[R]La légende de Snoolnack N'a-qu'un-oeil Partie II

Un nouveau jour se lève, je continue mon histoire de Skavens en ajoutant une pincée de nains... Un nouvel ennemi se profile à l'horizon pour Snoolnack et les siens.
Le chapitre un n'est pas encore finit. Je précise aussi que je compte écrire un peu mieux que la première partie, plus de descriptions surtout.

La légende de Snoolnack N’a-qu’un-œil

Partie II :
Un nouvel ennemi


Chapitre 1 :


Les parois de pierre ne renvoyèrent soudain plus aucun bruit, si ce n’est quelques échos résiduels. La salle s’était tut en un instant, même les plus grommeleurs des nains présent à ce banquet avait consentis à stopper leurs discutions pour laisser la parole au roi du karak. Ce dernier s’était simplement levé, mais son aura était telle que cela avait suffit pour attirer toute l’attention. Il était petit, même pour un nain, son crâne dégarni était réputé pour être aussi dur que la pierre elle-même. Il avait du mal à tenir debout mais refusa toute aide. Sa tunique verte et mauve était frappée du signe de sa ligné ; un aigle rugissant.
Il toussota en se pliant en deux puis se redressa avant de commencer d’une voix calme mais pourtant puissante et rocailleuse : « Frères Nains. Rien ne nous permet aujourd’hui de laisser cet affront impuni. Nous devons dès maintenant reprendre ce Karak. Il est impardonnable de laisser une telle vermine infester la forteresse de nos ancêtres. Et par Grimnir, je mourrais pour cette raison, et me ferais tueur sur le champ si par malheur je devais échouer sans pour autant trouver le repos éternel ! »

Sa dernière phrase tomba comme un couperet sur l’assemblé, le silence devint aussi pesant que l’ambiance était tendue.
Un nain se leva pourtant à la droite du roi, son fils Tosen, qui jeta un regard circulaire sur l’armée amassée dans le hall de pierre avant de terminer par pénétrer celui de son père malade.
Il dit ensuite : « Père, votre sagesse est grande, mais votre bras n’a plus la vigueur d’antan. Je vous le demande comme une faveur et une chance : Laissez-moi prendre le commandement du Throng pour mener cette guerre. »
Le roi le coupa d’un geste impérial : « Tu es encore bien jeune Tosen mon fils. Je ne suis pas certain que laisser la direction du Throng à un jeune nain à la barbe si courte soit une bonne idée. »
« Attendez roi ---- ! » La voix qui venait de briser un silence religieux était celle du maître des runes, il s’était levé, tenant sa longue barbe rousse dans une main gantée de noir, son regard était doux, empli de sagesse et d’un immense savoir. Il continua : « Il est peut-être difficile pour vous d’accepter cela mais je pense sincèrement que votre fils à raison. Nous sommes ici dans un Karak qui n’est pas le notre, nos frères ne pourront pas nous abriter beaucoup plus longtemps. Le Throng doit reprendre sa forteresse. Mais il vous est impossible dans cet état de vous lancer dans une guerre. J’aiderai votre fils à diriger l’armée. »
« Moi aussi ! » Le coupa un nain à la barbe toute aussi longue que celle du précédent, il portait comme tous les guerriers présents ici les couleurs de la forteresse. Sa voix pesait lourd dans la caverne. « Laissez-moi porter à nouveau la grande bannière du Throng au combat. Et je guiderai votre fils sur le chemin de la victoire, nous pourrons alors venger l’une des offenses faite à notre peuple et une rancune sera rayée. »

Le roi toussa une nouvelle fois et se rassis sur sa chaise. Ses sourcils épais et broussailleux se froncèrent, accentuant des rides déjà très prononcées sur son front. Il réfléchit un moment, tous les regards des nains présents étaient maintenant tournés vers la table des généraux, trois d’entre eux étaient debout et fixaient le roi vieillissant en attendant la réponse.
« Je sais malheureusement que vous avez raison tout les trois. Même s’il est difficile pour un roi d’accepter le fait de ne plus pouvoir se battre pour protéger son royaume… » Il poussa sa phrase par un toussotement de plus puis par un gorgée de bière Bugman X. « Tosen, mon fils. Tu prendras la direction du Throng. Et par le sang et l’acier, un affront devra être lavé. Je te le demande comme une faveur moi aussi, ne déçoit pas ton vieux père. »
« Je vous en fait le serment père, le Karak sera repris. » Opina Tosen avant de se tourner vers le reste de l’armée qui attendait manifestement quelques mots du nouveau général à qui il ajouta : « Frères nains, demain nous partons pour la guerre, faites la fête car ce sera peut-être la dernière fois. »

La phrase fut accueillie par un grondement sourd d’approbation et toute l’assemblé se mit à hurler et à applaudir en frappant les chopes pleines sur les tables de bois. Ca et là quelques nains particulièrement saoul entamèrent des chants de guerre tonitruant dans les couplets arrivaient presque à faire trembler les murs de pierre millénaire pendant que d’autres montaient sur les tables pour se mettre à danser.

Tosen de son coté se demanda comment il allait faire pour diriger une telle armée et surtout comment feraient les guerriers pour se remettre de la cuite mémorable que le Throng semblait bien décidé à se faire avant de partir. Comme s’il avait entendu les doutes du jeune général, le maître des runes lui ajouta en mettant un bras autour de son épaule pendant que l’autre remplissait une nouvelle fois les deux bocks vides : « Tu verras demain comme les nains peuvent être rapides aux niveau du rétablissement lorsqu’il s’agit de venger leurs aïeux ! »
Il ponctua sa phrase par un rire qui recouvrait presque les chants de guerre des tables voisines et trinqua avec Tosen qui but de bon cœur le liquide si fortement alcoolisé. Ce dernier lui traversa la bouche et la gorge, cherchant refuge au plus vite dans un estomac habitué à ce genre de traitement et lui laissa finalement un goût de houblon amer comme seule trace de son passage.

* * *

Snoolnack ne comprit pas tout de suite pourquoi le maître corrupteur avait voulu de lui pour l’aider dans ses recherches mais il allait vraisemblablement l’apprendre rapidement. Skitrik l’avait en effet convoqué dans son antre et maintenant qu’il se tenait devant la porte de bois vermoulue, le Skaven hésitait entre attendre qu’on lui ouvre et partir en courant. Mais la porte s’ouvrit soudain, réduisant ses possibilités de se soustraire à son devoir à néant. Le maître corrupteur se tenait dans l’encadrement, il dépassait maintenant Snoolnack de presque une tête, signe que la vie au sein du clan Vor lui était largement profitable, il bénéficiait sans doute d’une bonne paye de malepierre brute pour pouvoir continuer à grandir. Cette bosse que l’on pouvait apercevoir sous son aisselle droite n’était pas vraiment engageante non plus.
Skitrik regarda un instant Snoolnack avant de lui faire signe d’entrer.

L’air à l’intérieur de la salle était encore plus vicié que celui des tunnels de la forteresse, ce qui n’était pas rien. Snoolnack en eu le tournis dès son entrée avant de se reprendre en secouant la tête pour que se vue redevienne nette. De sa démarche saccadée, le lourd Skaven se dirigea vers le centre de la salle, Snoolnack le regarda se poster devant une table de fer rouillé maculée de tâches de sang caillé. Dans un coin étaient posés divers instruments étranges et terrifiants, ici une pince de la taille d’un crâne de loup, là un scalpel dont la lame avait du couper plus que sa dose de peau ou encore une scie dont la tâche principale était, au vu des morceaux de chairs accrochés à ses dents, plutôt destinée à déchirer qu’à couper proprement. L’unique source lumineuse de l’endroit, une lanterne à malepierre pendue au plafond, projetait sa lumière blafarde et verdâtre sur le crâne du maître corrupteur et la table.

« Approche donc Snoolnack mon-mon fidèle apprenti… » Commença le maître corrupteur en se dirigeant dans un coin d’ombre de l’antre. « Nous-nous allons commencer. »
Snoolnack opina en traversant doucement la salle sur la défensive comme il en avait l’habitude. Mais Skitrik sentit sa réticence et le rassura : « Ne t’inquiètes pas-pas, je tiens encore à vie-vie, tu ne crains rien. Tiens, prends donc ça… Tu en auras besoin. » Termina-t-il en lui tendant une petite sacoche en cuir sombre et rongée par endroit. Snoolnack l’attrapa et sortit ce qu’il prit à première vue pour une queue de rat-ogre avant de se rendre compte que c’était tout simplement un fouet noir, fait de lanières de cuir tressées, au bout étaient incrustés des morceaux de métaux. Il donnait l’impression d’avoir déjà servi mais le Skaven pris donc le présent et l’accrocha à sa ceinture.

Skitrik sorti alors son propre fouet et le fit soudainement claquer. Snoolnack se jeta à terre en gémissant avant de se rendre compte qu’il n’avait pas été touché.
« Relèves-toi vite-vite, il faut que tu-tu saches te servir de ça ! » Grogna le maître corrupteur.
Le rat gémissant se releva rapidement et entreprit de faire claquer son propre instrument. Ses premières tentatives ne furent pas couronnées du succès attendu. Skitrik expliqua précisément comment faire. Sans résultats.
« Bon, ce n’est pas-pas grave, suis-moi-moi. Tu-tu feras ça plus tard-tard, mais gardes-le en main. » Termina le maître en se tournant vers le coin sombre derrière lui. Snoolnack plissa un peu les yeux, ces derniers s’étant habitués à la lueur, il put finalement distinguer un renfoncement dans le mur de pierre sombre. Skitrik entra et Snoolnack entendit un grincement, une porte se trouvait dans ce renfoncement et elle venait manifestement d’être ouverte. Une faible lumière lui montra un long couloir, il entra à la suite de son nouveau maître pour découvrir avec stupeur que la galerie n’était pas bordée par des murs de pierre comme il s’y attendait mais par de lourds herses de métal.

Un concert d’hurlements déments résonna dans la cave dès que le maître corrupteur eu claqué la porte derrière eux et, pendant que Snoolnack se bouchait les oreilles avec ses pattes de peur que ses tympans éclatent, ce dernier donna du fouet sur les barreaux des cages pour calmer les bêtes affamées et rageuse.
« Nous commençons facile-facile, les throtlings pour aujourd’hui et les rats-ogres plus tard-tard. » Expliqua Skitrik.
« Oui-oui, plus tard-tard. » Reprit Snoolnack soulagé de ne pas devoir affronter les plus grosses créatures de son gros maître aujourd’hui, les petites lui suffirait amplement se dit-il.

Écire sur des nains... J'ai honte pour toi mon pauvre Frakiss... ^^
M'enfin, pas grave, ça n'empêche pas ce texte d'être un bon texte (d'autant plus que j'ai comme l'impression que le Throng ne survivera pas longtemps contre Snoolack et sa grande maitrise du fouet ). Il ne s'y passe pas grand chose, mais c'est plutôt sympa, bien narré, agréable à lire... Yabon...
Par contre, décidément, il faut que je me l'achète ce WD, j'ai l'air stupide, moi, à ne même pas savoir ce qu'est un throling...

Roujio, qui attends la suite...

Roujio a écrit:

Écire sur des nains... J'ai honte pour toi mon pauvre Frakiss... ^^

Et en plus je vais les jouer en deuxième armée...

Citation :

Par contre, décidément, il faut que je me l'achète ce WD, j'ai l'air stupide, moi, à ne même pas savoir ce qu'est un throling...

D'ailleurs c'est Throtling, parceque ça vient de Throt le galeux, c'est des expériences ratés, et ça se joue comme des rats-géants qui valent 40 points et qui font peur... C'est rigolo quoi.

Merci pour les compliments en tout cas.

Citation :

je tiens encore à vie-vie

Ne manque-t-il pas un mot ?

Citation :

Et en plus je vais les jouer en deuxième armée...

Traître ! Quelle infamie... m'enfin bon le texte est bien alors c'est pas grave. Cela dit je ne suis pas sûr qu'un maître corrupteur fasse des throtlings, vu que ce sont des créations de Throt... Enfin je ne suis pas expert du clan Moulder.

La suite-suite !

excusez moi (et merde je vais encore passer pour un con) mais c quoi un throtlings (ça y est c dit honte sur moi)



bouhouhou l'histoire serait-elle terminée vu la date de parution du
message je veux la suite snif (ce n'est pas une menace oh grand
seigneurs skavens)