conseil."
Pan' Kayke attrapa le Grandes-griffes par la gorge et le souleva.
" Encore un mot de ta part-part et je t' écharpe. C' est clair-clair?"
" Limpide, votre seigneurie... Mais...rrhâââaa... lâchez-moi! Votre auguste main-main m' étouffe!!"
Le chef de guerre lâcha le skaven qui tomba sur le sol dans un bruit mat. Le Grandes-griffes se releva en toussotant, s' aidant d' une aspérité dans le mur afin de se tenir sur ses deux jambes.
" Rheuuu, ca c' est d' la poigne-poigne... Keuf,keuf,keuf... Bon... Allez tout le monde! On avance!!"
La troupe reprit sa marche. Sur une centaine de mètre, il n' y eu aucun changement notable. Mais bientôt les tunnels se firent plus étroits, et les rangs skaven durent s' étirer. Il y avait juste assez de place pour que deux hommes-rats puissent marcher de front. Le chef de guerre en profita pour remettre de l' ordre dans ses subordonnés: l' état-major de la troupe vint se positionner à l' avant et aurait pour rôle principal d' encaisser toutes les attaques frontales. Pan' Kayke quant à lui se plaça au milieu de la colonne de skaven, afin disait -il de "parer à toute éventualité", ce qui signifiait qu' il pourrait ainsi fuir une attaque frontale comme une attaque dorsale.
Le chef de guerre se frotta les mains.
" Et ben c' est bon, allez, avancez-avancez."

La troupe de skaven s' enfonçait toujours plus profondément dans les entrailles de Morrslieb. Rien ne ce passait, et il n' y avait toujours pas le moindre signe du groupe d' esclaves envoyés en reconnaissance, ni de leurs agresseurs. Pan' Kayke commençait à s' ennuyer ferme lorsque le Grandes-griffes demanda une halte. Le chef de guerre se redressa de toute sa hauteur afin de voir par-dessus ses guerriers mais il se cogna la tête contre le plafond, ce qui l' énerva passablement. Il préférait d' ailleurs la bonne vieille méthode et se mit a hurler à l' attention de son subordonné hiérarchique.
" Qu' est-ce qui se passe-passe encore?!? Hé, le Grandes-griffes, pourquoi on s' arrête? Si c' est encore une de tes idées-idées a la noix..."
" Non, chef. J' ai entendu bouger derrière le tournant-tournant, là..."
" Bah va voir!! T' est là pour ça, non-non?"
Le Grandes-griffes appela deux de ces principaux rivaux.
" Z' allez là-bas, vous revenez-revenez et vous m' dites ce qu' y a. Exécution-exécution."

L' attente ne fut pas longue et les deux éclaireurs revinrent faire leur rapport.
" Alors-alors?"
Le premier éclaireur commença.
"Bah on est allés là où vous nous avez dit-dit et on a trouvé-trouvé les esclaves..."
Le second guerrier vomit sur les chaussures du Grandes-griffes qui lui envoya le pommeau de son épée dans la gueule. Le premier éclaireur prit la défense de son compagnon.
" 'Faut l' excuser. L' ai pas habitué, encore-encore. Il était dans les rangs arrières."
Le Grandes-griffes s' impatientait.
"Oui-oui, bon alors, les esclaves..."
" Ah, ouais. On les a retrouvés-retrouvés. Enfin, en réalité, on a retrouvé les corps-corps. Mais j' ai cherché partout et j' ai pas retrouvé les peaux-peaux."
" Les peaux?"
"Bah ouais, 'y z' ont été écorchés, quoi-quoi..."
Le Grandes-griffes envoya deux autres éclaireurs loin à l' avant de la formation avec pour mission d' inspecter les avants de la troupe, et de revenir tous les quarts d' heure faire un rapport, puis il fit passer la nouvelle au chef de guerre. Celui-ci ne broncha pas, mais cela ne lui disait rien qui vaille.


La suite plus tard. Les commentaires sont bien entendus les bienvenus...

les necrons!

Non, c'est bien.
Paul qui reste aux USA un jour de plus car cause de tempete a NY, pas d'avions vers paris!

Hu-hu-hummmm... Merci polo... Non-non, hum, c' est pas les nécrons, arrête de réfléchir... Arrête!! Rrhââa, troisième fois que quelqu'un me prédit l' avenir! Mais comment suis-je sensé travailler sur mes textes si je doit changer d' idée tous les quarts d' heure??? Bon bah tant pis, cette fois, j' ai peur qu' il n' y ait pas d' autre recours. Allons-y pour les nécrons. Ouin.
Au fait, j' avais oublié de doubler les mots dans mon dernier envoi... Excusez moi, mais dans la précipitation, j' ai fait cette énorme faute... que je vais m' empresser de corriger.
On arrive au bout, on y arrive!!
( Pfioouuu, enfin...)


La suite

La troupe progressait lentement, pour deux raisons: d' abord, les couloirs laissaient de moins en moins de place, mais en plus les galeries formaient un réseau sans logique apparente. Plusieurs fois les skavens durent rebrousser chemin face à un cul-de-sac ou à d' énormes failles.
Enfin, après des heures de marche, les guerriers passablement éreintés débouchèrent sur une salle aux dimensions dantesques.
" Qu' est-ce que c' est que ce truc-truc, encore?"
Des piliers colossaux soutenaient les arches monumentales qui constituaient le plafond, et des décharges électriques d' une puissance phénoménale parcouraient la salle, avec pour seul but un obélisque placé exactement au centre de celle-ci. Le monument de pierre luisait d' un éclat verdâtre encore plus malsain que la malepierre. Le guerrier désigné pour l' inspecter mourut carbonisé avant d' avoir pu l' approcher à moins de dix mètres.
Pan' Kayke décida de continuer l' expédition par une exploration minutieuse de la salle. Ils rendraient compte de toutes leur découverte au Conseil après.
" Chef! 'Ai trouvé des choses-hommes, mais en métal-métal, là, dans les coins. Z' ont pas l' air en bon-bon état, chef..."

Les statues métalliques représentant des parodies de choses-hommes s' entassaient par terre, pèle-mêle.
" Ces trucs ressemblent-ressemblent aux inventions du clan Skryre. Ça à pas l' air de marcher-marcher, par contre. C' est cassé depuis longtemps-longtemps. Bon,bon,bon, 'y a rien d' autre? Nan? Alors on appelle le Conseil..."
Un étrange crépitement et un bruit de tôles froissées l' interrompirent. Un mauvais pressentiment le fit se jeter à terre, et le rayon vert passa tout près de sa fourrure pour aller percuter de plein fouet le Grandes-griffes. Le skaven se consumma couche après couche devant les yeux du chef de guerre: d' abord la peau puis les muscles et les viscères, et enfin le squelette disparurent. Il ne restait plus rien de l' imbécile Grandes-griffes.
Pan' Kaye se retourna pour découvrir ses soldats complètement désorganisés se faire fauchés par les rayons mortels. Le chef de guerre se rendit compte avec horreur que quelques machines s' étaient levées, et que c' étaient elles qui crachaient la mort sur ses rangs. Le chef se releva et se mit à hurler de terreur lorsque il vit surgir devant lui les mêmes machines couvertes de morceaux de peau dégoulinant de sang.
"Fuyez!! On s' en va!! Vite-vite!"
Le chef prit lui-même ses jambes à son cou et fonça en direction de la sortie de la salle, suivis par une dizaine de skaven. Les autres s' étaient fait coincer.

Les skaven rescapés s' arrêtèrent en haletant. Ils avaient courus à en perdre haleine sur au moins un kilomètre. Pan' Kayke s' affala sur le sol, complètement épuisé.
" Bon, ça devrait-devrait aller..."
Un des guerriers le regarda, surprit.
" Pourquoi, chef? On est pas encore-encore dehors. Et ces trucs-trucs vont nous coller jusqu'à ce qu' ils nous tiennent!"
"Ils ne vont pas très vite-vite. Ils connaissent surement leurs galeries, mais nous on est plus-plus rapides. On se f' ra pas attraper si on cours-cours."

Trés bon texte j'adore, mais rassure-moi, c'est pas encore finit ?

Non, bien sûr que non, c' est pas finit... Il en reste encore beaucoup...trop, à vrai dire .


La suite!


Le chef de guerre se releva.
" Si ils nous trouvent, on est cuits. Complètement. Je pense qu' il vaut mieux-mieux ne pas rester longtemps-longtemps au même endroit."
Les autres skavens acquiescèrent. Ils n' avaient pas de meilleur proposition.
Les guerriers se mirent en ordre sous la direction de leur chef, puis firent l' inventaire de ce qu' il leur restaient. Le Grandes-griffes nouvellement promus fit un rapport détaillé de leur situation matérielle.
" 'Y reste... Deux épée... Huit dagues, quatre boucliers... Un filet-filet... Une armure légère pour tout le monde... Des provisions de nourriture-nourriture pour deux jours... et une demie gourde d' eau. Sans compter votre équipement et le parle-loin qu' est cassé, m' sire. Ça fait peu-peu."
Pan' Kayke contempla longuement le tas beaucoup trop petit d' armes et de boucliers. Ses subordonnés ne pourraient même pas le défendre correctement en cas d' attaque.
" Bien, bien, bien..."
Le chef de guerre réfléchissait à toute vitesse.
"Alors-alors. Il faut un éclaireur. Il aura deux dagues, au cas où il tomberait sur une chose-métal, il se défend comme il peut et il revient vite-vite. Les quatre derniers portent les boucliers. Je pense que ces trucs attaqueront par derrière, alors il faut éviter-éviter de se faire massacrer sans comprendre, et pour cela il nous faut du temps de réaction. D' où les boucliers. Les deux-deux premiers, les épées. Comme ça, ceux derrière eux peuvent les ramasser si un de devant tombe. On répartis équitablement les dagues. Le filet-filet va peut-être servir, et les rations sûrement, donc tout ça, c' est au milieu-milieu. On garde le parle-loin, au cas ou."
Pan' Kayke regarda tristement les skavens s' équiper. Tout cela était plus que sommaire à son goût, mais il n' y avait rien d' autre.
" Bon, écoutez-moi."
Les guerriers se tournèrent vers leur chef. Pan' Kayke soupira.
" Il faut le moins de morts-morts possible. Plus on perdra de guerriers, plus on sera vulnérables, et plus on se fera laminer-laminer. Donc: interdiction de mourir-mourir sans mon accord. Vu?"
Les skavens échangèrent des regards amusés, malgré la peur qui les tenaillait.
" Il nous faut un plan de secours-secours. Le voici: si on se fait tous-tous massacrer, faites ce qu' on sait faire de mieux-mieux: on se barre fissa. Des questions? Non? Alors allons-y..."

Comme à l' allée, la troupe désormais réduite ne rencontra absolument rien. Un détail cependant attira l' attention du Grandes-griffes, qui se confia à son chef.
" J' pense qu' ils manipulent les murs-murs, chef. Qu' ils peuvent les faire bouger. 'Chuis pas sûr, hein, mais tout-tout ça..."
Le Grandes-griffes frissonna en désignant les boyaux devant lui et retint de peu le musc de la peur. Il continua en baissant la voix.
" Ça semble être juste un gros-gros piège. J' le sent d' ici..."
Pan' Kayke le regarda, surpris.
" Qu' est-ce qui te fait croire-croire ça?"
Le Grande- griffes semblait faire un effort de mémoire.
" Bin, souvenez-vous, chef: au début-début, on tombait tout le temps sur des crevasses et des culs-de-sac... On tombait même parfois dedans, les crevasses... Mais plus maintenant. Là, y' a rien-rien au sens strict. Pas une pierre qui dépasse. Pas une lézarde dans le sol-sol. Même pas un cailloux."
Le Grandes-griffes baissa encore la voix et le chef de guerre dut se pencher vers son subordonné afin de tout comprendre.
" 'Y a autre chose: les tunnels-tunnels... y' a pas de poussière. Alors que quand on est entrés, on s' en mangeait plein-plein le museau. Moi je répète qu' on est très-très mal. Ces truc métalliques, c' est des gros chats, et nous on est de tout petits-petits rats."
Le chef de guerre regarda autour de lui, espérant que le Grande-griffes se faisait des idées. Pan' Kayke dut cependant se rendre à l' évidence: Kmîl avait raison, et il était désormais terrorisé.

Voila qui promet encore quelques envois, non? La suite très prochainement, et vos commentaires sont bien sûr on-ne-peut-plus demandés, réclamés, même.

EDIT du Corrupteur: Pas de commentaires donc:

La suite!


" Balayez-moi toutes-toutes les fréquences possibles!!"
" Oui-oui, seigneur Devin!"
Kritislik bouillait littéralement de rage. Le Conseil n' avait pas reçu un seul appel du second groupe de reconnaissance.
" Cherchez partout! Ramenez tous-tous les parles-loin et envoyez des messages continus sur tous les créneaux! Il me faut une réponse-réponse! Même si vous ne captez qu' un bruit-bruit étrange, venez me chercher!"
Le seigneur des prophètes gris se tourna vers son homologue du clan Skryre.
" Vous n' avez rien de plus puissant pour capter-capter des messages?"
Morskittar secoua la tête.
" Non-non. Il y a là tout ce dont nous disposons."
Kritislik hurla de rage. Le Rat Cornu s' était encore bien fichu de lui.

La salle du Conseil s' était transformée en poste d' écoute vers Morrslieb. Des dizaines de skavens tentaient de capter un hypothétique message de la Lune Verte, d' autres en lançait dans l' espoir d' une réponse. Les plus puissantes paraboles émettrices et réceptrices du clan Skryre étaient désormais tournées vers Morrslieb, mais toutes ces tentatives semblaient infructueuses.


" Chef, z' entendez pas quelque chose-chose?"
Le Grandes-griffe tendait l' oreille et incita son supérieur à faire de même. Pan' Kayke attendit, à l' écoute, et tous les survivants de l' expédition stoppèrent leur marche, désormais silencieux.
Le chef de guerre fut le premier à se redresser.
" T' as raison. Y' a un bruit-bruit. Une sorte de grésillement..."
Kmîl se tourna vers le chef de guerre.
" On fait quoi, chef? Arrière toute? Ou on fonce-fonce, on regarde et on se carapate avant de prendre un de leur rayons-rayons qui tuent?
Pan' Kayke soupesa le pour et le contre de toutes ces options, puis il prit sa décision.
" On envoie l' éclaireur. S' il ne revient pas ou qu' il y a encore plus-plus de bruit étranges, on cours. Si il dit qu' il n' y a rien-rien, on envoie un deuxième éclaireur au cas ou, et on y va après-après."
L' éclaireur partit. Les minutes passèrent sans nouvelle du skaven de reconnaissance, malgré les appels successifs du chef de guerre. Pan' Kayke trouvait le temps long, et les bâillements de ses guerriers lui apprirent qu' eux aussi.
" 'Y r' vient!"
L' éclaireur revenait en effet, tout excité.
" Chef! C' est les cadavres des esclaves! Y sont là-bas! Et y' avait un parle-loin écrasé à côté, c' est pour ça qu' il y avait un bruit."
Le skaven tenait dans une patte le parle-loin démolit et dans l' autre un bras d' esclave sanguinolent. Les autres guerriers hurlèrent de joie.
Le chef s' autorisa un large sourire. Ce serait de la viande, peut-être de l' eau et des équipements, des choses en plus, quoi! C' était la meilleur nouvelle qu' il ait reçu depuis longtemps.
" On y va! Pas besoin-besoin d' un autre éclaireur. Tous en formation de combat, les choses-machines nous attendent peut-être pas loin-loin."
La gaité qui s' était répandu dans les maigres rangs des skavens se dissipa instantanément.

La petite formation se dirigea prudemment vers le lieu indiqué par l' éclaireur. Bientôt, ils arrivèrent en vue des cadavres. Les hommes-rat scrutèrent la pénombre pendant quelque minutes, puis, n' ayant vu aucun signe de chose-métal dans le long couloir, se préparèrent à se jeter sur la viande. Un cri les arrêta. Pan' Kayke avait dégainé son arme et jetait désormais des regards anxieux autour de lui. C' est lui qui avait poussé le cri d' alarme convenu pour "attention: piège".


Kritislik n' avait pas fermé l' œil de la nuit. Cela faisait bientôt vingt-quatre heures qu' il était réveillé et ses paupières étaient très lourdes. Il n' avait pas l' habitude d' un tel traitement, car il était un digne partisan de la sieste toutes les trois heures. Mais malgré l' engourdissement, il ne cessait de scruter les écrans, les aiguilles, les câbles et les haut-parleurs en priant pour une réponse quelconque.
Les autres skaven s' étaient endormis sur leurs machines, et même les seigneurs de la ruine roupillaient sur leurs fauteuils. Tous ne pensaient déjà plus à l' exploitation de Morrslieb. Ils comptaient même refermer le portail. Le seigneur devin ne lâchait pourtant pas l' affaire: un étrange pressentiment, une sorte d' instinct lui dictait de rester sur écoute, et il y obéissait. Il sentait qu' une réponse allait venir.

Les guerriers regardèrent leur chef avec étonnement. Il n' y avait rien à signaler, mais il restait en garde, prêt à se défendre. Et il semblait terriblement nerveux. Le Grandes-griffe semblait lui aussi expulsait le musc de la peur, et lui aussi avait sorti son arme de son fourreau.
L' un des guerriers se tourna successivement vers ses supérieurs et vers la nourriture déjà promise. Il avait trop faim. Le skaven se jeta vers les corps des esclaves, la bave aux babines.
" Reste ici-ici!"
Le guerrier n' écoutait pas. Il commençait a dévorer l' esclaves qui lui semblait le meilleur, et il fut rapidement rejoint par la plupart de ses camarades, convaincus qu' il n' y avait pas de danger. Seul quatre guerriers repoussèrent la tentation de la viande offerte et, suivant l' exemple de leurs supérieurs hiérarchiques, dégainèrent leurs armes.
Lorsque le premier mur se volatilisa, les heureux attablés ne réagirent pas. Ils ne l' avaient tout simplement pas vu. Lorsque la seconde paroi disparut à son tour, ils commencèrent à regretter de ne pas avoir suivis les ordres de leurs chefs. Quand, dans un bruit de ferraille épouvantable, les dépeceurs se jetèrent sur eux pour se vêtir de leur peau fraiche et sanglante, ils comprirent toute l' étendue de leur erreur. Mais trop tard.
Pan' Kayke avait réagit dés l' apparition des choses-métal et avaient ordonnés à ses derniers guerriers de courir de toutes leurs force du côté opposé. Les derniers skaven prirent leurs jambes à leurs cous respectifs et fuirent, poursuivis par les hurlements des leurs en train de se faire écorcher vifs. L' écho du massacre leur parvenait où qu' ils allient,et ils ne savaient plus où donner de la tête. Ils courraient droit devant.
"Stop-stop. C' est bon..."
Le chef de guerre prit appuis sur le mur. Il n' en pouvait plus, et son armure lourde ne faisait rien pour améliorer les choses. L' un des guerriers, passablement terrifié, se tourna vers lui.
" Vous êtes fou! On entend encore l' écho des cris-cris des autres! Il faut aller plus loin-loin!"
Pan' Kayke le dévisagea longuement, ce qui mit le guerrier mal-à-l' aise. Enfin, le chef de guerre consentit à donner un explication.
" Ils jouent avec les sons. D' après moi, on a courus sur environ-environ un kilomètre, non-stop. On est théoriquement hors-hors de portée. "
Les guerriers consentirent à faire une pause.
Le Grandes-griffes fut le premier a expliquer pourquoi ils avaient anticipé le piège.
" C' est tout-tout bête. Lorsqu' on a croisé à l' allée les esclaves mots-morts, ils étaient pas loin d'un coude-coude de la galerie. Hors, ils étaient disposés sur une ligne droite-droite, là."
Les autres frissonnèrent.
" N' empêche, c' est flippant de se dire que ' y a des trucs-trucs qui peuvent sortir des murs. Et qu' en plus les murs-murs disparaissent..."
Le guerrier finit sa phrase par un hurlement: la section de mur devant lui venait de se volatiliser.

Voila, commentaires? Suite plus tard!

Bravo!!! Maman zai peur...

Mouaif ... Peur, tu charrie peut-être un peu-beaucoup, non? Ou alors arrête de lire "Martine" .

La suite:


Les skavens se mirent en position de combat, prêts à défendre leurs peaux le plus longtemps possible. Cependant, la charge des choses-métal ne vint pas. Les murs disparaissaient et bientôt il ne resta de la galerie que le sol. Les guerriers hommes-rats étaient entourés par le vide. Pan' Kayke sentait venir avec appréhension le moment où, lassé de tout cela, l' être tout puissant qui les manipulait avec tant de simplicité déciderait sur un coup de tête de faire partir le sol lui aussi.
Une voie s' ouvrit soudain sous leurs pattes. Un tracé rectiligne qui s' enfonçait tout droit vers le néant. Kmîl se tourna vers son chef, l' air résigné.
" On fait quoi, chef?"
Pan' Kayke n' eu pas le loisir d' hésiter: tous les autres passages disparurent, seul restait ce chemin menant on ne sais où, à la fois salut immédiat et menace prochaine.
" On y va."
Le chef de guerre suivit l' étroit chemin de pierre unie, ses guerriers a sa suite. Enfin, ils arrivèrent à la salle de l' obélisque, là où les premières choses-métal s' étaient réveillés. Il n' y avait pas plus de mur ici que sur le chemin, mais au moins y avait-il la place pour se battre. Les skavens s' avancèrent vers l' obélisque, qui n' émettait désormais qu' une faible lueur. Toute trace de foudre ou d' électricité avait complètement disparus, et Pan' Kayke su que cela ne pouvait signifier que de mauvaises choses pour eux.
La voix qui les fit se retourner était suave et mielleuse au possible, mais en même temps terriblement ironique.
" Et bien, et bien, petits rats, que faites-vous donc dans mon humble sanctuaire?"
La choses-homme était perchée au sommet de l' obélisque et les contemplait avec amusement. Le chef de guerre leva son pistolet et fit feu. Le claquement retentit dans tout la salle, malgré l' absence de cloison. L' inconnu était désormais affublé d' un trou béant au niveau de la gorge, et cela aurait pu paraître comique aux skavens si la chose-homme ne s' était fendue d' un sourire plus large encore.
" Voilà une façon bien mal élevée de remercier son hôte, petit rat."
L' être se laissa glisser jusqu'en bas du monument et atterrit avec grâce sur le sol. Pan' Kayke dut se rendre à l' évidence: ce n' était pas une chose-homme. Il était beaucoup plus grand, et son corps, façonné dans une sorte de métal liquide, rayonnait intensément. Les guerriers hommes-rats durent plisser les yeux pour continuer à le fixer. De plus, la blessure qu' il venait de recevoir se refermait doucement.
Pan' Kayke fixa l' être droit dans les yeux, ignorant la lumière vive qui blessait ses pupilles.
" Q' est-ce que vous êtes-êtes?"
Le Déceiver éclata de rire.
" Disons que si je vous le disait, même si vous compreniez le sens de tout cela, vous ne voudriez pas me croire. Cela vous va? Sachez simplement que je suis bien plus puissant que vous, que je peut commander à vos sens, et que ces machines infernales qui vous poursuivent sont sous mes ordres. Ah, et je suis immortel et je peut lire dans vos pensée. Je pense que c' est un bon résumé de mes capacités, même s' il n' est pas exhaustif, loin de là."
Le demi-dieu se délecta des doutes et de la peur que sa déclaration avait suscitée chez les hommes-rats. Il s' était bien amusé, au moins. Laisser des sentinelles en veille sur ses vieux territoires avait finalement un intérêt divertissant. Seul le chef de guerre semblait moins réceptif à ses manipulations.
" Vos pouvoirs me laissent de marbre-marbre, cher " hôte"."
Le Déceiver fit la moue.
" Quel dommage. Vous préférez peut-être des exemples?"
Sur cette déclaration, l' être se mit à léviter. Puis, tendant un doigt vers le vide, fit réapparaître les murs.
" J' espère que vous préfèrerez cette nouvelle décoration."
La pièce avait complètement changé de visage: elle ressemblait désormais à n' importe quelle section du Cloaque. Pan' Kayke, nullement impressionné, eu un rictus dédaigneux.
"Et alors? C' est tout-tout?"
Le chef de guerre sortit le parle-loin cassé de sa besace.
" Tiens. Tu veut m' impressionner? Répare ce truc-truc."
L' être fut on-ne-peut-plus contrarié de voir que cette sous-chose, mélange débile et sans dignité de rat et d' homme, avait les pieds sur terre: ses illusions ne le perturbait presque pas. Il avait dut comprendre que ce n' était que fictif, de simple "tours de magie". Il examina cependant la structure de l' appareil et découvrit que l' avarie ne se résumait qu' a un câble coupé. Il le ressouda.
Le parle-loin émit de nouveau.

" On peut envoyer un message-message!"
Le seigneur Devin accouru. L' un des technomage technicien avait capté une borne de réception de messages.
" Un parle-loin opérationnel?"
" Vu la fréquence utilisée-utilisée, ça ne peut pas être autre chose, ô plus-plus puissant de seigneurs."
" Envoyez quelque chose-chose! N' importe quoi! Quoi que... Attendez... On va envoyer-envoyer le meilleur son que nous ayons. Pour être sûr qu' il soit entendu - et compris-, quel que soit le récepteur du message-message. Sortez le micro et amenez-moi ma cloche hurlante! Vite-vite!"
" Tout de suite, seigneur Kritislik!"

" C' est fait."
Le Déceiver rendit le parle-loin au chef de guerre. Celui-ci s' en empara et mit le bouton de volume au maximum. Il espérait que sa conversation avec l' être surnaturel serait captée.
" Et bien ma foi, bravo-bravo."
Pan' Kayke avait répondu avec toute la flegme dont il était capable face à cet chose monstrueusement puissante. Il devait gagner du temps.
" J' imagine cependant que vous ne comptez-comptez pas nous laisser partir gentiment-gentiment? Ce serait trop-trop simple... Vous vous êtes donné du mal-mal, après tout."
Le Déceiver esquissa un sourire.
" Une analyse très perspicace, mon cher. Je ne compte pas vous laisser partir. A vrai dire, je ne compte pas vous laisser en vie plus longtemps."
Pan' Kayke dégaina son sabre, rapidement imité par les autres skavens présents. Le chef de guerre grimaça.
" Quel dommage-dommage..."
Les six skavens encore en vie se ruèrent à l' assaut de la créature, bien décidés à ne pas mourir seuls.


" Alors? C' est prêt? Oui-oui? OK! Les rat-ogres! Tirez la chaîne! Vite-vite!!"
La plus grande cloche hurlante jamais construite entama son mouvement de balancier, tirée par les vingt rat-ogres de maître les plus puissants du clan Moulder. Encore quelques balancements et elle lancerait son puissant appel qui, cette fois, se propagerait jusque dans les tunnels de Morrslieb.Le parle-loin était tenu juste devant la cloche par un esclave completement sourd. Une fraction de seconde avant que le balancier ne vienne heurter la cloche, le cœur de Kritilslik fut assailli par un déferlement intarissable de foi envers son dieu. Un instinct vieux de milliers de siècles ranima en lui ainsi qu' en tous les skaven qui entendirent le somptueux glas de la cloche la croyance pure et dure en la toute-puissance de leur race.

Le Déceiver sembla fondre tandis que le plus puissant son de cloche du Vieux Monde déferlait dans la salle par le parle-loin. Le métal vivant dont il était composé était entré en résonance avec la cloche hurlante du seigneur Devin Kritislik.
Une fureur primitive parcouru les corps des skavens survivants. Redoublants d' efforts, les guerriers lacérèrent la chaire métallique du demi-dieu, le transformant en une purée dorée mouvante.
Pan' Kayke attrapa le parle-loin qui continuait de cracher le somptueux et salvateur son de cloche. Il se sentait capable de tout.
" On se barre d' ici! Vite-vite!"
Les cinq autres skavens se dirigèrent en courant vers la sortie de la salle. Leurs yeux, libérés de l' emprise du demi-dieu, purent reconnaître la disposition des coudes et des galeries. Bientôt, ils seraient sur la surface de Morrslieb.



"Il me semble-semble qu' il n' y a plus le moindre problème."
Kritislik venait faire sa visite semestrielle de l' avancement de l' exploitation de la Lune Verte. Pan' Kayke afficha un large sourire.
" Plus le moindre-moindre, votre gracieuse sainteté, en effet. Votre idée était excellente-excellente... Comme d' habitude."
La malepierre était extraite et acheminée dans les entrepôts à un rythme tel qu' il n' y avait presque plus de place pour la stocker. Seuls deux puits étaient utilisés. D' ailleurs, c' était pour cela que le seigneur Devin était venu. Il fallait ralentir la cadence d' extraction.
" Impossible-impossible."
Le chef de guerre Kmîl avait répondu tout net à son supérieur.
"Regardez les esclaves!"
Les travailleurs, galvanisés sans cesse par les pulsations des huit cloches qui entouraient le chantier, ne pouvaient cesser de travailler. On avait essayer de les faire se tenir immobiles en les attachants, mais les cobayes mourraient d' une crise cardiaque.
Kritislik était plus que satisfait.
" Et bien, seigneur Pan' Kayke, il me semble que vous êtes digne-digne de votre poste. Voyez tout de même si l' on ne peut pas ralentir-ralentir un peu la cadence. Les membres du Conseil font des indigestions de malepierre, en ce moment-moment."
Le seigneur Devin Kritislik traversa le portail et retourna à Skarogne, laissant le Seigneur du clan Morrslieb à ses occupations.



C' est fini!
Bah oui, il faut bien qu' il y ait une fin, quand même.
Vos commentaires, sur ce bout de texte ou en général ( ou les deux, hein...), seront bien sur plus-que bienvenus.

Snif... BRAVO!!!

* complètement éreinté*
Et bah merci bien ^^. Par contre je risque de déserter un peu la section... J' ai plus d' idées franchement novatrices... Mais je continuerait de lire tout ce qui s' y poste, te voici prévenu.
Si tu devais noter, tu mettrais combien ( sur 20) ?

De toute façon, il faut que j' arrête un peu les récits... J' ai l' impression de décourager les autres avec tous mes envois ( non,non, je ne prend pas le gros museau, je parle en terme de quantité d' "œuvres". Pas qualité.). Mais je reviendrais écrire, Mwahahahaha...

...après mes vacances sur Morrslieb .

Je passe en coup de vent parce que je vois bien que vous dîtes des choses sur moi
Désolé de pas prendre le temps de vous lire tout les deux, mais je rattrape mon retard, petit à petit

Nous, dire quoi que ce soit sur le grand, le merveilleux Rat- Quisiteur? Noonn, plutôt mourir! Aarg!

Merci d' être passé, rien que ça, c' est déjà bien sympa .

Clap Clap Calp

Bravo, vivement la suite ... heu ... la suite ?

Bah vivement le début d'une nouvelle fin alors.

Un bon 17. Allez, vient la, tape moi mon poing amér... ma main pardon.
Enfin moi aussi je déserte. Faut que j'écrive Skymors et mon livre perso.

Donc il n' y aura plus personne. Et bé.

Merci pour les encouragements ( j' le répèterait jamais assez...)!
Avec un marteau, je t' la tape; la papatte?

Après 20 minute de lecture, je te félicite Peyrit . Ton texte est super, tout comme les idées. Vivement un nouveau texte !

20 minutes? T' en étais resté loin, alors...
Merci bien, ça fait toujours plaisir!

T' es sûr que tu veut pas te lancer? Vraiment? J' te jure, c' est fun, d' écrire. Et puis Polo et moi sommes là pour faire des remarques sarcastiques caustiques absolument décourageantes qui permettront de progresser un peu.
( Hum, je dit Polo et moi pasqu' y a pas grand monde, cela ne signifie pas que nous sommes des sommités dans ce domaine ( loiiiin de là...)).

J' ai toujours pas d' idée pour le prochain ... Ça ne me ressemble pas, ce manque d' imagination, je doit être malade... ou empoisonné.

EDIT: Mwahahaha! j' ai de l' inspiration!! Ça bouillonne sec, les copains! Planquez-vous, je vous préviendrait lorsque ma folie créatrice se sera transformée en jolie texte tout mignon ( mignon?!?), comme ça y' aura pas de blessés. Je ne serait pas plus taré que d' habitude dans les mp, je vous rassure ( au cas où ).