Le général nain Gordight attendait patiemment.
Une horde de skaven allait sortir par voie extérieur des huit pics et il allait leur tendre un piège.
Il c'était installé dans une ancienne tour de guet à la sortie d'un col. Derrière lui se trouvait un bosquet d'arbre et encore derrièred e l'autre côté de la rivière attendait l'artillerie et les colonnes de guerriers et de longues barbes. Les skaven sortant du col se ruerait vers sa position ne trouvant qu'une faible garnison pour les motiver, les colonnes se mettraient alors en marche et l'artillerie pilonnerait leurs renforts, son pln était parfait ...
La sentinelle signala des mouvement, les rats étaient là, mais quatre fois moins nombreux que prévu qu'est ce que cela signifiait ???
Alors apparurent en haut des collines la véritable force, es hordes de guerriers accompagnés d'arme de guerre maléfiques. Il avait été dupé, c'est à lui que l'on avait tendu un piège. le col était barré par des légions d'esclaves et les pentes gardées par des forêts de lances, sans parler de l'artillerie adverses.
Il donna l'ordre par drapeau de la mise en marche et l'ouverture du feu, soudain se déclencha un terrible orage, les servant du canon nain hésitèrent mais mirent le feu pour exploser avec leur canon, les servant du canon orgue furent terrifié de part l'orage mais aussi par la perte de leur congénères et donc d'un éventuel sabotage et n'osèrent tirer.
Les machines de guerre ennemies avait visées avant et pilonnèrent la tour. Les flammes et le gaz léchaient les fenêtres et les rayon warp faisaient s'écrouler les murs. Après la première salve il ne restait plus que la moitié des arquebusiers ainsi que leur seigneur et la grande bannière dans un tas de ruines fumantes. Les skaven s’engouffrèrent par dizaines dans une brèche et un autre pan de mur céda ensevelissant deux nains et écrasant deux autres guerriers venu repousser ce qu'il croyait être des hommes rats avant de voir une terrible roue infernal appelée broyeuse.
Soudain, queek coupe tête apparut dans la mêlée et défia le seigneur nain, celui-ci n'eu pas le temps d'abattre sa hache que perce-nain le transperçait de part en part. Seul restait la grande bannière qui n'eu d'autre choix que de battre en retraite dirigé les renforts, laissant places aux fils du rat cornu...
Le canon orgue s’apprêta à lâcher une terrible salve sur la tour, les fût furent rechargé et l'ingénieur brandit son marteau pour l'abattre sur le loquet de tir. Il ne l’abaissa jamais, une pierre empoisonnée l'avait frappée à la nuque et avant que les deux autres servants ne comprennent ce qui c'était passé ils rejoignirent leur ancêtres.
Les guerriers suivant les longue barbes traversant le pont ne purent supporter cet affront et chargèrent ces infiltrateurs maudit, en tuant trois et en mettant le reste en fuite. Les logues barbes voyant leur général mort, leur grande bannière en fuite et leur artillerie à terre hésitèrent mais la mort des coureurs d’égout et l'explosion d'un mortier à globes toxiques sur la colline les encouragèrent à charger la tour, quant au porteur de la bannière, il venait de prêter serment de tueur et chargea avec eux.
Les guerriers levèrent leur haches de triomphe et ne virent que trop tard leur flanc défoncer par broyeuse, les tuant tous sauf le champion qui ô honte suprême choisi la fuite avant d'être aplatit comme un vulgaire insecte.
Queek rit haut et fort du défis du porteur de la grande bannière, et rit de plus fort quand son sang arrosa son visage. Ses guerriers avaient du mal à repousser les logues barbes mais ils tenaient le coup. libérer de ses responsabilités il étripa seul le reste du régiment laissant seul son état major. Queek était mort de fatigue et craignit leur charge fanatique mais un seul et même éclair de broyeuse revenant vers ses propres lignes anéantit cette ultime menace. la victoire était totale.
Bilan: Il s'était débarrassé de ses stupides coureurs d’égout engagés par creuse les terrier pour le liquider au bon moment et n'avait perdu qu'une dizaine de guerriers. Certe la perte d'un mortier était plus amère mais il n'allait pas non plus se permettre le luxe de se plaindre. Ce soir tout le monde mangerait à sa faim...
Voilà mon dernier rapport de bataille mit en récit, vous en pensez quoi ???