La prise de Vogelburg
Contexte: Vogelburg... Petit bourg du nord de l'Empire.
3000habitants vivants dans l'enceinte du chateau de Vogelburg.
Ce dernier a comme ordre de défendre la rivière Dickwater et la station d'épuration des eaux qui nettoie les égouts de l'énorme ville de Kriegderkinder.
Le chef de la police des égouts est Robert Von Julper, fils bâtad du Comte von Raukov.
Ce dernier, ne voulant pas passer pour un ingrat a décidé de confier à son fils un petit boulot, sachant que cet énorme imbécile ne ferait rien de sa misérable vie.
Ce travail consistait à être le chef des soldats qui surveillaient les égouts jour et nuit, police mise en place par l'Empereur Mandred qui selon une légende de grands-mères, tuait des hommes en forme de rats.
Von Julper avait sous ses ordres plus de 300 soldats répartis dans autant de kilomètres d'égouts. La quantité de rats avaient considérablement augmenté d'ailleurs ces derniers temps...
Chateau de Vogelburg, 1h du matinVon Julper finit de gober sa boulette de viande puis grogna lorsqu'on cogna à sa porte.
"Entrez! cria-t-il en s'asseyant sur son lit. Un garçon de 12 ans entra.
-Mon...monseigneur. Je viens vous prévenir que les hommes de Krokst ont commencés leurs tours de garde. Et je vous souhaite bonne nuit!
-Bien mon petit. Tu veux un bonbon.
-Nan... non merci seigneur.
-Mais si viens. Viens ici, j'ai plein de sucettes...
-Bonne nuit!" termina le petit garçon en claquant la porte.
Egouts Sud de Vogelburg, 1h13Le technomage Rokibalboa du clan Skymors dégaina son pistolet silencieux et tira.
Le soldat s'effondra dans un râlement qui projeta une gerbe de sang.
Poursuivant son chemin, Rokibalboa s'arrêta brusquement. Trois humains avançaient vers sa direction. Saisissant son minuscule parle-loin, il demanda de l'aide à ses deux collègues. Il se replia vers un éboulement, une trentaine de mètres derrière lui.
Deux minutes après, les trois soldats impériaux mordaient la poussière.
"Okay les gars, fit Rokibalboa aux deux autres technomages, Kamel et Malboro vous me suivez, direction l'université où réside le gros truc visqueux qui se nomme... (il sortit un parchemin avec la carte de la ville et les objectifs)... euh. Ah! V'là, Von Julper!
Je veux dix mètres d'écart entre chacun de nous!"
1h20, au centre des égouts de VogelburgKrokst dgainna son épée et frappa... Puis il saisit l'aile tiède du poulet, enleva les plumes et la dégusta.
"Ché bon cha.
-Ouai chergent. Che confirme
-Choldat... pardon, soldat, des nouvelles?
-Côté nord tranquille.
-Où est Yoannes? Qu'est-ce-qu'il fout! J'lui est interdit d'aller se payer des putes pendant ses heures de garde merde!
-Sergent! Ya du bruit là-bas! Côté sud!
-C'est surement lui.
-Non! Il doit revenir que dans une heure."
Le soldat s'approcha du sergent. Ce dernier, d'un signe de tête, lui ordonna d'aller voir. L'épéiste courrut donc puis s'effondra.
"C'est quoi cette m... Aux armes! Siegfred, prévenez la caserne! Les autres, avec moi!"
La petite escouade de dix hommes s'avança, armes à la main, vers le corps de leur frère d'arme. Celui-ci avait la tête trouée par une balle, d'où une fumée verte s'échappait.
"Chef. Le buit vient de là cette fois-ci.
-Vas-y avec ton frère."
Les deux frangins s'approchèrent d'un trou avant de crier et d' être entrainé. Un autre soldat s'effondra, la gorge à moitié arrachée par un projectile. On voyait le chemin de la balle grâce à une lueur malfaisante verte. Krokst suait à pleine goutes. Où étaient ces démons? Une ombre passa près de lui, décapitant un soldat. Il n'y avait plus que cinq survivants terrorisés.
Puis le sol sous un des soldats s'effondra, l'emportant dans un cri. Krokst sauta dans l'orifice. Devant lui, un espèce de rat bipède se tenait, deux dagues au clair.
"Viens-viens mon petit.
-Pédophile. Et en plus je suis plus grand en taille que toi, vermine!
-Vos expressions-expressions ne peuvent pas toujours s'appliquer?
-Euh, non, cette langue est un peu difficile..
-Ah, ok, merci. Bon, on se bat?"
Rokibalboa se précipita vers le sergent chose-homme et sauta, évitant ainsi le coup d'épée du soldat impérial. Il était vif... En sautant, le technomage se cogna la tête contre mur et trébucha en plus, car ses pieds avaient heurtés les épaules de Krokst.
Le chef de la patrouille se retourna et assena un coup d'épée sur la créature.
Le skaven esquiva et se releva d'un bond.
"Aïe, ma-ma tête.
-Regarde un peu le trou que tu nous a fait, j'vais devoir tout réparer!"
Le sergent enragé frappa de nouveau mais son épée heurta la dague droite du technomage qui répliqua en coupant la tête du sergent. Le corps s'effondra, permettant à Rokibalboa de remonter...
Rempart du chateau, 1h33"Pssss... Toi-toi!
-Oui?"
Le soldat se retourna puis s'effondra, un couteau planté dans la gorge.
"Continuons! On se retrouve au 15ème étage dans dix minutes!
-Ok!
-Oui, chef-chef!"
Rokibalboa sauta du haut des rempart sur un soldat qui sommeillait. Les deux corps roulèrent un instant puis le technomage assassin se releva, nettoya le sang sur sa dague puis enleva l'oeil planté au bout de la lame. Il courru ensuite vers la porte puis s'arrêta net avant d'aller se cacher dan un tonneau abandonné: la patrouille passa à seulement quelques mètres de lui.
Le soldat du clan Skymors soupira puis sortit du tonneau.
"AÏE! C'est quoi cette fourchette! Pouquoi je me planque toujours dans un tonneau remplit de couvert?"
Il sortit de son derrière la fourchette plantée puis apperçu un signe garde qui gardait le dixième étage du donjon où dormait sa cible...
Dixième étage, 1h46L'homme rat enfonça la fourchette dans les parties intimes de Von Julper. Celui se réveilla en criant horriblement. D'un coup de gantelet énergétique dans le coup, Rokibalboa tua le fils bâtard de Von Raukov.
"Jetez-le par la fenêtre.
-Mais, on va prévenir les gardes!
-Oui, et comme ça, on pourra aller tranquille à la bibliothèque!
-Vous êtes trop intelligent chef-chef!
-Ouai, je sais!
-Aaaaaah!
-Chef?
-Oui?
-Je crois que le gros était pas mort..."
EDIT du Corrupteur: "He chef-chef! J'crois que j'ai trouvé le grimoire!
-L'auteur est bien Von Meinkopf?
-Oui chef-chef!
-Bien, met-le dans ton sac et demande à Malboro de surveiller l'entrée!" puis Rokibalboa attrapa son parle-loin. "Ratvion 4500, près pour évacuation. A vous."
-Tzzzz.... bien tzzzz techno5 tzzzz-tzzz... On arrive dans... tzzzz 5minutes au dessus tzzzz du donjon tzzzz. A vous! tzzzz-tzzz...
-Ok, on dégage-dégage!"
L'attaque du port de Miamor
"Ok les gars-gars, on doit prendre ce port. fit le seigneur Krikt à ses généraux.
Faut absolument le prendre pour qu'il nous serve comme base-port pour aller chez les choses-elfes.
-Oui seigneur mais-mais comment va-t-on faire pour attaquer par surprise? Les navires-navires humains sont trop nombreux!
-Et y'a des choses-ogres en plus! rajouta un chef.
-Et des femmes à poils armées. continua Rokosifredi.
-Oui, le supertechno le sait et son plan est simple-simple! Je vais foncer avec mes navires vers le portes-portes marines du port et les hommes de Rokibalboa qui-qui sont dans les avions nous aident-aident!"
Le sergent Berlusconni se réveilla en sursaut. Il courru vers la terrasse de la caserne de la ville de Miamor. Le ciel était plein de machines terrifiantes! La ville était attaquée! Au loin, des navires pathétiques surmontés de diaboliques machines se battaient contre la fière marine de l'amiral Panzanni.
"Ser... sergent! Faut aller à l'arsenal, faut pas rester ici, les toits sont prit d'assaut! Faut défendre l'arsenal!
-Eh bé mé ami! Faut pas té inqété commeu ça! Allé! On ni va tranquillément.
-Attention!"
Rokibalboa descendit du ratvion sur le toit de l'arsenal grâce à une corde et sortit de sa poche un globe explosif. Il dégoupilla ce dernier et le lança sur les arbalétriers, brisant ainsi le carré défensif. Marchant sur le corps des gisants, il finit par trouver l'escalier. Un reflex lui sauva la vie, car il évita de peu un carreau. Soupirant, il dégaina son épée et un pistolet puis fonça sur les hommes qui gardaient l'escalier.
D'un tir de pistolet, il blessa un lancier avant de le décapiter puis para une autre attaque avant de faire feu une seconde fois: un cri de douleur lui fit comprendre qu'il avait de nouveau tué un homme.
"Allé lé gars! Téné la porrte dé l'entrée! On doua ténir cet étage!"
Berlusconni décapita un nouvel ennemi avant de cracher par terre.
"Putain, i prenne pas dé bain dans leur pays dé merde?!"
Puis il alla secourir un de ses hommes qui était en train de se faire encercler. Les skavens, se battant à 2contre un préférèrent fuir.
Un explosion détruisit le plafond, recouvrant les assaillants et les assaillis de gravats. Un tir de ratling embarquée faucha encore une demi-douzaine de combattants, faisant fuir les mercenaires humains. Dehors, des skavens avec des réacteurs dorsaux se battaient contre des "hommes -oiseaux".
"On sé répli tranqillément vers lé rues oké?"
Le bilan était catastrophique: la flotte de Panzanni avait été massacrée par les machines skavens et la ville était en proie aux flammes depuis que les bombardements avaient commencés, et que l'arsenal avait explosé. Les mercenaires ogres quant à eux abattaient tout les bipèdes plus petits qu'eux, sauf les gnoblars (qui avaient l'immense privilège d'être jeté sur l'ennemi!).
"Vous, avec moi! Toi, je prends les commandes!"
Rokibalboa attrapa la ratmoto et se dirigea vers le Palais Déhola.
"Des choses-ogres chef-chef, ralentissez! supplia Camel à son supérieur.
-Nan! J'aime écraser ces tr..."
La ratmot alla s'enfoncer dans le ventre de l'ogre, qui fut projeté sur les grilles du palais. Camel lui n'eut pas le temps de sauter et fut projeter dans la gueule de l'ogre.
"Ce fut un-un bon techno!" fit Rokibalboa en se relevant. Il visa avec son pistolet, appuya sur la gâchette et jura lorsque le clic retentit:plus de munitions!
Se retournant de justesse, il évita la charge buffle et courrut vers le palais: le Maire Goloimio devait être tué!
EDIT: Du haut de la tour Nord, Rokiblaboa et son commando de 5rats technos lancèrent leurs cordes et descendirent en rappel jusqu'à une étroite meurtrière: l'arquebusier fut projeté contre le mur avant d'être froidement abattu. Puis passant par la petite ouverture, ils se dirigèrent vers la chambre du Maire tout en esquivant les patrouilles et en tuant les soldats isolés.
"Malboro, guide ces trois la vers la droite, moi je passe par la réserve de poudre, pour faire un Boum!
-Oui-oui chef!"
Malboro avançait tranquillement dans un couloir avec ses trois appentits lorsque une balle lui arracha la tête: au-dessus de lui, des arquebusiers avaient tendus une parfaite embuscade. Les trois autres skavens fuirent mas ils furent tirés tel "un gobelin dans un couloir"...
"Ok-ok, la bombe va exploser dans dix bonnes minutes. Malboro, tu-tu me reçois?
-tzzzzzz tzzzzzzz....
-Ici Rokibalboa, Malboro tu fous quoi-quoi?!
-tzzzz.... tzzztic!
-Il s'est fait descendre. Allez, vite, on y va!"
Le maire Goloimio était retranché dans ses appartements avec ses trentes gardes personnels, dont deux ogres. Il regardait de la fenêtre le déroulement de la bataille: le quartier marchand était rasé et le port prit, tandis que le Sud était en flamme et que l'Ouest offrait très peu de résistance. Mais pour l'instant, le chemin de ronde du palais était sécurisé.
"Oh pinaise, cé quoi cé té fumée?
-Dévant la porte, empêchez lé dé passer!
-Je vais leur offrir ouné bataillé dé ouf!"
La porte explosa dans la seconde qui suivit, expulsant un garde par la fenêtre et en pulvérisant deux autres. Les cris des blessés furent vîtes tus lorsque trois ombres commencèrent leur danse mortelle: sautant de gardes en gardes et en égorgeant 3soldats, Rokibalboa finit par arriver devant l'ogre: un de ses apprentits sauta sur le dos du monstre et y planta deux dagues avant de les enlever brutalement tandis que le second lui ficelait les jambes: l'ogre s'effondra, écrasant le soldat venu l'aider.
Un autre fumigène fut lancé pour caché le petit groupe de skavens du clan Skymors, puis une bombe de ratvions désintégra le mur, emportant dans la chute encore trois soldats. Le tir de ratling prévint les technomages que des renforts arrivaient par la porte, mais la puissance de feu de l'appareil les fit disparaitre dans une pluie de boyaux et de sang.
"Vous né m'aurez pas!" cria le maire de la ville détruite.
La suite dans très longtemps.